Honte à tous musulmans qui ont laissé la Libye tomber entre les mains de la barbarie impérialiste.

UN RÉSISTANT ANTI-MAÇONNIQUE ET ANTI-MONDIALISTE.

mercredi 12 octobre 2011

l'Histoire, des révoltes récentes. Pour l'histoire. Le ras-le-bol arabe n'a pas commencé en décembre 2010 mais en octobre 1988 en Algérie. Le tribut fut très lourd. La jeunesse algérienne a été la première -triste privilège- à mourir pour s'être battue pour la démocratie, la liberté. Sauf que ça n'intéressait personne. L'Algérie a payé le prix de la démocratie avec une décennie rouge et dit-on 200.000 morts, 10.000 disparus et 30 milliards de dollars de dégâts sans compter les traumatismes que nous allons encore trainer pendant longtemps. Il a fallu attendre l'après-11 septembre 2001 pour que la voix de l'Algérie soit audible concernant le terrorisme. N'est-ce pas là un sujet concernant la révolte arabe ?

Pour en finir avec le « printemps arabe » : Commençons par nous décoloniser mentalement

« Si un événement arrive par hasard, vous pouvez être sûr qu'il a été programmé pour se dérouler ainsi. » Franklin Delanoë Roosevelt (ancien président des Etats-Unis d'Amérique)
Cette boutade d'un ancien président des Etats-Unis est d'une brûlante actualité. Elle peut à elle seule expliquer la boulimie de mimétisme qui nous prend d'organiser des colloques, congrès, conférences sur ce que la doxa occidentale appelle le « Printemps arabe ». On le voit, une révolution, une révolte, une jacquerie qui appartient aux Arabes reçoit son nom de baptême d'un Occident qui, plus que jamais, dicte la norme comme l'a pointé du doigt Sophie Bessis dans un ouvrage remarquable et prémonitoire : « L'Occident et les autres : histoire d'une suprématie » parue aux éditions La Découverte. Nous allons donner notre sentiment sur ces colloques en prenant l'exemple de celui organisé par le journal El Watan avec d'éminents spécialistes.
Nous lisons sous la plume de Mustapha Benfodil : « Un colloque sur les révolutions arabes se tient du 23 au 25 septembre et se propose de disséquer cette formidable lame de fond qui soulève comme un seul homme le Monde arabe, de Casa à Damas et de Tunis à Sanaa. Une lame de fond qui a pour étincelle l'auto-immolation de Mohamed Bouazizi, un diplômé au chômage improvisé camelot, un certain 17 décembre 2010 dans la province de Sidi Bouzid, en Tunisie(1).
Ce qui est en cause, c'est d'abord le choix du thème : le Printemps arabe de l'Atlantique au Golfe. Le thème sur le Printemps arabe est, dès le départ, une allégeance et une soumission intellectuelle à la doxa occidentale qui, la première, a décidé d'appeler ainsi ces mouvements. Pour Mohammed Hachemaoui, enseignant à l'université d'Alger et qui a soutenu une thèse le 17 décembre 2004 à l'Institut d'études politiques sur la corruption en Algérie, l'histoire commence, pourrait-on dire à « Sumer » (Sidi Bouzid) quelque part dans une petite ville de Tunisie. « Depuis l'immolation par le feu de Mohamed Bouazizi le 17 décembre 2010, une nouvelle page de l'histoire est en train de s'écrire dans le Monde arabe », constate-t-il. « Une vague irrépressible de soulèvements populaires emportant tour à tour Ben Ali et Moubarak, (...) deux amis et alliés protégés par l'Empire. Il s'agit bel et bien d'un événement. »(1)
Le début des révoltes
Monsieur Hachemaoui va jusqu'à épouser la thèse occidentale comme celle de Gilles Kepel, et tant d'autres qui n'ont pas vu semble-t-il « venir » les événements- qu'ils ont commandités- mais qui se félicitent que ces révoltes ne soient pas connotés par l'Islam. Pour eux, le soubassement de ces révoltes parfumées n'a pas les fondements classiques imputables à un hypothétique choc des civilisations. Tout ceci est bien beau, mais il est quand même étonnant pour l'auteur de fixer le début des révoltes du Printemps arabe à une immolation qui aurait pu passer inaperçue n'étaient les médias occidentaux qui en ont décidé autrement. Cela me rappelle ce que nous écrivions pour répondre aux mêmes propos d'une universitaire tunisienne qui voyait dans la révolte des jeunes en Tunisie une analogie totale avec la prise de la Bastille, la fuite du roi (Ben Ali), l'arrestation à Varennes (à l'aéroport) avec Marie-Antoinette (Leïla Trabelsi). Mimétisme quand tu nous tiens ! Comme si 1789 était un horizon indépassable !(2)
La réalité est malheureusement tout autre. Si nous n'inscrivons pas toutes ces indignations de la jeunesse arabe dans un « agenda occidental » nous n'avons rien compris au mouvement du monde. Nous aurions souhaité que lors de ce colloque, au lieu d'asséner des lapalissades de salon qui n'ont aucune portée, ces augustes personnes rétablissent l'Histoire, des révoltes récentes. Pour l'histoire. Le ras-le-bol arabe n'a pas commencé en décembre 2010 mais en octobre 1988 en Algérie. Le tribut fut très lourd. La jeunesse algérienne a été la première -triste privilège- à mourir pour s'être battue pour la démocratie, la liberté. Sauf que ça n'intéressait personne. L'Algérie a payé le prix de la démocratie avec une décennie rouge et dit-on 200.000 morts, 10.000 disparus et 30 milliards de dollars de dégâts sans compter les traumatismes que nous allons encore trainer pendant longtemps. Il a fallu attendre l'après-11 septembre 2001 pour que la voix de l'Algérie soit audible concernant le terrorisme. N'est-ce pas là un sujet concernant la révolte arabe ?
Nous aurions espéré aussi que cet aéropage de compétences nous dise leur sentiment de ce qui se passe en Palestine, en Syrie et en Libye où, comme le relève Djamel Labidi, il y a maldonne, l'Otan bombarde des personnes qu'il était censé protéger. Ecoutons-le : « Conformément à la résolution 1973, ou du moins l'interprétation qu'ils en ont faite, l'Otan ne devrait-elle pas à présent bombarder... les positions du CNT ? En effet, c'est celui-ci qui est désormais le pouvoir et ce sont les autres, les « gueddafistes » qui sont à présent « les rebelles ». C'est donc le nouveau pouvoir, le CNT, qui, aujourd'hui, « bombarde son propre peuple », à Syrte et ailleurs, et qui tombe sous le coup de la résolution 1973 de l'ONU. Je plaisante ? A peine. Car on voit ainsi à quoi a été réduit le droit international. C'est le cas aussi de la reconnaissance de l'Etat palestinien. Le gouvernement français s'était empressé de reconnaître le CNT libyen alors que rien ne prouvait sa légitimité. C'est de l'étranger que le CNT a tiré d'abord sa légitimité. Mais le gouvernement français ne veut pas reconnaître l'Etat palestinien qui, lui, est légitime depuis 60 ans... Depuis toujours. (...). Les révolutions arabes continuent de charrier le meilleur et le pire. Je lisais dans un journal français (le Nouvel Observateur. 13 septembre 2011) un reportage sur une jeune Libyenne de 24 ans qui s'enorgueillait d'avoir fourni des renseignements à l'Otan, par le relais d'Al Jazeera, sur les cibles libyennes à attaquer, quand l'intervention militaire se préparait ».(3)

Ahmed Halfaoui abonde dans le même sens : « On parle toujours de « rebelles » en Libye, pourtant il y a un Etat, avec un drapeau tout neuf, qui y a été installé par l'Otan. La remarque vient du fait que ce n'est pas pour désigner la résistance populaire qui, depuis sept mois, fait toujours front dans le pays, mais les troupes du pouvoir « élu » d'abord dans les salons des grandes puissances et confirmé par l'ONU. (...). Les rebelles ne peuvent être que les Libyens qui défendent leur terre et leurs maisons à Syrte, Beni Walid, Ras Lanouf, Zaouiah, Tarhouna, Sebha, Brega et là où ils tiennent des positions, et qui font le coup de feu à Tripoli et dans tous le pays. Rien ne justifie le vocabulaire qui règne dans les médias.(4)
La réalité du « Printemps arabe »
Comme par hasard, les monarchies arabes dociles aux Etats-Unis et à Israël ont survécu à la « « tempête du Printemps arabe » ». Cependant, à Bahreïn au Yémen, silence on tue, mais là l'Empire ne bouge pas donc, les vassaux européens regardent ailleurs. Nous aurions voulu que lors de cette réunion savante on démonte la mécanique de ces révoltes pour y voir une manipulation de grande ampleur et la « spontanéité » des révoltes est un paramètre qui a été mis en équation pour susciter le chaos pour le plus grand bien de l'Empire et de ses vassaux. Tout le monde se souvient des bloggeurs qui ont catalysé les révoltes en Egypte, en Syrie...On le voit, ce qui a perdu les potentats arabes, c'est le lâchage de l'Occident mis en musique par l'Internet et un projet mûrement réfléchi qui a travaillé sur un terreau favorable, une masse arabe toujours prête à l'émeute constamment en posture pré-insurrectionnelle au vu de la hogra, le déni de justice, les passe-droits la corruption institutionnalisée, bref ce que décrit admirablement justement Mohammed Hachemaoui dans sa thèse soutenue en 2004 sur la corruption. Le chaos en Irak, en Afghanistan, ne gêne pas la curée sur les matières premières et le pétrole. Les Afghans, les Irakiens et de plus en plus les Libyens peuvent se démolir à qui mieux mieux au besoin aidés par les bavures des drones, cela ne gênera pas l'écoulement du pétrole qui, aux dernières nouvelles, commence à être exploité par Total..

Le droit d'ingérence puis le devoir d’ingérence

Ce colloque me donne la pénible impression, outre le fait qu'il n'apporte rien de nouveau, de s'apparenter au discours main stream occidentale. Nous lisons dans ce cadre un morceau d'anthologie sous la plume de Jean Daniel : « ...Il était inévitable, avec la progression des ondes de choc venues de Tunis et du Caire,que l'émergence du Printemps arabe suscite des polémiques et des affrontements. (...) Nous n'avions qu'à applaudir, qu'à nous solidariser et à décider de faire l'impossible pour que personne ne confisque aux peuples qui s'étaient libérés, leur révolution. (...) C'est alors que s'est posé le problème du devoir d'assistance et du droit d'ingérence. (...) En Libye, le Conseil de sécurité, la Ligue arabe et l'Otan représentée par la France et la Grande-Bretagne ont décidé de faire un choix qui impliquait un viol de souveraineté.Kadhafi menaçait d'écraser une partie de son pays et de son peuple, et menaçait d'ailleurs le monde entier. La communauté internationale s'est octroyée un « droit d'ingérence exceptionnel ». (...) A quoi sert de dire que l'on ne s'est pas opposé à l'intervention israélienne à Ghaza, si les membres du Conseil de sécurité ne sont pas d'accord entre eux pour le faire ? La justice, en géopolitique,n'est pas abstraite. Elle dépend des circonstances et de ceux qui ont en charge de la définir et de l'appliquer. Il y a toujours eu « deux poids, deux mesures ». (....) A la réflexion, et tout compte fait, j'ai décidé de préférer le comportement ostentatoire d'un BHL à l'indifférence dédaigneuse et frileuse de ses rivaux. BHL (...) d'autre part, à force de vouloir être Malraux, il va peut-être finir un jour par lui ressembler ». (5)
Tout est dit, le devoir d'ingérence, Kadhafi qui assassine et sous entendu qui doit être pourchassé, « le deux poids, deux mesures » s'agissant d'Israël et la préférence pour BHL, le Malraux qui s'ignore ! On attribue à Machiavel la sentence suivante : « Le meilleur moyen de contrer une révolution c’est de la faire soi-même » Ceci s’applique le croyons nous comme un gant, à ce qui se déroule sous nos yeux. En un mot comme en mille tout est programmé pour se déroulé ainsi. Il « suffit de lire » -mais le veut-on ?- l'ouvrage de Gene Sharp qui décrit par le menu comment faire une révolution non violente et la réussir... Nous y trouverons tous les symptômes constatées dans les révoltes légitimes tunisiennes et égyptiennes, libyennes et qui, rapidement, ont été « prises en charge ».
Ahmed Bensaâda nous présente l'ouvrage : « De la dictature à la démocratie », livre de chevet depuis près de deux décennies de tous les activistes du monde non occidental rêvant de renverser des régimes jugés autocratiques. (...) Dans cet ouvrage, Gene Sharp décrit les 198 méthodes d'actions non violentes susceptibles d'être utilisées dans les conflits en vue de renverser les régimes en place. Parmi elles, notons la fraternisation avec les forces de l'ordre, les défilés, les funérailles massives en signe de protestation, les messages électroniques de masse, les supports audiovisuels, les actes de prière et les cérémonies religieuses, l'implication dans le nettoyage des places publiques et des endroits qui ont été la scène de manifestations, l'utilisation de slogans forts (comme le « Dégage » ou « Irhal »), des logos (comme le poing fermé), des posters avec les photographies des personnes décédées lors des manifestations et une certaine maîtrise de l'organisation logistique » »(6)
« (...) Cette brillante application des théories de Gene Sharp fut suivie par d'autres succès retentissants : Géorgie (2003), Ukraine (2004) et Kirghizistan (2005). Voici ce que dit, en 2010, Pierre Piccinin, professeur d'histoire et de sciences politiques : « Les "révolutions colorées" [...] ont toutes mis en oeuvre la même recette : un groupuscule organisateur est financé par l'étranger et soutenu logistiquement (ordinateurs, abonnements à Internet, téléphones portables...). Formé par des professionnels de la révolution, sous le couvert d'ONG censées promouvoir la démocratie, telle la célèbre Freedom House, il arbore une couleur et un slogan simple. Le but : se débarrasser d'un gouvernement hostile et le remplacer par des leaders amis ».(6) Ahmed Bensaâda met dans le même paquet la manipulation concernant l'Iran où l'on se souvient de la jeune dame « tuée » dont l'image a fait le tour du monde. Les évènements qui ont secoué la rue iranienne pendant l'été 2009 ont été riches en enseignements. (...) L'éclatant succès des révoltes populaires en Tunisie et en Égypte est certainement dû à une application pragmatique des méthodes d'actions non violentes de Gene Sharp. Les jeunes activistes de ces deux pays (ainsi que ceux de plusieurs autres pays arabes) ont été formés aux nouvelles technologies par les organismes américains d'« exportation de la démocratie ». Ils ont participé à de nombreuses rencontres dont celles organisées par l' « Alliance of Youth Movements » (AYM) en 2008, 2009 et 2010. (...) Il va sans dire que les révoltes populaires dans ces deux pays se sont largement inspirées des expériences des révolutions colorées et de la révolte de la rue iranienne. (....) ».(6)
Ce colloque, qui aurait pu proposer quelques pistes de réflexion quant à une sortie de crise, se termine comme les autres, tous les autres, selon un scénario lisse qui ne perturbe pas « l'ordre établi » par une prise de position claire, nette, précise. Adoube-t-il l'ignominie qui se déroule sous nos yeux ? Après le carnage à huis clos de la Libye voici venir le tour de la Syrie. Certes Al Assad doit partir mais au bout d'un processus que l'Occident ne veut pas. Je ne peux m'empêcher de donner la parole à soeur Agnès -Mariam de Chrétiens d'Orient mère supérieure d’une instutution religieuse à Damas qui , lucidement, s'explique longuement sur les enjeux de la déstabilisation de la Syrie. Nous reproduisons quelques extraits : « (...) Aussi, c'est avec soulagement et gratitude que les chrétiens non gagnés aux thèses fallacieuses des maîtres du monde, accueillent les courageuses et franches assertions du Patriarche concernant la situation dramatique liée au « Printemps arabe ». « Que se passera-t-il en Syrie ? Y aura-t-il une guerre sunnito-alaouite dans ce pays ? Ce serait, non pas une démocratie, mais un génocide (...) Présentées comme étant des quêtes démocratiques populaires, les manifestations sont le trompe-l'oeil tout trouvé pour faire exploser la situation en Syrie et justifier, au cas où le besoin se présente, une intervention militaire comme en Libye ».(7)
Le monde est en pleine mutation. Allons-nous vers la « Bellum omnium contra omnes », « la guerre de tous contre tous » prévue par Thomas Hobbes ? Le monde ancien est en train de s'écrouler. Le drame des peuples arabes est que l'alternance à la pointe des canons de l'Otan est suspecte, il est hors de doute que les futurs dirigeants adoubés par l'Empire vont continuer comme leurs prédécesseurs à tétaniser leur peuple. Pendant ce temps-là l'Occident regardera ailleurs pourvu que les sources de rapines de matières premières et d'énergie soient garanties. Ainsi va le monde. Seule une révolution endogène de la taille de l'immense révolution algérienne, véritable lame de fond, permettra aux peuples de prendre en main leur destin.

Libye – Moussa Ibrahim confirme que l'arrestation de moatassem Kadhafi est un canular ! 13 octobre 2011

Libye – Moussa Ibrahim confirme que l'arrestation de moatassem Kadhafi est un canular ! 13 octobre 2011


Publié le 13/10/2011 à 00:59 - 929 visites
Source : ALGERIA ISP
Libye – Moussa Ibrahim confirme que l'arrestation de moatassem Kadhafi est un canular ! 13 octobre 2011
ALGERIA ISP/ Selon le porte parole du gouvernement libyen, le docteur Moussa Ibrahim,
l 'annonce de l'arrestation de Moatassem Kadhafi est un pure mensonge invente par les traitres
rebelles et l'otan. Ces derniers ont profité de l'absence et l'arrêt momentané de la télévision TV El Rai pour annoncer ce genre de mensonge amplifié par les chaines non objectives et média mensonges. Ils ont même intensifié les attaques contre Sirte avec toutes sortes d'armes pour terroriser la population pour que personne ne sorte le 14 octobre pour manifester contre eux dans les autres villes.

 
Vendredi 7 Octobre 2011un colon, à bord d'une voiture, renverse une femme palestinienne, avant de reculer et tenter de l'écraser. La police sioniste fait tôt d'arrêter le passant qui filmait la terrible scène. Les agences de presse n'ont diffusé aucune information supplémentaire. Très grièvement blessée, la Palestinienne est entre la vie et la mort. L'armée s

 

 

 

Libye – Les dernières nouvelles du front (13-10-2011)

Libye – Les dernières nouvelles du front (13-10-2011)

Publié le13 octobre 2011 par

Mouammar Kadhafi

Mouammar Kadhafi
Nous allons parler uniquement de Syrte puisque c’est le symbole de victoire pour les renégats de Benghazi, ces bandits de grands chemins que les occidentaux veulent placer à la tête de la Libye, à coup de Tomahawk, de bombes sales et tutti quanti. Mais, la tâche est tellement rude que, ils sont obligés de passer par le mensonge et la ruse pour faire croire qu’ils sont maîtres de la situation. Que nenni.
Tiens, les jours se suivent et se ressemblent sur le front. Les médias nous ont rabâché durant trois jours déjà, sur la probable…, puis l’avancée…, enfin la prise de Syrte. Il n’en est rien. C’est la sempiternelle propagande mise en place pour essayer de décourager les patriotes et les loyalistes qui se battent bec et ongles, contre les envahisseurs pas comme les autres, mais des nazis.
Après avoir pris des photos dans l’hôpital de Syrte, le QG de la police vidée de ses hommes puisque victime de bombardements intensifs des soldats de l’apocalypse de l’OTAN et qu’ils prétendaient avoir pris, c’est la débacle. Alors que c’est l’énergie du désespoir qui les a conduit dans les lieux pour enlever les infirmières Philippines pour les amener de force dans leur hôpital de campagne où leurs blessés s’entassent -raison du vrai passage de Moustapha Abdeljalil-, les rebelles ont pris leurs pieds à leurs cous, pour s’enfuir, après la riposte kadhafiste et les bâtiments piégés. De vrais nigauds !
Les dirigeants Occidentaux doivent mourir de jalousie lorsqu’il pense à Mouammar kadhafi, un dirigeant aimé de son peuple, ce dernier étant prêt à mourir pour lui. Malgré les bombardements, les menaces, les intimidations et les forces disproportionnées, rien n’y fait. Il faut se rendre à l’évidence, le CNT ne peut prendre la Libye que par la terreur de l’OTAN. Si l’OTAN se retire, de l’aveu même d’un général américain, en deux jours, les loyalistes reprendront le pays. Vous avez dit révolution ? laquelle ? Celle importée par Sarkozy and co ?
Cette vidéo montre bien que nos vaillants mauviettes, ces renégats, une bande de va-nu-pied qui a mis la Libye à feu et à sang pour les intérêts de l’étranger, sont hors de la ville et usent de chars, hormis les bombardements de l’OTAN, pour faire plier les pro-Kadhafi. Mais, la puissance de feu est impuissante face à l’intelligence de l’homme.
Libye – Moatassem Kadhafi sur la radio de Bani walid, Now !

ALGERIA ISP/ Selon une source libyenne, moatassem Kadhafi, fils du guide Kadhafi est toujours libre comme le vent. Il défi les traitres et l'otan, en diffusant un petit message sur la radio locale de

Bani walid, confirmant que l'information sur son arrestation n'est autre qu'un mensonge du CNT parmis les autres mensonges.
Il a envoyé un message à la tribu de Warfala pour motiver les jeunes à combattre avec rage pour libérer le pays

Libye – Elhamdoulilah, Moatassem Kadhafi et Ahmed Ibrahim ne sont pas capturés

Libye – Elhamdoulilah, Moatassem Kadhafi et Ahmed Ibrahim ne sont pas capturés


Libye – Elhamdoulilah, Moatassem Kadhafi et Ahmed Ibrahim ne sont pas capturés
ALGERIA ISP/ Selon l'agence Seven Days News, une source libyenne au front, a confirmé que Moatassem Kadhafi et Ahmed Ibrahim ne sont pas capturés. L'information de leur capture n'est pas correcte ceci est un mensonge pour démoraliser les troupes de la résistance Libyenne à Sirte et Bani walid.
La source dit que les traitres et l'otan veulent montrer aux combattants de la résistance Libyenne à Sirte et Bani walid qu'ils sont sans chef pour les démoraliser et les pousser à déposer leurs armes.
L'agence soutient que cette nouvelle a été confirmée par plusieurs intervenants, alors que la bataille fait rage à Sirte éliminant plusieurs chefs des mercenaires rebelles aux alentours de Sirte , où les ambulances n'ont pas arrêté de faires des aller retours pour transporter les cadavres et blessés des rebelles.
Et répétant cette fausses nouvelles par le méias mensonges, rendent leurs informations non crédibles .
L'agence confirme la réception de bonne nouvelles du front et qu'elle va les diffuser prochainement juste après vérification.
C 'est l'histoire de deux photos et ce qu'ils révèlent sur ​​l'incohérence de ce qu'on appelle la justice pénale internationale, incarnée par la Cour pénale internationale (CPI).
Here is a photo of the chief prosecutor of the ICC, Luis Moreno-Ocampo (left), shaking hands with Mahmoud Jibril, the chairman of the Executive Committee of Libya's National Transitional Council (NTC), on the steps of the court on June 29. Voici une photo du procureur en chef de la CPI, Luis Moreno-Ocampo (à gauche), serre la main avec Mahmoud Jibril, le président du comité exécutif de la Libye national de transition Conseil (NTC), sur les marches de la cour le 29 Juin .







One day earlier, the ICC had issued an arrest warrant for the then Libyan leader Moammar al-Qaddafi on charges of crimes against humanity. Un jour plus tôt, la CPI avait émis un mandat d'arrêt contre le leader libyen Mouammar, puis al-Kadhafi sur des accusations de crimes contre l'humanité. The charges gave an obvious public-relations boost to the anti-Qaddafi insurrection in Libya, as well as to the Western countries intervening militarily in support of the rebellion. Les accusations ont donné un coup de pouce évidente de relations publiques à l'insurrection anti-Kadhafi en Libye, ainsi que pour les pays occidentaux d'intervenir militairement à l'appui de la rébellion. For the Western public, after all, the entire justification of the war rested on the supposed “responsibility to protect” Libyan civilians from a regime that was allegedly massacring them. Pour le public occidental, après tout, l'entière justification de la guerre reposait sur la prétendue «responsabilité de protéger" les civils libyens à partir d'un régime qui aurait été de les massacrer. The Qaddafi arrest warrant gave this justification the imprimatur of a seemingly authoritative international institution. Le mandat d'arrêt Kadhafi a donné cette justification de l'imprimatur d'une institution apparemment autorité internationale.


Jibril — who is commonly described as the “number two man” in the NTC after Mustafa Abdul Jalil — flew to The Hague to mark the occasion. Jibril - qui est communément décrit comme le «numéro deux» dans le NTC, après Mustafa Abdul Jalil - volé à La Haye pour marquer l'occasion. His symbolically charged handshake with Ocampo on the steps of the court made clear that Jibril and the NTC — and, by extension, the rebellion as a whole — were on the side of the victims. Sa poignée de main symbolique chargé de Ocampo sur les marches de la cour a précisé que Jibril et le NTC - et, par extension, la rébellion comme un tout - étaient sur le côté des victimes.

Here now is a second photo, which shows Mahmoud Jibril exactly three months later, on September 29, at a press conference in Tripoli. Voici maintenant une deuxième photo, qui montre Mahmoud Jibril exactement trois mois plus tard, le Septembre 29, lors d'une conférence de presse à Tripoli. In the meantime, massive NATO bombing had paved the way for rebel forces to take control of the Libyan capital. En attendant, les massifs bombardements de l'OTAN avaient ouvert la voie à des forces rebelles de prendre le contrôle de la capitale libyenne.



(Source: Reuters ) (Source: Reuters )

The man standing at the lectern next to Jibril is none other than the first vice president of Sudan, Ali Osman Taha: a leading representative of a government that the same International Criminal Court accuses not only of crimes against humanity, but indeed of committing outright genocide. L'homme debout au pupitre à côté de Jibril n'est autre que premier vice-président du Soudan, Ali Osman Taha: un des principaux représentants d'un gouvernement que la même Cour pénale internationale accuse non seulement de crimes contre l'humanité, mais bien de commettre un génocide pur et simple .

Taha had arrived in Tripoli to meet with NTC officials earlier in the day. Taha était arrivé à Tripoli pour rencontrer des responsables NTC tôt dans la journée. Were it not for the general deficiencies of reporting on Libya in the mainstream Western media, his presence in Tripoli at Jibril's side would have come as no surprise. S'il n'y avait pas les déficiences générales du rapport sur la Libye dans les médias occidentaux traditionnels, sa présence à Tripoli à côté Jibril aurait pas surprendre. As discussed in my recent NRO report, “Sudanese in Libya,” Sudan has in fact been an important ally of the Libyan rebellion. Comme indiqué dans mon récent rapport du NRO, "soudanais en Libye", le Soudan a été en fait un allié important de la rébellion libyenne. Indeed, in mid-June, Sudanese armed forces invaded Libyan territory and, in Mustafa Abdul Jalil's appreciative words, “liberated” the strategic town of Kufra. En effet, à la mi-Juin, les forces armées soudanaises ont envahi le territoire libyen et, en termes reconnaissants Mustafa Abdul Jalil, "libéré" la ville stratégique de Koufra.

The same Sudanese armed forces are accused by Moreno-Ocampo and the ICC of combining with so-called Janjaweed militias to carry out genocide in Darfur. Les mêmes forces armées soudanaises sont accusés par M. Moreno-Ocampo et la CPI de se combiner avec ce qu'on appelle les milices Janjaouid à mener un génocide au Darfour. Vice President Taha has been accused by Moreno-Ocampo of playing an “important role” in that genocide: “in particular by assisting in the mobilization of Militia/Janjaweed.” Vice-président Taha a été accusé par Moreno-Ocampo, de jouer un "rôle important" dans ce génocide: «. En particulier en aidant à la mobilisation des

Tortures: Amnesty International réclame l'arrestation de George W.Bush 12/10/2011

Tortures: Amnesty International réclame l'arrestation de George W.Bush 12/10/2011



Amnesty International, qui accuse l'ex-président américain George W. Bush de "tortures", a demandé au Canada de procéder à son arrestation lors de sa visite prévue le 20 octobre, ont annoncé mercredi les médias internationales.

Selon Amnesty International, au cours de son mandat présidentiel, George Bush junior a donné l'ordre d'infliger des tortures aux personnes soupçonnées de terrorisme.

En 2010, l'ex-locataire de la Maison Blanche a déclaré au quotidien Times que les traitements cruels pratiqués par les services secrets américains étaient justifiés. Selon M. Bush, les informations obtenues à l'aide de tortures, dont la simulation de noyade, avaient permis à la CIA de prévenir plusieurs attentats terroristes, y compris à l'aéroport Heathrow et dans le centre d'affaires de Canary Wharf à Londres.

Soutien du peuple syrien à Bachar Al Assad :

Soutien du peuple syrien à Bachar Al Assad :

i
11 Votes
Quantcast

Libye – Le temps, ennemi des prédateurs et drapeau vert à Tripoli

Habitants de Majer à Tripoli

Dans l’océan des mensonges proférées par les dirigeants euro-américains et de l’OTAN au sujet de la Libye, seul le temps les trahira. Et aujourd’hui, la durée de la guerre est leur pire ennemi. Si cette guerre avait été éclair comme espérée par ceux qui sont aujourd’hui humiliés sur le sol libyen, personne n’allait découvrir le pot aux roses. Aujourd’hui les choses sont claires.
Combien de fois n’a-t-on pas entendu dire que le guide libyen Mouammar Kadhafi n’avait pas de soutien populaire ? Eh bien, l’héroïsme de Syrte qui n’est pas du tout tombée à cette heure contrairement aux affirmations d’une certaine presse, Ben Jawad ou Bani Walid sont là pour prouver le contraire. En Libye, comme l’avait d’ailleurs dit Silvio Berlusconi le leader italien, le peuple libyen aime son guide.
Les prédateurs de l’Occident, ces voleurs et pilleurs, n’ayons pas peur des mots car un chat est un chat et un chien est un chien, sont fous comme le disait le président zimbabwéen, Robert Mugabé. Entre la méconnaissance de la situation sur le sol libyen, l’aveuglement volontaire, le rapprochement avec à l’islamisme le plus radical anti-Kadhafi le laïc, combattants la topographie, la culture, la langue, ou le caractère des gens.
Souvenez-vous, le 8 août 2011, nous vous parlions du massacre de l’OTAN dans la petite bourgade de Majer (Majer sur Glane, 85 tués), les habitants de cette ville sont descendus sur Tripoli défiler devant l’ambassade de Hongrie, tout un symbole puisque les Libyens considèrent Sarkozy comme Hongrois et non Français parce qu’ils aiment la France et ne croient pas que ce soit un Français qui ordonne leur massacre. Pire pour l’OTAN/CNT, ils arboraient le drapeau…vert de la vraie révolution.
Retrouvons-nous à minuit pétante !
Habitants de Majer à Tripoli
Andrea Marton, ambassadeur de Hongrie en Libye reçoit les représentants des tribus
Familles avec des portraits des victimes.
Portrait d’une victime.

Sarkozy et Obama ont installé la violence au pouvoir en Côte d’Ivoire

Sarkozy et Obama prétendaient sauver la démocratie : Ils ont installé la violence au pouvoir en Côte d’Ivoire

Dans l’opposition, ils ont réussi à faire croire qu’ils étaient les victimes de la violence. Aujourd’hui, l’insécurité et la vague de violence dans lesquelles les pro-Ouattara ont plongé la Côte d’Ivoire, alors qu’ils ont le pouvoir d’Etat, démontrent clairement que Nicolas Paul Stéphane Sarkozy de Nagy-Brosca et Barack Husséin Obama n’ont pas fait avancer la démocratie dans le pays comme ils le prétendaient en renversant le président Gbagbo, le 11 avril dernier. Bien au contraire, tout tend à démontrer qu’ils ont donné un coup assassin à la démocratie chez nous.





« C’est désolant et regrettable. Alassane Dramane Ouattara disait récemment que la Côte d’Ivoire est devenue un Etat de droit. Ce qui vient de se passer démontre que nous sommes loin de cette réalité. Nous avons posé des préoccupations par rapport au problème de sécurité. Les événements qui viennent de se dérouler nous donnent raison ». Ces propos sont de Mme Bamba Masséni, député de Port-Bouët (une des dix communes d’Abidjan). Elle les a livrés, samedi dernier, suite aux violences perpétrées par des pro-Ouattara sur des militants du Fpi lors d’un meeting pacifique du parti de Laurent Gbagbo à Koumassi (commune d’Abidjan). Les propos de l’honorable parlementaire, traduisent le fossé abyssal existant entre les déclarations d’Alassane Dramane Ouattara et la réalité qui prévaut en Côte d’Ivoire, sur le terrain. Une réalité tenue par les hommes en armes de Ouattara qui, en toute impunité, commettent des exactions, pillent et violent. Pour les protéger, le procureur Simplice Kouadio Koffi qualifie les pro-Ouattara armés (ex-rebelles et dozos) de « sauveurs ». Ces « sauveurs » et leurs commanditaires (Ouattara et Soro) que la France et les Etats-Unis s’évertuent à soustraire de la Cour pénale internationale (Cpi) agissent contre les populations civiles. Hier à Bingerville, ils ont tiré sur des jeunes gens, faisant trois morts.


Ouattara et la démagogie

Alors que la violence à grande échelle a été introduite dans la vie politique ivoirienne avec l’arrivée sur la scène de son parti politique, le Rdr, Alassane Dramane Ouattara s’est toujours mis, sur conseils de ses communicants hexagonaux, dans une posture « enviée » de victime. Durant ses années passées dans l’opposition (sous Bédié, Guéï et Gbagbo), il a fait de la victimisation, son arme de combat. Bien que les actes de violence inouïe étaient posés par ses hommes, Ouattara réussissait, grâce à une certaine presse internationale financée par ses partenaires (exemple : TF1 et Le Monde tenus par Martin Bouygues) à retourner la faute contre les régimes au pouvoir. Ce jeu de violence-démagogie a fait croire, tout au long des dix dernières années, qu’après Henri Konan Bédié et feu Robert Guéi, Laurent Gbagbo était le « diable » et Alassane Dramane Ouattara, « l’ange ». Que Gbagbo était « le dictateur qui confisquait la démocratie dans son pays » et Ouattara, « le démocrate qui constitue la chance pour le pays ». C’est donc sur la base de ce mensonge grossier, ahurissant mais bien camouflé, que Nicolas Sarkozy a emballé Barack Obama pour une guerre postélectorale contre le régime Gbagbo. Bilan effroyable de cette guerre : 3000 morts dont de nombreux civils innocents. En bombardant la résidence de Laurent Gbagbo et en laissant les forces pro-Ouattara massacrer, piller et violer les populations, Sarkozy et Obama prétendaient « libérer » la Côte d’Ivoire d’une supposée dictature et bien de bonnes gens ont cautionné la combine de toute bonne foi.


Violence au pouvoir

A la vérité, il ne s’agissait ni d’une dictature à dégommer ni d’une libération de la population ivoirienne à exécuter. Les raisons de la guerre contre la Côte d’Ivoire étaient purement économiques et géostratégiques. Comme nous le confiait, en juin dernier, un diplomate occidental en poste à Abidjan, « la France se plaignait d’avoir perdu sous Gbagbo, son influence politique et économique en Côte d’Ivoire. Et cette influence était également mise à rude épreuve en Afrique à cause de l’aura de Gbagbo. Elle a décidé de le dégager du pouvoir par la force pour y installer son homme. Les Etats-Unis et la Russie ont été impliqués dans le deal. La Russie a reçu l’assurance des Etats-Unis et de la France que ses pays alliés ne seront plus persécutés en Asie et au Moyen-Orient, l’Iran, notamment ». Après le renversement de Laurent Gbagbo et l’installation de Ouattara au pouvoir dans des conditions si ensanglantées, le temps est sûrement venu pour que le monde découvre que la France et les Etats-Unis ont installé la violence au pouvoir en Côte d’Ivoire. Avant les brutalités contre le militants Fpi de Koumassi, l’actualité nous a démontré que dans le Nord-Ouest (Touba) et dans l’Ouest du pays (Man), les pro-Ouattara armés sèment la terreur. Ils tuent et dépossèdent de force les autochtones de leurs terres. De Kouibli à Taï en passant par Toulepleu, Guiglo, Duékoué, etc., les autochtones se réfugient dans la brousse fuyant les exactions des dozos et autres hommes armés pro-Ouattara. Le 29 septembre 2011, au lendemain de l’installation de Charles Konan Banny dans ses habits de « réconciliateur », des éléments Frci (pro-Ouattara) ont violenté les populations civiles, incendié le village de la sous-préfecture de Gnagbodougnoa (département de Gagnoa). Samedi dernier, au moment même où les pro-Ouattara semaient la violence sur un meeting pacifique du FPI à Koumassi, d’autres militants Rdr battaient, trainait dans le caniveau et séquestraient le maire intérimaire de la ville d’Issia, au motif qu’ils disent ne plus vouloir de maire Bété à Issia ! Comment cela peut-il être possible ? Ne plus voir de maire Bété sur la terre des Bété !? Quel est donc ce pouvoir qui veut chasser les autochtones de leurs terres natales ? Quelles dérives tribales !


Violence dans l’opposition…

Chasser le naturel, il revient au galop, dit l’adage. Le Rdr et la violence ont un pacte d’amour, vieux de plusieurs années. Sous Bédié et Guéï, Ouattara et ses partisans ont utilisé la violence pour tenter de s’imposer. Dès octobre 2000, alors que Gbagbo était à peine élu, Ally Coulibaly (actuel ambassadeur du régime Ouattara en France) demandait, au nom de Ouattara, aux militants du Rdr de prendre « le pouvoir qui est dans les rues ». Un appel à la violence qui sera suivi par les pro-Ouattara. Bilan : 300 morts à Abidjan. S’en suivra l’histoire du charnier de Yopougon, un montage malsain attribué au régime Gbagbo alors que le président élu n’avait pas encore prêté serment. La suite est connue.

En sa qualité de nouveau Président de la République, Laurent Gbagbo initie, dès octobre 2001, un forum national pour la réconciliation. Il envoie, en prélude à ce forum, des émissaires dans le nord du pays pour parler de paix avec les populations. Contre toute attente, à Séguéla, les pro-Ouattara agressent physiquement la délégation et son chef, le ministreAbou Drahamane Sangaré. Qu’à cela ne tienne. Convaincu que seule la paix peut sauver le pays, le Président Gbagbo engage des pourparlers avec Ouattara et le Rdr afin que les cadres pro-Ouattara entrent au gouvernement. Le gouvernement d’ouverture est effectivement formé le 5 août 2002. Alassane Dramane Ouattara et son parti y entrent sans doute pour distraire le peuple ivoirien. Mais le couteau était dissimulé dans leurs dos. Le 19 septembre 2002, la rébellion armée sur laquelle la paternité de Ouattara et le parrainage de la France sont clairement établis depuis la crise postélectorale attaque la Côte d’Ivoire et occupe la partie septentrionale du pays. De septembre 2002 à avril 2011, la zone occupée par la rébellion armée est interdite aux autres partis hormis le Rdr d’Alassane Dramane Ouattara. C’est une zone de non-droit qui le demeure encore. Parmi les dirigeants de cette rébellion, on a très vite identifié les hommes de Ouattara, militaires (Ibrahim Coulibaly dit IB) comme civils (Guillaume Soro Kigbafori, colistier d’Henriette Dagri Diabaté aux législatives à Port-Bouët, actuel Premier ministre et chef de la rébellion).

C’est clair. En Côte d’Ivoire, Ouattara et ses partisans ont toujours incarné la violence. Dans l’opposition, dans la nuit opaque, ils ont pu se faire passer pour les victimes. Mais ils sont au pouvoir depuis le 11 avril 2011 et à la faveur de cette lumière du jour, clarté divine, les voilà à découvert, violents et sans limites. La violence est au pouvoir en Côte d’Ivoire !

Par César Etou et Didier Dépry



« ARRETEZ LE GENOCIDE DU PEUPLE DE SYRTE EN LIBYE »

LA RUE DE TUNIS REPREND EN CŒUR : « ARRETEZ LE GENOCIDE DU PEUPLE DE SYRTE EN LIBYE »


Publié le 12/10/2011 à 14:01 - 96 visites
Source : Une groupe Tunisien solidaire avec la Green Libya
LA RUE DE TUNIS REPREND EN CŒUR : « ARRETEZ LE GENOCIDE DU PEUPLE DE SYRTE EN LIBYE »
ALGERIA ISP / Nous avons reçu cet article d'un groupe Tunisien solidaire de la GREEN LIBYA

Récit d’une après-midi historique à Tunis : une immense joie après une petite déception…
LA RUE DE TUNIS REPREND EN CŒUR : « ARRETEZ LE GENOCIDE DU PEUPLE DE SYRTE EN LIBYE » et « ARRETEZ LE BOMBARDEMENT CONTINU DES VILLES ET VILLAGES LIBYENS DEPUIS 7 MOIS ! » et « NATO (OTAN), DEGAGE DE LIBYE !
Lieu : Siège du Croissant Rouge Tunisien - 19, rue d’Angleterre. Date : 7 octobre 2011.

Autisme…
Las société tunisienne était soudain devenue autiste : « il n’y a que la Tunisie qui m’intéresse » répètent à l’envi la majorité des citoyens de ce pays. Une centaines de partis politiques sont en course pour les élections du 23 octobre sans faire d’allusion directe à ce qui est devenu, de fait, un nouvel Irak à leur porte. Les médias locaux singent leurs homologues français, européens, nord-américains ou, ce qui revient au même, Al-Jazeera : voir à ce sujet le bulletin d’information télévisé de 20h (qui a remplacé celui de « l’ancien régime ») dans lequel un couple (un homme, une femme) de présentateurs commentent et censurent allègrement l’« actualité » en s’échangeant de stupides sourires.

La conséquence d’un tel silence a été l’absence stupéfiante, dans la capitale même, de manifestations dénonçant l’agression militaire contre la Libye en cours depuis près de 7 mois. Dans ce contexte, nous avons récemment salué la position courageuse des pays de l’ALBA (Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique, regourpant le Nicaragua, le Venezuela, Cuba, l’Ecuador et la Bolivie) en envoyant une télécopie à leurs missions respectives à New York (ONU). Si nous avons certainement été heureux de recevoir de leur part une lettre de soutien, il faut avouer que nous avons été déçus par la position de l’ambassadeur de Cuba à Tunis que nous avons souhaité rencontrer à plusieurs reprises, dont la dernière en date du 5 octobre 2011. Le secrétaire (tunisien) de l’ambassade nous a dit que le diplomate considérait la guerre en Libye comme un événement qui ne le concernait pas et a clairement refusé de nous recevoir, ne serait-ce que quelques minutes. Il s’agit donc là de notre « petite déception ».

Aujourd’hui, samedi 8 octobre, il nous semble important de proposer un récit de cette après-midi historique d’hier à Tunis où l’on a vu une foule massée dans une des rues du centre-ville de la capitale tunisienne, quadrillées par des policiers (en uniforme et en civil) et parsemées de barbelés, chars et autres engins (entre l’ambassade de France et le Ministère de l’Intérieur), reprendre des slogans tels que : « NATO [OTAN], Dégage min [de] Libya ! »(désormais imprimé sur le béton des infrastructures autoroutières tunisiennes » et « Sirt tastagith ! » (la ville de Syrte appelle au secours !). Syrte se trouve sous le feu aérien et maritime de l’OTAN et celui, à terre, de ses rebelles mercenaires lesquels bombardent au hasard de leurs missiles « Grad » les hôpitaux et la population sous embargo total.
Des plaques d’immatriculation devenues « gênantes »…

Le silence en Tunisie est plus complice qu’ailleurs car ce pays constitue une pièce-clé dans le dispositif impérialiste en place dans la région. Sans lui, les bombardements auraient cessé depuis longtemps en raison de la proximité géographique, la parenté (y compris linguistique car la langue vernaculaire libyenne est la plus proche de celle des Tunisiens), sans parler des centaines de milliers de réfugiés répartis dans tout le pays maintenant. Ces derniers sont particulièrement repérables dans les villes par leurs grandes voitures dont la plaque d’immatriculation indique « Jamahiriya » (Gouvernement des masses) et que les rebelles de l’OTAN couvrent systématiquement d’une étiquette avec les couleurs du drapeau du régime réactionnaire monarchiste d’avant la révolution pacifique dirigée par Gaddafi en Septembre 1969 (Al-Fateh).
Pour cette raison nous, Tunisiennes et Tunisiens libres, devenus militants pacifistes anti-guerre malgré nous (à quoi servent donc les institutions officielles existantes, la « société civile », etc. si elle se taisent toutes devant ce qui se passe dans le pays voisin ?) avons décidé de briser le silence criminel au sujet de la Libye : à commencer par celui des médias tels qu’Al-Jazeera, la BBC, la télévision et la radio nationales tunisiennes et la presse écrite de ce pays à une ou deux rares exceptions près (Ar-Risala At-tounisiya (La Lettre de Tunisie), entre autres).
Les médias présentent ainsi la situation de la ville de Syrte (entre 100 et 150 000 habitants selon les sources et dont seulement quelques dizaines ou centaines de familles ont récemment fui les bombardements) comme celle d’une « poche de résistance » que les rebelles du « Conseil National de Transition » (CNT, imposé et protégé depuis le ciel par l’OTAN, nuit et jour depuis environ 7 mois) s’apprêteraient à ««libérer»»(de qui et de quoi?) « dans les heures qui viennent » ou les jours qui viennent » suivant le degré d’impatience de leurs responsables…
En fait, en raison de ce lavage collectif et mondialisé de cerveaux jamais égalé dans l’histoire (en ce sens, Al-Jazeera a gagné sa guerre jusqu’à présent), les Tunisiens –qui disent soutenir les « révolutionnaires » (i.e. de l’OTAN) ignorent tout de la réalité. Non seulement beaucoup d’entre eux ne savent-ils même pas localiser les nombreuses localités du pays où une résistance acharnée a rapidement émergé (en dépit des bombardements incessants de l’OTAN depuis 7 mois) mais encore ignorent-ils qu’une grande partie (en surface et en population) du pays (90% selon certaines sources) soutient de fait le gouvernement légal et le régime correspondant (Jamahiriya) sous lequel ses habitants vivaient en paix et dans la prospérité économique depuis 42 ans jusqu’à l’irruption, en février dernier, de bandes armées couvertes et dirigées depuis le ciel par l’OTAN auxquelles se joints des supplétifs importés d’Afghanistan et du Pakistan par la CIA.
Joie immense…
Nous avions appelé la veille et le matin-même de l’événement les Tunisiennes et les Tunisiens libres (du lavage collectif et mondialisé de cerveaux) à cette protestation pacifique (I’tisam silmy, en arabe) via la seule chaîne de télévision alternative dans le monde arabe : ARRAI (souvent brouillée soit, pensons-nous, par l’OTAN ou le gouvernement tunisien ou les deux). En raison de la censure et de l’auto-censure (censure intériorisée), nous nous attendions à trouver seulement un individu ou deux. Or, une fois arrivés sur place, nous n’en crûmes pas nos yeux. Au portail du Croissant Rouge Tunisien, une masse de gens (dont de nombreuses femmes de tous âges) se bousculaient et discutaient avec une employée qui avait entrouvert la porte et qui expliquait qu’il n’était pas possible de rencontrer le directeur maintenant ; qu’il faudrait essayer un autre jour.


Nous réalisions soudain que tous ces gens avaient répondu à notre appel. Une dame algérienne arriva alors et s’exprima dans les mêmes termes étonnés que nous. Un médecin présent travaillant pour le centre en question s’évertuait à expliquer la position «neutre» de son organisation en renvoyant les manifestants soit vers Amnesty International soit ver la Croix-Rouge. C’est aberrant, lui répliqua-ton, puisque la première organisation a montré, s’agissant de ces événements uniques dans l’histoire de l’humanité, qu’elle était littéralement devenue Amnesia International. Quant à la seconde, elle est systématiquement bloquée par les rebelles de l’OTAN. Nous luis avons alors proposé d’expliquer clairement dans les médias pourquoi le Croissant Rouge Tunisien n’intervient pas à Syrte ; à savoir que les «révolutionnaires» l’en empêchent. Il ne répliqua pas.
La manifestation avait été improvisée en raison de l’urgence de la situation de famine et de détresse à Syrte où les hôpitaux sont bombardés par l’OTAN et ses rebelles armés. Devant le siège du Croissant Rouge, de plus en plus de « curieux » se regroupaient, à l’image des événements de janvier qui avaient poussé le président de la république à fuir du pays face la contestation grandissante. La plupart des passants étaient surpris d’apprendre que de telles choses avaient lieu en ce moment-même et dans le pays voisin (effet du lavage collectif et mondialisé de cerveaux par les médias étouffant toute voix dissidente). Ils se mirent souvent à sympathiser. L’ambiance devenait bon enfant, notamment avec les élèves de l’école d’en face qui reprenaient en cœur nos slogans pacifistes. Des Libyennes, enveloppés dans du tissu vert qui venait d’être acheté dans une échoppe du quartier, nous avaient rejoints et lancèrent aussi le fameux slogan de ralliement de la résistance sur le terrain: « Dieu, Muammar, la Libye et basta ya! » Les gens discutaient de toutes parts. Les appareils photographiques se levaient ça et là comme des parapluies à l’apparition d’une averse. Une centaine de personnes composait alors le rassemblement et les slogans retentissaient dans tout le quartier de la rue d’Angleterre….
Provocations (policières)…
Dès le tout début du rassemblement pacifique, un ivrogne intervint dans un but évident de semer la confusion, notamment quand il tenta d’ameuter des gens du quartier en lançant : « Venez voir, c’est incroyable ; ils manifestent non pas pour (des affaires en rapport avec) la Tunisie mais pour autre chose !». Nous avons tenté de le « calmer » un peu et notre ruse a fonctionné un moment étant donné son état. Cependant, son intention était claire dès le début : semer la confusion afin de justifier l’intervention de la police. Nous pensons donc qu’il s’agissait d’un agent de cette dernière. Un indice en est qu’il ne figurait pas parmi les individus arrêtés par la suite (y compris des vendeurs de cigarettes ambulants…) et emmenés manu militari au commissariat de police.
D’ailleurs, à un moment donné, un partisan des rebelles de l’OTAN, brandissant un grand drapeau du régime réactionnaire monarchiste d’avant la Jamahiria, vint s’installer en hauteur sous les fenêtres de l’immeuble du Croisant Rouge. Il fut vite hué et pris à partie par les manifestants. Là encore, l’ivrogne-indicateur intervint afin qu’il demeure à sa place et poursuive sa provocation. Cependant, il fut bien obligé de décamper comme un « rat » et fut qualifié comme tel par la foule en colère. En effet, ces gens se comportent comme si ils étaient chez eux, partout en Tunisie, à tel point que les réfugiés loyalistes au gouvernement légal de la Jamahiriya font-ils désormais profil bas tant ils sont victimes d’ostracisme de la part des Tunisiens eux-mêmes (ce qui n’était étrangement pas le cas avant les bombardements de l’OTAN). Cela dit, on peut supposer que le « rat » était également un indicateur de police. La mise en scène de l’intervention musclée et « justifiée » de la police (bien qu’il n’y ait eu aucun coup très violent porté) aurait ainsi réussi.
« En voiture » vers le commissariat avec les « Baltagia » de la police locale…

Les Baltagia (pluriel de Baltagi), ce sont les « gros bras », hommes de main (« thugs » en anglais ; à l’image de ces hommes armés de matraques embarqués à bord de chameaux et faisant leur apparition sur la place Tahrir au Caire lors des rassemblements de masse). Des hommes armés de bâtons ont soudain interpelé nombre d’entre nous puis nous ont embarqués à bord de leur véhicule anonyme. L’un des hommes de main s’était pourtant approché durant le rassemblement et nous n’avions pas réalisé que c’était aussi un policier en civil. Nous n’avions pas compris pourquoi il chuchota à nos oreilles: « Yezzi Tawa »(Ça suffit maintenant). S’il nous avait dit « La police (dont je suis) vous conseille de mettre un terme à la manifestation », nous aurions sûrement mieux saisi son intention.
Dans la voiture, les Baltagia nous étranglaient avec leurs gros bras et leur chef (ressemblant étrangement à Iyad Alaoui, président marionnette de l’Irak occupé il y a quelques années et individu de triste augure) brandissait un gros bâton nu et nous crûmes réellement qu’ils allaient nous casser les os, notamment quand ils commencèrent à nous donner des coups mesurés (ils semblaient se retenir sachant que les piétons dans les rues embouteillées nous observaient) et quand ils nous jetèrent dans une pièce d’interrogatoire du commissariat de police. Ils avaient également arrêté de simples passants qui prenaient des photos de l’événement avec leur téléphone portatif. Ils les effrayaient en consultant leur album enregistré dans la mémoire de l’appareil. Ils demandèrent à qui appartenaient les drapeaux verts de la manifestation et systématiquement : « Tu es Tunisien, toi ? » probablement afin d’expulser d’éventuels Libyens interpellés, ce qui serait un crime compte-tenu du caractère vindicatif des marionnettes de l’OTAN qui « gouvernent » actuellement à Tripoli. Il ajouta : « Et regardez celui-là » qui porte (tout à fait par hasard et sans y avoir pensé un seul moment) une chemise de couleur verte (foncée)…
Ou encore : « Tu es avec les « révolutionnaires » (i.e. de l’OTAN) ou « avec Gaddafi ? ». Le chef des hommes de main (qui, dans la voiture, insultait aussi le chauffeur d’un véhicule nous précédant, simplement parce que le logo Jamahiriya de sa plaque d’immatriculation libyenne n’était pas recouvert de l‘étiquette du drapeau des rebelles de l’OTAN) nous martelait : « On va s’occuper de vous comme il faut ; Pourquoi venez-vous ici semer la confusion ? Allez donc combattre en Libye ! ». Comme si c’était (à supposer que nous ayons eu des tendances ou même un minimum de formation « militaires ») si facile avec un gouvernement complice de la menée impérialiste contre ce pays et des voies d’accès (poste frontalier de Ras-l-Jdir en particulier) hyper contrôlé du côté tunisien avant même qu’il ne soit repris, du côté libyen, par les rebelles de l’OTAN. Et puis, est-ce une réponse acceptable de la part d’un fonctionnaire de police, d’un « agent de la paix » dans un Etat devenu soi-disant « démocratique » ?
Bref, pour nous, ce fut aussi la confirmation –s’il en fallait une- que le régime ancien et son système sécuritaire, tant honni, n’a changé qu’en surface.
L’ironie de l’Histoire…
Nous fûmes relâchés après plusieurs heures, les uns après les autres après des séances de torture psychologique. En fait, et on peut s’en réjouir, la torture physique (il n’y eut dans notre cas que des « petits coups » avec leurs énormes bâtons et des menaces sérieuses de coups très violents) semble désormais révolue en raison de la « révolution »… et de la surveillance internationale du pays par de nombreux observateurs internationaux, dont les Etats finançant, de manière directe ou indirecte, le « processus démocratique » et l’« Etat de droit ». Ils prirent nos coordonnées. Nous avons alors demandé au chef du commissariat pourquoi nous avions été arrêtés et pourquoi toutes ces arrestations avaient-elles eu lieu alors que nous ne représentions aucun parti (grand ou petit) mais que nous étions de simples citoyens (dont une majorité de femmes) révulsés par le silence complice. Il nous répondit, gêné, que la police cherchait « à nous protéger »…. et après avoir évoqué avec lui notre souhait de continuer, il nous rappela qu’il nous incombait de déposer une demande officielle au ministère de l’intérieur, ce que nous ferons mais sans grand espoir tant ce sujet est probablement l’un des plus sensibles en Tunisie…
Conclusion…
Nous avions réussi à appeler une avocate pour l’enjoindre de venir au commissariat. Elle n’arriva près des lieux que lorsque nous étions déjà sortis. Nous la rencontrâmes sur l’artère principale du centre ville (avenue Bourguiba). Sans nous en rendre compte, nous nous sommes alors retrouvés dans la mire des canons stationnés devant l’ambassade de France, sous le regard de la statue du sociologue historien Ibn Khaldoun et dans le champ des oreilles indiscrètes du Christ derrière le mur de la haute cathédrale qui la surplombe. Nous avons discuté avec l’avocate et son mari de ce qui nous était arrivés.
Avec tristesse, nous avons constaté que tous deux partageaient en fait le point de vue « classique » des médias de l’OTAN (voir novlangue NATO Media Advisory) et du gouvernement tunisien… Cela est vrai aussi pour les ««élites intellectuelles»» du monde entier en général et de Tunisie en particulier (voir l’analyse rétrospective de Toni Solo intitulé « Illustrious Corspses » à propos de gens aussi «respectables» qu’Immanuel Wallerstein, Rico Alba, Ignacio Ramonet (Le Monde Diplomatique), Gilbert Achkar, etc.). Doit-on aussi rappeler que le « Tribunal Pénal International » a lui-même été utilisé comme une marionnette de l’OTAN et de ses agents du CNT ?
Merci encore à tous les esprits libres, tunisiens ou non, qui ont répondu à l’appel à cette protestation pacifique : en particulier à Mohamed, Radia, Usama, Dalila, Benhassen et d’autres dont nous avons oublié les noms…
*****************************
POST-SCRIPTUM : Les photographies de cet événement existent par centaines, prises par la foule des passants. Les personnes qui avaient répondu à l’appel sont également en possession de vidéos qui devraient apparaître sur les sites d’information alternative, à commencer par ceux de la chaîne ARRAI.

Adresse de ce document: http://tinyurl.com/5v9h9lr

LIENS CITES dans ce document:
Ar-Risala At-tounisiya
http://www.rissala.tn/
ARRAI TV Channel
http://www.facebook.com/arraichannel
NATO Media Advisory
http://humanrightsinvestigations.org/2011/09/07/nato-media-advisory/
Analyse rétrospective de Toni Solo (“Illustrious Corpses”) sur la collusion des “élites intellectuelles” dans la guerre contre la Libye
http://www.mathaba.net/news/?x=628836

ALGERIENNE !!

Libye - La carte indiquant la stratégie d'attaque des rebelles sur la ville assiégée Sirte - 12 octobre 2011


Publié le 12/10/2011 à 14:49 - 40 visites
Source : ALGERIA ISP
Libye -  La carte indiquant la stratégie d'attaque des rebelles sur la ville assiégée Sirte - 12 octobre 2011
ALGERIA ISP / Depuis plusieurs jours que la ville Sirte résiste au siège imposé par les rebelles et l'otan. Coupure d'électricité, eau, nourriture, médicaments, télécommunications, …
Un bombardement intensif des avions de l'otan et des chars, lance-roquettes des rebelles.
Des centaines de victimes civiles: enfants, femmes, vieillards, … entre blessés et morts.
Sous les caméras du média mensonge mondial filmant ses atrocités et massacres d'une population qui a dit NON AUX TRAITRES.
Le pire que l'un des quotidiens arabophones Algérien, accompagne les assassins de l'otan et prend des photos des massacres accomplis par des monstres contre leurs frères. WIN RAHI LA FIERTE ALGERIENNE !!
ACCOMPAGNER UN ASSASSIN QUI FAIT UN CRIME....N'EST AUTRE QU'UN COMPLICE
Comment peut on suivre ses assassins, ceux qui tuent sans aucune pitié leurs frères, soeurs et enfants. Ceux qui ont attaqué notre ambassade en Libye. Ceux qui ont remplacé le nom d'une place d'Algérie en Libye. Ceux qui ont insulté notre président. Ceux qui ont insulté notre peuple.
Ceux qui ont insulté nos martyres. Ceux qui ont débité des mensonges pour nous trainer dans leurs guerres. Ceux qui ont mobilisé les occidentaux pour faire la pression sur l'Algérie.
Sur toutes les chaines du monde, ont montré que le numéro 1 du CNT à Sirte. Ce n'est qu'un mensonge, il ne peut pas aller à Sirte puisque cette ville est toujours sous le drapeau vert. La vidéo montrée par Eljazeera était réalisée dans la ville e Hrawa (source Zengtena).
Les combattants de la résistance libyenne et les volontaires, hommes, femmes, enfants défendent Sirte avec courage.
La carte montre la stratégie d'attaque massive des rebelles. Tirant sur des immeubles vides.
Depuis le début de cette guerre. Les rebelles retsent en périphérie de la ville jouer au ballon, domino, cartes, …. les avions de l'otan bombardent la ville en rasant tout; école, maisons, immeubles, … puis ils donnent le feu vert aux rebelles pour se filmer devant les caméras de Eljazeera.
Vive la Libye verte


- En vert : les combattants de la résistance résitent et cette zone est sous contrôle.
- En rouge : les combattants de la résistance résitent et cette zone est sous contrôle et en plein combat.
- En noir : les attaques des rebelles.

Femmes héroïques de Syrte - LIONNES LIBYENNE

Femmes héroïques de Syrte - LIONNES LIBYENNE

NATO-led rebel admits that they are fighting against courageous WOMEN in Sirte. Those women heroes fiercely resist NATO bombs and fight against NATO mercenaries with more courage than any man ever had! Dirigée par l'OTAN rebelles admet qu'ils se battent contre des femmes courageuses à Syrte. Ces héros les femmes résistent farouchement bombes de l'OTAN et la lutte contre les mercenaires de l'OTAN avec plus de courage que tout homme ait jamais eu!


This pathetic rebel who is fighting against Libyan women- Lionesses of Sirte, says also, that one woman fired around 20 RPGs on their sorry-ass brigade Ce rebelle pathétiques qui se bat contre les femmes libyennes-Lionnes de Syrte, dit aussi qu'une femme a tiré environ 20 RPG sur leur regret-cul la brigade

Read also : BRAVE BANI WALID WOMEN - FATAL FOR NTC TRAITORS - > http://libyasos.blogspot.com/2011/10/brave-bani-walid-women-fatal-for-ntc.html Lire aussi: BRAVE Bani Walid FEMMES - ​​MORTEL pour les traîtres NTC -> http://libyasos.blogspot.com/2011/10/brave-bani-walid-women-fatal-for-ntc.html
PRELUDE D’UNE ANNEE 2012 CAUCHEMARD.
Soyez certain que prochainement on inventera un complot, du même genre que celui que le cow-boy américain avait inventé pour faire la guerre a l’Irak mais cette fois ce sera pour L’ Iran , l’ennemi qu’il faut abattre coûte que coûte , les pions sont posés , Syrte va tombée ce sera l’occasion d’une pose des bombardements contre la Lybie , puis se créeront les conditions d’une pacification avec troupes au sol , des négociations avec probablement une partition du pays , viendront les bases de l’Otan » américanisées dont j’ai parlé , voila pour l’année 2012 , ce qui devrait passer inaperçu pour l’opinion publique puisque cette année 2012 verra l’Europe chanceler et le système qui gouverne le monde rendre l’âme , prélude au désordre mondial , et vous verrez que cette belle démocratie dont on chante les louanges deviendra par force des choses et force des armes une belle dictature mondiale.) J’ajoute qu’il devient vain d’écrire sur » ces choses de la vie qui passe » l’histoire depuis des millénaires s’est toujours écrit avec de l’encre noire…

L'Iran rejette les accusations de tentative d'assassinat de l'ambassadeur saoudien à des Etats-Unis

L'Iran rejette les accusations de tentative d'assassinat de l'ambassadeur saoudien à des Etats-Unis
12 Octubre, 2011 12 octobre 2011

Portavoz del Ministerio de Asuntos Exteriores de Irán, Ramin Mehmanparast. Porte-parole du ministère des Affaires étrangères de l'Iran, Ramin Mehmanparast.

Teherán, 12 oct (EFE).- El Gobierno de Irán rechazó hoy la acusación hecha por Estados Unidos de que está tras un complot desmantelado para asesinar al embajador de Arabia Saudí en Washington, en manifestaciones del portavoz del Ministerio de Asuntos Exteriores, Ramin Mehmanparast. Téhéran, 12 oct (EFE) .- Le gouvernement iranien a rejeté aujourd'hui l'accusation américaine qu'il est démonté après un complot visant à assassiner l'ambassadeur d'Arabie Saoudite à Washington, des manifestations porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast .


Mehmanparast, en declaraciones difundidas por la agencia oficial IRNA, calificó de “falsa” la acusación de EEUU de que las autoridades iraníes estuvieran detrás de una trama que pretendía atentar contra las legaciones de Israel y Arabia Saudí, y asesinar al embajador de este último país en Washington, Adel al Jubeir. Mehmanparast, dans des remarques diffusées par l'agence IRNA nouvelles officielles décrit comme "fausse" l'accusation américaine que les autorités iraniennes étaient derrière un complot visant à saper les délégations d'Israël et l'Arabie saoudite, et d'assassiner l'ambassadeur de ce dernier pays à Washington, Adel Jubeir d'.

Irán y Arabia Saudí, aseguró, “mantienen unas relaciones de respeto mutuo y esas falsas afirmaciones no tendrán efecto alguno en la opinión pública de esta zona (de Oriente Medio)”. L'Iran et l'Arabie Saoudite, a déclaré: «entretenir des relations de respect mutuel et les fausses déclarations n'ont aucun effet sur l'opinion publique dans ce domaine (Moyen Orient)."

Para el portavoz iraní, la trama denunciada por EEUU es un “guión prefabricado” y “sin fundamento”. Le porte-parole présumé complot de l'Iran par les États-Unis est "prêt-à-script" et "sans fondement".

Mehmanparast condenó “ese tipo de actos terroristas”, pero indicó que las acusaciones que se les hacen “son un truco ya gastado propio de la vieja y hostil política de EEUU y el régimen sionista (israel)” contra Irán. Mehmanparast a condamné "ces actes de terrorisme", mais a déclaré les accusations portées contre eux "sont un gadget et les dépenses propres à la politique américaine vieille hostilité et le régime sioniste (Israël)" contre l'Iran.

“Los diseñadores de estas falsas situaciones pretenden promover la separación y ayudar al régimen sionista a salir de su actual aislamiento”, indicó el portavoz iraní, quien las consideró “un espectáculo cómico para crear situaciones especiales con intención de sembrar la discordia”. «Les concepteurs de ces faux positifs sont destinées à promouvoir la séparation et aider le régime sioniste de son isolement actuel", le porte-parole iranien, qui l'a considéré comme "une comédie de créer des situations spéciales pour semer la discorde."

Mehmanparast defendió la “moralidad y los valores islámicos” del régimen iraní e indicó: “Siempre hemos advertido de las conspiraciones de los enemigos (en especial EEUU e Israel) en la región (de Oriente Medio)”. Mehmanparast a défendu "la morale islamique et aux valeurs» du régime iranien et a déclaré: «. Nous avons toujours mis en garde contre les complots des ennemis (en particulier les Etats-Unis et Israël) dans la région (Moyen Orient)"

Las actuales acusaciones, recalcó, se producen “cuando la política estadounidense, dentro de ese país y en esta región, se muestra verdaderamente ineficaz y se enfrenta a grandes protestas dentro y fuera de EEUU”. Les tarifs actuels, il a souligné, se produisent "lorsque la politique américaine dans ce pays et cette région montre vraiment inefficace et doit faire face à des protestations massives à l'intérieur et l'extérieur des États-Unis."

Estados Unidos acusó ayer a Irán de estar tras un complot desmantelado para atentar contra las embajadas de Arabia Saudí e Israel en Washington, así como asesinar al embajador Al Jubeir. Etats-Unis accusent l'Iran d'hier d'être derrière un complot visant à la bombe a démantelé les ambassades d'Arabie saoudite et Israël à Washington et à assassiner l'ambassadeur Al Jubeir.

El secretario de Justicia de EEUU, Eric Holder, explicó en rueda de prensa conjunta con el director de la Oficina Federal de Investigaciones (FBI), Robert Muller, que el Gobierno iraní habría pagado un millón y medio de dólares a dos hombres para que perpetraran los atentados. Le U. S. procureur général Eric Holder a dit dans une conférence de presse conjointe avec le directeur du Federal Bureau of Investigation (FBI), Robert Muller, le gouvernement iranien aurait payé un million et demi de dollars à deux hommes de perpétrer des les attaques.

Los dos presuntos conspiradores fueron identificados como Manssor Arbabsiar y Gholam Shakuri, ambos de nacionalidad iraní, aunque el primero había obtenido también la estadounidense y residía en Nueva York, donde fue detenido el pasado 29 de septiembre en el aeropuerto John F. Les deux conspirateurs présumés ont été identifiés comme Gholam Manssor Arbabsiar et Shakuri, deux ressortissants iraniens, bien que les anciens avaient aussi obtenu des États-Unis et résidait à New York, où il a été arrêté le Septembre 29 à l'aéroport John F. Kennedy. Kennedy.

Arbabsiar y Shakuri han sido acusados de conspiración para asesinar a un funcionario extranjero, conspiración para el uso de armas de destrucción masiva y conspiración para cometer un acto de terrorismo internacional, entre otros cargos. Shakuri Arbabsiar et ont été accusés de complot pour assassiner un agent étranger, de complot pour utiliser des armes de destruction massive et de complot pour commettre un acte de terrorisme international, entre autres charges.

La Dirección Estadounidense Antidrogas (DEA) tuvo conocimiento del complot cuando Arbabsiar se puso en contacto el pasado mayo en México con un informante de ese organismo, al que creía miembro de un cártel del narcotráfico, para pedir asistencia para asesinar al embajador saudí. La Drug Enforcement Administration (DEA) avait connaissance du complot lorsqu'il est contacté Arbabsiar mai dernier au Mexique avec un informateur de l'agence, qui a cru un membre d'un cartel de la drogue, à l'aide d'assassiner l'ambassadeur
Il ne faut par croire une seconde la propagande actuelle. Ce n’est que diversion. J’ai entendu que le CNT souhaite privatiser en masse les services publics de la Libye. C’est la fin des acquis sociaux concernant l’eau, l’électricité, l’éducation… Il est impossible pour le peuple d’accepter un gouvernement qui ne pendra en compte que les intérêts des grandes entreprises étrangères. Je souhaite dire au peuple libyen opposant ou non au gouvernement qu’il faut soutenir la transition que le GUIDE souhaite mettre en place. Les manifestations pacifiques (sous protection des loyalistes) doivent fonctionner à une condition qu’il y ai des vidéos, des photos authentiques, des journalistes. Le monde doit comprendre que l’action de l’OTAN n’est pas soutenue par la majorité du peuple (opposant ou non au gouvernement). Si une grande manifestation est programmée pour le 14/10 alors il faut bien prévoir la couverture médiatique. J’ai entendu dire que de récentes manifestations ont été réprimées avec un nombre important de manifestants non armés tués par la force du CNT. Les images des exactions des forces du CNT contre des manifestants non armés auraient pu contribuer à renverser la propagande. Je lance un appel à témoins, si un civil de son balcon a filmé l’action du CNT contre les manifestations, il faut envoyer la vidéo à Allain Jules (sur ce blog ou sur info-libye.com). Les témoins doivent filmer les manifestants, les manifestants doivent indiquer la date de la manifestation sur des pancartes pour que l’on nous sorte plus que c’est des manifestations du mois de mars ou de juillet !

L'OTAN continuera à bombarder tant que les pro-Kadhafi résisteront

L'OTAN continuera à bombarder tant que les pro-Kadhafi résisteront
Publié il y a une heure de temps.
De la fumée s'élève au-dessus de Syrte, en Libye, le 5 octobre 2011.
L'OTAN déclare qu'elle poursuivra ses massacres en Libye tant qu'il y aura des libyens résistants sur le terrain.
Mercredi, le secrétaire général de l'Alliance Atlantique, Anders Fogh Rasmussen, a déclaré que la capture de Mouammar Kadhafi n'était pas la cible de l'opération en Libye, laissant entendre que même si l'ancien dictateur devait être capturé à Syrte, cela ne sonnerait pas le glas de l'intervention.
Depuis le début de l'invasion en mars dernier, l'OTAN a mené plus de 9300 frappes aériennes sur la Libye (tuant des civiles enfants, femmes, ...). Même si le régime de Mouammar Kadhafi est tombé et que le Conseil national de transition en Libye (CNT) contrôle la majorité du pays, les forces pro-Kadhafi détiennent toujours des bastions, comme à Syrte et à Bani Walid, mais aussi dans certaines régions au sud du pays.
La guerre est loin de finir car en verité le CNT ne controle rien, Ben Jawad est tombé hier entre les mains des loyalistes. Bani Walid et Rasd Lanouf sont toujours entre les mains des pro-Libye.
Le CNT a cependant dit espérer contrôler totalement Syrte d'ici la fin de la semaine. Adel Al Hasi, un commandant du CNT, a assuré mercredi que les forces du nouveau régime détenaient déjà plus de la moitié de la ville.
Les rebelles auraient notamment atteint le quartier des administrations avec ses hôtels, ses villas et ses centres de conférence où le Guide libyen aimait recevoir ses hôtes étrangers.
« Nous ne tenons pas encore le centre de la ville, il y a toujours des combats de rue. Ils ont des mortiers - pas beaucoup - et il y a encore des tireurs embusqués », a expliqué le colonel Ahmed Al Obeïdi.
Des organismes s'inquiètent de la crise humanitaire à Syrte, où 70 000 habitants sont assiégés depuis trois semaines. La Croix-Rouge a qualifié de « désespérée » leur situation.
Le CNT dit faire attention de ne pas frapper des victimes innocentes, mais des habitants de Syrte l'accusent de bombarder des quartiers d'habitation tuant des civiles.
Plus de 200 corps dans une fosse commune
Une unité du CNT a annoncé avoir découvert une fosse commune dans un cimetière à Tripoli qui contiendrait les corps de 200 à 300 personnes tuées lors de la prise de la capitale, à la fin du mois d'août. Les cadavres ont été ramassés dans les rues et les hôpitaux avant d'être mis dans cette fosse, selon un responsable du cimetière.
Nadji Al Issaoui, un rebelle, a présenté à la presse deux de ces corps dans un état de décomposition avancé. L'officier a également évoqué une autre fosse commune qui pourrait contenir jusqu'à 700 corps.