Honte à tous musulmans qui ont laissé la Libye tomber entre les mains de la barbarie impérialiste.

UN RÉSISTANT ANTI-MAÇONNIQUE ET ANTI-MONDIALISTE.

jeudi 13 octobre 2011

Libye : les forces du CNT reculent à Syrte

Libye : les forces du CNT reculent à Syrte

LEMONDE.FR Avec AFP | 13.10.11 | 12h51
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En une semaine, les combats de rue ont fait près d'une centaine de morts et des centaines de blessés parmi les combattants pro-CNT, selon des sources médicales.
En une semaine, les combats de rue ont fait près d'une centaine de morts et des centaines de blessés parmi les combattants pro-CNT, selon des sources médicales.AFP/AHMAD AL-RUBAYE

A Syrte, les forces du Conseil national de transition (CNT) reculent jeudi sous le feu des derniers combattants pro-Kadhafi. Des poches de résistance se situent dans deux zones de la ville : sur les hauteurs dans l'ouest de Syrte, le "quartier dollar" d'une part, où résonnent des tirs de roquettes et des échanges à l'arme légère et à la mitrailleuse ; et dans le "quartier no 2", au bord de la Méditérranée, dans le nord-ouest, où des scènes similaires étaient observées. Or le CNT attend la chute de Syrte pour proclamer la "libération totale" du pays et reprendre ses discussions en vue de former un gouvernement chargé de gérer la transition.

Optimiste, le commandant Wissam Ben Ahmed, l'un des principaux chefs pro-CNT pour le front est, avait auparavant affirmé : "L'opération dans l'est de Syrte a pris fin (…) Il y a peu de résistance — dans un ou deux quartiers, les combats se poursuivent. Nous apportons un soutien aux combattants dans l'ouest."
"Nous pensons qu'il nous faudra encore trois jours pour les capturer", estimait de son côté l'un des commandants des forces du CNT, au sujet des combattants pro-Kadhafi. Avant de préciser : "Nous ne nous engageons pas avec beaucoup d'agressivité dans ces quartiers parce qu'il y a toujours des familles qui y sont bloquées."
Après quatre semaines de bombardements puis d'intenses combats de rues, la ville de Syrte est en ruine. Les rues sont jonchées de véhicules calcinés et aucun bâtiment n'est intact. En une semaine, les combats de rue ont fait près d'une centaine de morts et des centaines de blessés parmi les combattants pro-CNT, selon des sources médicales

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