Honte à tous musulmans qui ont laissé la Libye tomber entre les mains de la barbarie impérialiste.

UN RÉSISTANT ANTI-MAÇONNIQUE ET ANTI-MONDIALISTE.

mercredi 9 novembre 2011

manif a wall street :

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Le Pétrole A 300 ou 500 $ (217 - 362 Euros) Si Israël Attaque L’Iran

Nucléaire

Le Pétrole A 300 ou 500 $ (217 - 362 Euros) Si Israël Attaque L’Iran

Si Israël attaque l’Iran ce sera la paralysie totale de toute l’économie mondiale. L’AIEA au lieu de s’appuyer sur de faux documents « Made in CIA Mossad M16 et Consorts » pour incriminer l'Iran doit se concentrer sur le problème du nucléaire militaire israélien incontrôlé au Moyen Orient et impliquer le CSONU car c’est la paix mondiale qui est menacée (Chapitre VII).



Le Pétrole A 300 ou 500 $ (217 - 362 Euros) Si Israël Attaque L’Iran

Suite aux rumeurs d’une attaque unilatérale d’Israël contre les installations nucléaires de l’Iran le prix du brut s’est envolé passant de 1.17$ (0.84 euros) à 115.73 (83.95 euros) Le baril son plus haut prix depuis prés de 2 mois.

Mais ce n’est rien comparé à l’envolée des prix dés les premières attaques par Israël. En 2006 alors qu’Israël et les US ont démarré leur campagne vas-t-en guerre contre le programme nucléaire iranien les Gardiens de la Révolution d’Iran ont miné le fond du Détroit d’Hormouz

Hors 1/3 de l’approvisionnent pétrolier mondial passe par le Détroit d’Hormouz.

Il a été fait mention de ce minage dans un projet du Strategic Studies Center de la Marine iranienne en 2005 prévoyant la création d’un commandement central opérationnel unifié comprenant les unités des Gardiens de la Révolution s’occupant des missiles, des avions de frappe, des navires et sous marins de combat, des missiles anti navires fournis par la Chine C6801 et C-802, des mines et de l’artillerie déployée le long des côtes selon le bureau des renseignements militaires au ministère de la défense d’Iran.
Le 1er Novembre un groupe de 13 généraux et amiraux américains ont publié un rapport mettant en garde qu’une « perturbation soutenue » de l’approvisionnement en pétrole « serait dévastatrice… entravant notre liberté de mouvement ».

Le rapport intitulé « Ensuring américa ‘s Freedom of Movement : A National Security Imperative to Reduce US Oil Dependence”a été sponsorisé par une Fondation pour l’Energie de San Francisco.(CNA)- Voir document pièce jointe PDF.

« Dans le cas du pire scénario de fermeture de 30 jours du Détroit de Hormouz l’analyse conclue que les US perdraient près de 75 milliards de $ en GDP » selon ce que rapporte le National Defense Magazine qui reprend des informations de ce rapport.

Sur prés de 88 millions de barils de pétrole consommés par jour dans le monde les US sont les plus gros consommateurs avec 20 millions de barils/j. Un peu plus de la moitié du pétrole utilisé par les US est importé : 2/3 du Moyen Orient et le reste du Canada et du Mexique.

Selon le Gl James T. Conway retraité des Marine Corps qui a participé à la rédaction de ce rapport :
« Vous pourriez vous réveiller demain matin et apprendre que les Iraniens ont senti venir une attaque contre leurs installations nucléaires et ont préventivement fermé le flux de pétrole dans le Golfe… Les US considéreraient certainement cela comme une menace à notre économie et agiraient. Et nous voilà plongé dedans ».

Même une petite perturbation journalière d’approvisionnement en pétrole pourrait avoir d’énormes effets paralysants selon le rapport. Une crise plus importante pourrait selon les conclusions de ce rapport perturber tout la fabrique de l’économie américaine.

Corroborant ces prévisions alarmistes, la semaine dernière le [Rapidan Group]url : http://peakoil.com/generalideas/rapidan-group-sees-oil-price-up-by-175bbl-if-iran-attacked/, a prédit que le baril de pétrole atteindrait les 175$ (126.46 Euros) si l’Iran était attaqué. Selon une étude menée par ce groupe de spécialistes de l’industrie du pétrole les prix du pétrole augmenteraient dés les premières heures du conflit en moyenne de 23%.

De même pour Arnaud de Borchgrave qui écrit dans UPI le prix du pétrole pourrait littéralement s’envoler.
« Une bombe sur l’Iran et les prix du pétrole pourraient atteindre les 300 à 500$ par baril » écrit-il.
« Le Détroit d’Hormouz entre Oman et l’Iran est le point de passage le plus important du monde avec un flux de 16 millions de barils par jour soit environ 33% de tout le commerce pétrolier effectué par mer soit 17% du commerce pétrolier mondial total. »

L’attitude constamment belliqueuse du gouvernement israélien à l’égard de l’Iran et son chantage à l’Holocauste Nucléaire Planétaire

Son extrême arrogance qui fait que même les US sont incapables de le freiner - et pour cause le lobby sioniste juif/ chrétien américain a le Congrès US sous sa coupe ce qui paralyse la Maison Blanche depuis des décennies

Ses armes nucléaires (300 selon des experts en armement nucléaire) pointées vers les capitales européennes et bientôt les villes américaines avec le développement d’un super missile longue portée capable de transporter une charge nucléaire

Tout ceci implique que l’AIEA saisisse d’urgence le CSONU pour que soit votée une résolution sous le chapitre VII pour obliger Israël à placer son programme nucléaire sous le contrôle des inspecteurs de l’AIEA et à signer le TNP seule condition pour assurer la paix mondiale…et tout simplement sa survie en tant qu’état.


Actualisation - 09/11/2011 11h48

Selon une dépêche AFP du 09/11/2011 intitulée : " Nucléaire : la production va chuter (AIE) "

"Les capacités de production nucléaires mondiales pourraient chuter de 15% d'ici à 2035 après la catastrophe de Fukushima au Japon en mars, affirme l'Agence internationale de l'énergie, dans son rapport annuel publié aujourd'hui. Ces capacités tomberaient de 393 gigawatts fin 2010 à 335 gigawatts en 2035, dans un scénario spécifique élaboré par l'AIE qui prend notamment en compte la décision de certains pays de réduire leur production d'électricité d'origine nucléaire après l'accident de la centrale japonaise.

En parallèle, la demande mondiale de pétrole devrait continuer à croître, de 14% d'ici à 2035, tirée par les pays émergents notamment la Chine, et son prix grimper jusqu'à 120 dollars le baril. L'AIE s'attend à ce que la demande de pétrole atteigne 99 millions de barils par jour (mbj) en 2035, soit 12 mbj de plus qu'en 2010, et prévoit un baril à 120 dollars en 2035, malgré la volatilité actuelle de son prix...."


Par conséquent il faut s'attendre à une intensification de la part des puissances coloniales occidentales et sioniste des guerres pour le pétrole dite " guerre contre le terrorisme" que l'Iran est par exemple accusé de soutenir ( les mouvements de résistance au sionisme tels le Hezbollah le Hamas les Gardiens de la Révolution iranienne étant qualifiés par ces puissances coloniales de terrorisme) et préparer en urgence une stratégie pour contrer ces guerres.

Seuls les peuples sont à même de le faire il est nécessaire de les mobiliser en utilisant notamment les technologies à disposition tels le web facebook twitter ect....

Dépenses de com': le nouveau scandale de Sarkofrance

Dépenses de com': le nouveau scandale de Sarkofrance

Il nous l'avait promis, juré, craché. Le directeur de cabinet de la présidence de la République, expliquait en 2009 à qui voulait l'entendre que les pratiques sondagières de l'Elysée avaient été normalisées. Deux ans plus tard, la Cour des Comptes nous dévoile comment le gouvernement tout entier dépense les deniers publics pour sa communication politique... ou le coaching de ses ministres par des conseillers élyséens.


Dépenses de com': le nouveau scandale de Sarkofrance


En 2008 déjà...
En juin 2009, la Cour des Comptes avait levé un sacré lièvre en épluchant les comptes de l'Elysée de l'année précédente: Patrick Buisson, conseiller d'opinion du Monarque, décoré de Légion d'Honneur dès septembre 2007 par son ami/employeur Nicolas Sarkozy s'était vu confier la supervision de sondages pour le compte de l'Elysée. Cette assistance,via sa société Publifact, valait 1,5 million d'euros d'argent public par an. Un autre sondeur, Pierre Giacometti , conseiller de campagne devenu conseiller présidentiel, était également richement rémunéré (358.000 euros par an), via sa société, pour de similaires prestations. Mieux, plus d'une centaine de sondages ainsi financés par l'Elysée étaient ensuite publiés dans la presse (le Figaro, LCI) sans mention du commanditaire élyséen. Enfin, c'était l'institut Opinionway qui avait récupéré, sans appel d'offre non plus, l'essentiel de ses sondages pour le compte de Buisson.

L'affaire était juteuse, la manipulation de l'opinion publique évidente.

Trois ans plus tard, certains croyaient l'affaire close. La plainte pour favoritisme déposée par l'association Anticor fut classée sans suite. Et le nouveau directeur de cabinet de l'Elysée - après le départ d'Emmanuelle Mignon pour le secrétariat général d'Europacorp, avait promis le ménage.

Bien sûr, quelques observateurs vigilants relevaient ici ou là de curieuses enquêtes. Comme cette dernière, relayée par le Figaro, sur le caractère (non)présidentiable de ... François Hollande: quel intérêt autre qu'électoral ? Ou cette autre étude d'OpinionWay, publiée par le Figaro, sur la prestation télévisée de Sarkozy le 27 octobre: l'institut avait trouvé 58% des Français téléspectateurs quand en réalité ils n'étaient que 25%. Ou cette autre encore, qualitative, sur les motivations des électeurs tentés par le Front National.

Dans son dernier rapport en juillet dernier, la Cour des Comptes s'inquiétait à nouveau: Patrick Buisson et Pierre Giacometti avaient signé l'an dernier de nouveaux contrats dont « la rémunération est désormais forfaitisée sur une base mensuelle de 18.538 euros pour l'une et 7.176 euros pour l'autre, soit un coût global annuel de 308.568 euros, plus élevé que ce que prévoyaient les dispositions antérieures mais avec un contrôle plus resserré des frais annexes (déplacements et restauration) ». Et la Cour jugeait impossible de mesurer « l'adéquation » des prestations fournies « avec leur rémunération ».

Coûteuse communication
Mercredi, le site Présidentielle2012 édité par France Télévisions publiait un autre rapport de la Cour des Comptes, 159 pages, remis le 17 octobre dernier à la Commission des finances de l'Assemblée nationale. Et les révélations qu'il contient sont la triste confirmation que les manipulations de l'opinion publique sont toujours à l'oeuvre en Sarkofrance. L'analyse de la Cour des comptes portait cette fois-ci sur les dépenses de communication des ministères. Elle a ciblé 10 activités: économie, finances et industrie (Lagarde puis Baroin); budget, comptes publics, fonction publique et réforme de l’Etat (Woerth, puis Baroin, puis Pécresse) ; défense et anciens combattants (Alliot-Marie, Juppé, Longuet); éducation nationale, jeunesse et vie associative (Darcos, Chatel) ; enseignement supérieur et recherche (Pécresse); culture et communication (Albanel, Mitterrand) ; affaires étrangères et européennes (Kouchner, Alliot-Marie, Juppé, Wauquiez) ; intérieur, outre-mer, collectivités territoriales et immigration (Besson, Hortefeux, Guéant) ; justice et libertés (Dati, Alliot-Marie, Mercier) ; et écologie, développement durable, transport et logement (Borloo puis Koscisuko-Morizet)

Entre 2006 et 2010, celles-ci ont flambé, passant de 95 millions d'euros à 133 millions d'euros, soit 41 % d’augmentation et 600 millions sur la période. 14% des sommes ont été engagées par les cabinets des ministres directement. En 2010, les dépenses de communication de ces 10 ministères ont totalisé 112 millions d'euros, pour l'essentiel concentrés sur les 3 plus gros ministères Défense (28 millions), Ecologie (33 millions) et Economie/Finances (20 millions).

En 2009, la Présidence avait planqué son budget de communication et sondages à Matignon. Seuls les études sur l'image personnelle de Nicolas Sarkozy restaient du ressort de l'Elysée. Pour le reste, le Service d'Informations du Gouvernement (SIG) a vu ses moyens progresser de 5,6 millions d’euros en 2009 à 27 millions en 2011. Et le tout, sans que les autres budgets de communication des ministères ne baissent. L'argument d'une meilleure centralisation et optimisation des dépenses au sein du SIG n'a convaincu personne: « l’augmentation des moyens duSIG ne s’est pas traduite par une diminution corrélative des budgets de communication des ministères». Au contraire, la Cour note que le projet de mutualisation des études et sondages a été abandonné.

En matière de communication, les dépenses d'achat d'espace ont concerné surtout la télévision (29% du total) et la radio (16% du total). La presse a bénéficié d'un coup de pouce, non reconduit, en 2009 (40 millions d'euros versus 20 millions l'année précédente). En télévision, TF1 a capté près de 60% des investissements pub TV, une part plus importante que sa stricte part de l'audience globale.

Des milliers de sondages
Le SIG dépense en moyenne 2,4 millions d'euros par an pour les seuls sondages et enquêtes d'opinion. Les ministères dépensent en plus entre 2 et 4 millions d'euros par an en sondages.

Le SIG est ainsi destinataire de plus de 800 sondages par an, dont 700 via des abonnements à 8 instituts et une centaine supplémentaires qu'il a spécifiquement commandé (458 au total en 4 ans). En 5 ans de mandat Sarkozy, ce seront donc près de 2.600 sondages d'opinion commandés ou décortiqués par les services du premier ministre !

Depuis 2007, le nombre de sondages agréés par le SIG, une procédure obligatoire, décroît régulièrement. Mais, lucide, la Cour s'interroge : « Il n’est pas facile de déterminer si cette baisse correspond à une diminution effective du recours aux études et sondages ou à un contournement croissant des procédures d’agrément. » Globalement, les sondages pèsent peu dans les dépenses de communication (0,3% de l'ensemble), sauf « au sein du ministère de la défense (8 %), du ministère de l’éducation nationale (12 %) et des ministères économiques et financiers(11 %), où elles ont d’ailleurs fortement augmenté depuis 2006. Elles représentent également une part non négligeable (11 %) des dépenses du SIG.»

Le recours aux prestataires externes est aussi épinglé par la Cour: « De manière générale, les relations entre les administrations et ces prestataires externes ne sont pas toujours conformes aux règles de la commande publique. Les règles de mise en concurrence sont parfois méconnues, sur le fondement d’une interprétation discutable du code des marchés publics. L’exécution des marchés et le contrôle du service fait ne sont pas toujours correctement assurés. L’urgence et la confidentialité qui caractérisent une partie de ces prestations expliquent, sans les justifier, certaines des pratiques constatées. »


Drôles d'enquêtes aux ministères
Certains ministres se sont commandés des études sans rapport avec leur activité. La Cour y consacre un chapitre. Ces ministres ont suivi le mauvais exemple donné par Nicolas Sarkozy: « le financement, sur deniers publics, de sondages relatifs à l’image personnelle des ministres ou à des sujets éloignés de l’action du gouvernement, prête à discussion ».

Ainsi, Laurent Wauquiez s'est fait payer 15.284 euros d'études sur « la perception de l’image et de l’action du secrétaire d’Etat à l’emploi » (TNS Sofres, 2010), avec des questions sur « la notoriété et l’image du ministre (dynamisme, sympathie, courage, modernité, sincérité, etc.), la perception de sa politique par rapport à celle de ses prédécesseurs et sa sensibilité politique (droite libérale ou droite sociale)».

Quand elle était ministre, Rachida Dati a commandé deux enquêtes en juillet puis novembre 2007 sur sa propre image, intitulées « baromètre de suivi de l’opinion sur l’actualité du ministère de la justice et l’action du ministre » (coût total : 60 948,16 € TTC). « Le rapport d’analyse de la première vague était structuré en sept rubriques dont l’une concernait l’image du ministre ; à cet égard, les sondés étaient invités à dire, pour une série de qualificatifs (« volontaire », « travailleuse », « dynamique », « tenace », « ouverte au dialogue », « à l’écoute des préoccupations des gens »,« rassembleuse »…), s’ils s’appliquaient « plutôt bien ou mal à Rachida Dati, le ministre de la justice». Lors de la seconde vague, les questions portaient aussi sur "sur la manière dont les médias parlent de Rachida Dati depuis qu’elle est ministre de la Justice" ».

Les ministres Mitterrand, Alliot-Marie et Darcos ont eu recours à l'institut Mediascopie pour évaluer leurs prestations télévisées.

Quelques études sans rapport avec l'activité du ministre commanditaire ont été réalisées en réalité pour l'Elysée. Ainsi, Gérard Longuet, à peine nommé ministre de la Défense en avril dernier, a commandé une enquête sur « la progression du Front national ; le rôle du Premier ministre et du secrétaire général del’UMP ; le conflit entre François Fillon et Jean-François Copé ». »

Comme leur Monarque, les ministres sont friands de « conseil stratégique en communication », une catégorie de conseil qui recouvre un large éventail de prestations, comme le relève Mediapart : «recommandations opérationnelles, des coaching ou media-training, voire de l'assistance à la communication de crise ».

Pierre Giacometti, conseiller profitable
Parmi ces prestataires, on y retrouve le fameux Pierre Giacometti, ancien patron d'Ipsos, conseiller de Nicolas Sarkozy et qui a monté une profitable affaire depuis mai 2007. Le conseiller élyséen a monté sa propre société en mai 2007, Giacometti-Péron. Et depuis, les affaires vont bien.

Il a ainsi conclu deux contrats pour le compte du Premier ministre et de deux membres du gouvernement, en 2008 et 2009, qui « ont donné lieu, entre mai 2008 et juillet 2011, à des paiements d’un montant total de 694 059 € HT ». Et le tout... sans appel d'offre ! Fantastique !

Le ministère de l'intérieur, alors dirigé par Brice Hortefeux, a aussi fait travailler la société du conseiller du patron, pour 200.000 euros (« dont près de la moitié hors marché »).

Le 12 novembre 2009, quelques jours après le lancement du fameux débat sur l'identité nationale, Eric Besson a commandé au même Giacometti du « coaching en image pour le ministre ». La commande initiale était pour une durée de5 mois et 105 248,00€. Une prestation reconduite pour le reste de l'année et 76.000 euros supplémentaires.

Autre conseiller de Nicolas Sarkozy, Patrick Buisson préside la chaîne thématique Histoire, filiale de TF1. En mai 2008, cette dernière a reçu 100.000 euros de parrainage du ministère de la Culture. Un partenariat augmenté et reconduit pour les saisons 2009-2010 et 2010-2011. Ainsi, le ministère des affaires étrangères d'Alliot-Marie a fait appel à la société GALICIE Consulting SARL, pour un montant de 39 984 € HT sans appel d'offre

Nucléaire militaire : une guerre avec l'Iran serait absolument désastreuse

Nucléaire militaire : une guerre avec l'Iran serait absolument désastreuse

L'Iran a rejeté les accusations de l'AIEA contre son programme nucléaire et menacé les puissances occidentales de représailles en cas d'attaque. La menace d'une guerre sans fin avec le monde arabo-musulman plane, alors que l'idée d'un Iran nucléaire a déjà été intégrée par les forces alliées.
"A bas Israël", manifeste le président iranien Ahmadinejad.
"A bas Israël", manifeste le président iranien Ahmadinejad. Crédit Reuters
Depuis quelques jours, l’actualité internationale est de nouveau monopolisée par la question d’une frappe israélienne contre l’Iran. Pour Benyamin Nétanyahou (Premier ministre israélien), la question iranienne est au premier rang de ses priorités, loin devant la résolution du conflit israélo-palestinien. A Jérusalem, le débat est loin d’être clos sur l’opportunité d’une opération militaire préventive contre Téhéran. Le rapport de l’AIEA (Agence internationale de l'énergie atomique) ne manque pas de souligner de près les progrès accomplis par l’Iran dans sa quête de la maîtrise du nucléaire. Tout cela concoure à mettre la question du bombardement des sites nucléaires iraniens par Tsahal de nouveau à l’ordre du jour. En particulier au moment où les régimes arabes vacillent en brandissant la menace iranienne, comme au Bahreïn.

De la position des néo-conservateurs américains...

Dans « The Atlantic », le néoconservateur américain Jeffrey Goldberg, chantre de la guerre contre Saddam Hussein, a tenté, il y a quelques mois de préparer les opinions publiques à l’éventualité d’une frappe israélienne sur l’Iran. Son crédo : un Iran nucléaire serait une menace « existentielle » pour Israël. Une bombe iranienne ne manquerait pas de fournir un « parapluie nucléaire » pour les missiles du Hezbollah et les attentats du Hamas. Les pays arabes du Golfe Persique seraient obligés de s'allier avec l'Iran contre les États-Unis. Pour lui, seule une attaque préventive israélienne, à l’instar de celles contre le réacteur irakien d’Ossirak ou le site nucléaire syrien, pourrait arrêter la marche des iraniens vers la bombe.

... à celle de la droite israélienne de Benyamin Nétanyahou

L’intransigeance de Benyamin Nétanyahou est aussi due à des considérations de politique intérieure. Le Premier ministre israélien est aujourd’hui à la tête d’un gouvernement pour la première fois homogène et dominé par les partis de droite, d’extrême droite et les ultra-orthodoxes. A Jérusalem, le camp de la paix n’a plus voix au chapitre. Les bruits de bottes ne cessent de se faire entendre. Le jeu de « retenez moi sinon je fais un malheur » ne suffit plus, Israël doit passer à l’acte, même si l’on sait que le nombre des centrifugeuses opérationnelles de Natanz a baissé de 25% l’année dernière et que selon Meir Dagan, ancien chef du Mossad, l’Iran ne sera pas en mesure de posséder une arme nucléaire avant 2015.
Si une attaque israélienne devait avoir lieu, le premier pays dont les intérêts seraient menacés sont les États-Unis. L’aviation israélienne devra survoler des pays alliés aux États-Unis, dont l’espace aérien est contrôlé par ces "derniers". En représailles, il est plus facile pour les Iraniens de frapper les intérêts américains, plus proches, que de prendre pour cible Israël avec des missiles dont l’exactitude et la précision reste encore à démontrer.
Une attaque israélienne contre l'Iran ne manquera pas de précipiter la région dans une guerre dévastatrice avec des conséquences imprévisibles à l’échelle de la planète même.

L'Iran dispose d'une véritable force militaire et d'une volonté nationaliste inébranlable

L'Iran n'est ni l’Irak de 1980, ni la Syrie de 2008. Contrairement à ces deux pays, il dispose de la capacité d'exercer des représailles contre une attaque surprise de ses sites nucléaires. Avec sa population de presque 80 millions d’habitants, une armée totalement aguerrie à l’issue de huit années de guerre avec l’Irak et des conflits permanents avec les Talibans à la frontière irano-pakistanaise, le pays dispose de l’expérience, des équipements mais surtout de la volonté, non seulement pour riposter, mais aussi pour s’engager dans une guerre d’usure avec les Américains.
Principale force militaire de la région dans les trois corps constitués, avec ses missiles sol/sol, sol/air, ses avions de combat, ses drones, ses bateaux à grande vitesse capables de détruire des navires de guerre, l’Iran contrairement à ce que l’on entend, est à même de fermer le détroit d’Ormuz au trafic maritime, et de la sorte empêcher les exportations pétrolières. Le prix du baril pourrait atteindre 500 dollars, et toutes les économies seraient alors plongées dans une nouvelle crise alors que nous ne sommes pas encore sortis du tsunami monétaire et financier engendré par la situation grecque.
La présence armée iranienne, secret de polichinelle aujourd’hui, en Erythrée, au Yémen avec les rebelles chiites Houttis, au Liban ou au côté du Hamas à Gaza, fait que la capacité de perturbation de Téhéran, et c’est un euphémisme, est grande. La visite du Liban, l’an dernier, par le Président Mahmoud Ahmadinejad démontre que l’Iran n‘a pas besoin de missile pour atteindre Israël, des tirs de fusils suffisent. La frontière Libano-israélienne est devenue officiellement depuis le 14 octobre 2010, la frontière irano-israélienne. Quel serait le sort de pays fragilisés comme l’Egypte et la Jordanie, à qui leurs peuples reprochent déjà un silence complice à l’occasion de l’attaque israélienne contre Gaza en 2008. Ces pays pourraient-ils rester inertes face à une troisième intifada à Jérusalem, une deuxième guerre contre le Hamas ou une deuxième guerre du Liban ? Leurs pouvoirs survivraient-ils à un tel scenario, sachant que nul ne mesure aujourd’hui les conséquences de la Révolution de jasmin en Tunisie, et de la victoire du parti islamiste Ennahda lors des dernières élections sur l’ensemble des pays arabes ?
Le Président Obama serait bien embarrassé face à son peuple, lui expliquant que non seulement il ne pourra plus retirer les 50 000 soldats américains restés en Iraq avant la fin d’année, comme il l’avait promis, mais qu’il faudra en plus les renforcer. Pourrait-il survivre au poids de « body bags » supplémentaires de retour d’Iraq ? Déjà la politique américaine dans ce pays est mise en échec, du fait de milliers de GI’s morts et de plusieurs centaines de milliards de dollars dépensés. Le gouvernement irakien n’a pu être formé qu’avec l’accord express de Muqtada Al-Sadr exprimé depuis Téhéran. N’oublions pas que ce dernier est à a tête des brigades Al-Badr et de l’armée du Mahdi qui représentent au bas mot 40 000 hommes en armes à Bassorah et dans la banlieue chiite de Sadr City.
Et quel serait le sort de l‘Afghanistan, déjà fragilisé par l‘annonce du retour des Talibans au pouvoir ? Les Iraniens ne manqueront pas d’agir en incitant à la révolte les minorités chiites des Hazaras et des Tadjiks persanophones, déjà inquiets du fait de la "talibanisation" accrue du pouvoir de Kaboul.

Les dirigeants iraniens ne sont pas des "va-t-en guerre" suicidaires

Contrairement à ce qu’affirment certains, dans un discours dangereusement simpliste, les dirigeants iraniens ne sont pas membres d’une secte messianique apocalyptique. Il faut sortir des clichés dangereux décrivant les dirigeants iraniens comme les nouveaux Hitler. Parvenir à un accord entre l’Occident et l’Iran ne serait pas réitérer le pacte Daladier-Chamberlain avec le Reich. On peut reprocher beaucoup de choses aux dirigeants iraniens mais il serait irresponsable de les considérer comme des inconscients "va-t-en guerre" suicidaires, appréciation qui ressort également des télégrammes diplomatiques révélés par WikiLeaks. Ils savent, comme nous tous, qu’Israël dispose de plus de 200 ogives nucléaires, et d’une capacité de seconde frappe avec ses sous-marins. En fait, peut être que le souhait secret du pouvoir de Téhéran est précisément une attaque israélienne, aussi inefficace que dangereuse et qui aurait pour unique résultat de fédérer la population iranienne, ultra nationaliste, derrière le régime, pour garantir sa survie dans la forme théocratique actuelle pour encore trois décennies. Le patron du Pentagone l’a bien compris, puisqu'il a refusé d’accéder à la demande de Jérusalem. Benjamin Nétanyahou demandait aux Américains de « brandir une menace forte contre l’Iran ».
L’Iran veut la bombe pour les mêmes raisons qu’Israël. Le pays est entouré par des voisins qui ont tous un contentieux territorial ou autre avec lui. Sans même parler de la guerre Iran / Irak, qui a coûté la vie à 500 000 iraniens, il y a le Pakistan et une armée sunnite qui ne cesse de s’illustrer par des massacres de chiites, et des heurts frontaliers avec l’Iran au Baloutchistan.

Le monde a déjà intégré l'idée d'un Iran nucléaire

Autrement, comment expliquer la présence permanente de trois porte-avions nucléaires américains dans la région, de la base française d’Abu-Dhabi, et les multiples accords de défense signés avec les pays arabes du Golfe Persique ? Comment empêcher la nucléarisation de l’Iran, alors que le nucléaire est devenu dans le jeu du pouvoir une démarche nationale. S’il y a un seul sujet qui unit tous les Iraniens aujourd’hui, ceux de Téhéran et ceux de Los Angeles, c’est bien le désir de voir l’Iran devenir nucléaire. C’est devenu une question de fierté nationale.
Ce qu’il faut empêcher, pour prévenir la fin du TNP (Traité de non prolifération), c’est que l’Iran procède à une explosion nucléaire souterraine. Il faut que l‘Iran maintienne une politique d’ambiguïté sur sa capacité nucléaire, de manière à ne pas encourager une prolifération dans la région. Que l’Iran atteigne le seuil du nucléaire comme le Brésil ou le Japon est un mal moindre que de voir le monde arabo-musulman s’embraser dans une guerre sans fin.

le printemps arabe 9 novembre 2011


 


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  • La déclaration du président israélien à l’égard de l’Iran : une vraie menace ou une manœuvre politique ?

    La déclaration du président israélien à l’égard de l’Iran : une vraie menace ou une manœuvre politique ?

    Le président israélien Shimon Peres a estimé le vendredi 05 novembre que la perspective d'une option militaire contre l'Iran pour l'empêcher d'obtenir l'arme nucléaire se rapprochait.
    Le Moyen-Orien t suffisamment agité serait-il en rendez-vous avec un nouvel épisode de violence ? Auparavant, Israël n’a jamais réagi seul sans avoir le feu vert de Washington, mais en regardant la situation actuelle de l’administration américaine, arracher une décision favorable de Mr. Obama, déjà préoccupé par la crise économique, semble difficile, surtout que ce dernier est dans une période électorale dans laquelle les électeurs s’intéressent de plus en plus aux problèmes causés par la politique étrangère de leur pays.
    Pourquoi ces propos maintenant ?
    Il s’avère qu’Israël est de plus en plus isolé dans le nouvel contexte régional. Les Israéliens, en montrant leur inquiétude à propos du programme nucléaire iranien, ils veulent à nouveau attirer l’attention de la communauté internationale, préoccupée par le soulèvement arabe, pour accroître les pressions sur Téhéran. Les propos de Peres peuvent être attribués également à la crise économique et sociale actuelle dans son pays. Incapable de fournir des solutions adéquates à cette crise, les responsables à Tel Avive espèrent peut-être que les manifestants vont arrêter la « campagne des tentes » pour permettre à leur gouvernement de gérer une situation plus urgente, sans oublier d’ailleurs que le dossier iranien constitue une occasion au gouvernement de Netanyahou pour s’échapper à l’isolement international accru depuis que les Palestiniens ont déposé leur demande d’adhésion à l’ONU.
    Une attaque contre l’Iran : quelles conséquences pour la région ?
    Tout d’abord, est-ce qu’on peut attendre que Téhéran reste inactif au sujet d’une attaque visant ses installations nucléaires pour gagner la sympathie de la communauté internationale ? Il est peu probable qu’il réagisse ainsi, car à part la Russie et la Chine et quelques alliés dont la Syrie, la Corée de Nord, les autres pays hostiles au projet nucléaire de la république islamique se réjouiront de le voir anéantit. La deuxième possibilité est que l’Iran vise directement les intérêts occidentaux dans la région. Le ministre de la défense iranien a menacé à plusieurs reprises de fermer le détroit d’Hormuz à la circulation maritime s’il venait à être attaqué militairement. Le détroit d’Hormuz, Long de 63 km et large de 40 km, ouvre le Golfe arabo-persique et ces immenses réserves de pétrole sur le monde extérieur. 30 à 40% du pétrole brut mondial y transite. En outre, l’Etat hébreu et les troupes américaines en Iraq, Afghanistan, et d’autres pays du golfe, peuvent être exposés à un forte vague d’attaques de la part de l’armée iranienne et des organisations islamistes alliées depuis longtemps au régime des Mollah.
    Une attaque contre l’Iran bénéficierait sûrement à la république islamique et ses alliés dans la région. D’abord, il est peu probable que les frappes aériennes réussissent à démolir la totalité d’installations nucléaires, ce qu’il donnerait la possibilité aux scientifiques de recommencer le programme nucléaire. A l’échelle régionale, une éventuelle attaque fournirait à la Syrie le moyen d’exporter sa crise interne en intervenant militairement pour défendre son allié iranien.
    Il reste à savoir si le gouvernement de Netanyahu est effectivement capable de mener une telle aventure militaire ou c’est une simple manœuvre politique pour inciter ses alliés à accentuer les sanctions économiques contre l’Iran.

    Libye RÉSISTANCE / NTC / ALQAEDA

    Qui contrôle quoi en Libye le 11/09/11: RÉSISTANCE / NTC / ALQAEDA
    Libya November 2011 Libye Novembre 2011

    In red: regions occupied by the CNT. En rouge: les régions occupées par la CNT.
    In black: areas occupied by the Qaida. En noir: les zones occupées par l'Qaïda.
    In green: the regions occupied by the army e liberation of Libya. En vert: les régions occupées par l'armée de libération e de la Libye.

    Libye - Des mercenaires Egyptiens avec les rebelles

    Libye - Des mercenaires Egyptiens avec les rebelles (8 novembre 2011)


    Cette ancienne vidéo illustre encore des mercenaires étrangers (Egyptiens) combattant avec les clochards des rebelles contre notre armée verte Libyenne.
    Ces mercenaires Egyptiens ont été surement payé avec Chkara Batata..Wled lahram

    شاب امريكي يحرق نفسه مطالب بأسقاط النظام في امريكا

    Libye – L'agresseur du guide Kadhafi a été identifié (9 novembre 2011)

    Libye – Libye – L'agresseur du guide Kadhafi a été identifié (9 novembre 2011)


    ALGERIA ISP / Selon Zengtena, le rebelle qui a agressé le guide Kadhafi avec un couteau ou un

    Libye – Unee carte militaire illustre les régions occupées en Libye (9 novembre 2011)

    ALGERIA ISP / Selon Chabab Libya EL Ahrar, cette carte militaire illustre les régions occupées en Libye.

    Libye – Un jeune homme Libyen de Taouerga a été torturé par ce qu'il est noir (9 novembre 2011)

    ALGERIA ISP / Selon Chabab Libya EL Ahrar, un jeune homme de 24 ans, monsieur Ibrahim Khaled, qui est un chauffeur de taxi de la ville de Taouerga a été enlevé par le bataillon de Misrata.

    Libye – L’histoire rocambolesque d’un renégat floué

    Le malfaiteur Irlandais Mahdi al-Harati, 37ans, professeur de langue arabe à Dublin, en Irlande, qui fut l’un des leaders de la révolte sanglante contre le guide frère et digne fils

    Des hélicoptères de l'otan survolent Tripoli (9 novembre 2011)

    Libye – Des hélicoptères de l'otan survolent Tripoli (9 novembre 2011)


    ALGERIA ISP / Selon Akhbar El Mokawama Libya, des hélicoptères de l'otan survolent la côte libyenne de Tripoli. Officiellement, l'otan est parti !!
    Après, les dernières opérations réalisées par les combattants de l'armée de la...

    Libye – Encore les sauvages de Misrata (9 novembre 2011)

    ALGERIA ISP / Selon Akhbar El Mokawama Libya, pour fêter l'aid El Adha, les rebelles de Misrata ont condamnés à mort et exécuté 50 militaires de l'armée Libyenne.

    Libye – CNT va couper internet en Libye (9 novembre 2011)

    ALGERIA ISP / Selon Akhbar El Mokawama Libya, le CNT se prépare a interrompre les services Internet cette semaine en Libye de peur de ce qui se prépare pour le 11 novembre 2011.
    L'outil internet qu'ils ont utilisé pour endoctriner

    Libye – Corruption au ministère de l'éducation Libyen avec un premier contrat de 34 millions de dinars libyens (9 novembre 2011)

    Libye – Corruption au ministère de l'éducation Libyen avec un premier contrat de 34 millions de dinars libyens (9 novembre 2011)


    Publié le 09/11/2011s
    Source : ALGERIA ISP
    Libye – Corruption au ministère de l'éducation Libyen avec un premier contrat de 34 millions de dinars libyens (9 novembre 2011)
    ALGERIA ISP / Le premier contrat conclu par le ministère de l'éducation a été signé sans respecter la règle des appels d'offres alors que le ministre du CNT, Slimane Sahili, prétendu dans les médias qu'il travaille dans un climat de transparence totale. Ce dernier a accordé au Bureau exécutif du
    Ministère de l'éducation de contracter directement avec les 9 entreprises pour la fourniture de manuels scolaires en préparation pour l'année scolaire (2011 -2012) dont le montant globale est de 34.311.385.311dinars libyens.
    La question qui se pose, sur quel critère ces 9 sociétés ont été sélectionnées ?
    De toute manière, les adeptes du CNT n'ont rien vu encore, tous les contrats seront accordés aux sociétés étrangères et payés 100 fois plus chers.
    Ils vont appauvrir le Libyen qui était tant gâté par le guide martyr Maoummer Kadhafi.
    Source : Elawatan Libya

     

     

     

    Turquie: l’OTAN reste indifférente aux protestations des Turcs

    Turquie: l’OTAN reste indifférente aux protestations des Turcs
    Malgré les protestations soutenues des Turcs, l’OTAN est déterminée à déployer son système antibalistique, sur le territoire turc.
    Les protestations populaires ont été exprimées, dans le cadre de rassemblements de rue. Les habitants de la ville de Malatya ont préparé une pétition et collecté des signatures, pour annoncer, haut et fort, leur protestation contre le gouvernement d’Ankara. Samedi, le 19 novembre, ils s’étaient rassemblés, pour dire "Non" au déploiement du système antibalistique de l’OTAN, insistant sur la poursuite de leur résistance, jusqu’à la réalisation de leur demande. Il est vrai que les Musulmans, de la même façon qu’ils ne veulent pas de ce bouclier, servant les intérêts de l’impérialisme et d’Israël, ne veulent pas, non plus, que l’Iran et la Russie soient la cible des attaques de l’Occident. A noter que le gouvernement d’Ankara a annoncé, au mois de septembre, son accord au déploiement d’un système radar en Bande X, sur le sol turc. Ce radar doit être construit, par les Etats-Unis, pour l’OTAN, afin d’être déployé, dans la ville de Malatya. Depuis l’accord d’Ankara, la Turquie est la scène de protestations en tout genre. Des milliers de Musulmans turcs ont organisé, au mois d’octobre, des manifestations, dans diverses villes du pays, pour exprimer leur opposition. Le point qui mérite, entre temps, réflexion, c’est que l’accord du gouvernement de Recep Tayyip Erdogan a été annoncé, alors que les responsables turcs prétendaient être au summum de la soi-disant lutte anti-israélienne, conseillant, en même temps, aux pays arabes du Moyen-Orient, qui vont connaître des changements structurels, dans leurs systèmes de gestion, de prendre modèle des combats antisionistes du gouvernement islamiste turc. Dans la foulée, les médias occidentaux ont dévoilé des affaires qui se cachent derrière ce projet du déploiement du système antibalistique, en Turquie, qui consiste, notamment, à soutenir Israël et à contrôler les agissements de l’Iran et de la Russie. C’est ainsi que les nations de la région suivent, avec suspicion, les politiques du gouvernement islamiste d’Ankara, d’autant plus que, pour les milieux politiques indépendants de la région, l’attitude des autorités turques porte à réflexion. Le gouvernement islamiste turc, qui s’était manifesté, en réclamant vengeance pour le sang des victimes du "Marmara", assassinés par les commandos israéliens, ont, actuellement, opté, dans un revirement de politique à 180°, pour la tolérance envers le régime illégitime israélien. Tout cela conduit aussi bien les Turcs que les nations de la région à douter des positions et de l’action des responsables turcs, d’où toutes les protestations soutenues de ces quelques derniers jours, exprimées, aussi bien, par la population, que par les intellectuels turcs.

    ISRAËL-IRAN : VERS LA GUERRE DE TROP ?

    es Israéliens ont tout essayé pour casser l’Iran, stopper son programme de nucléarisation civile et, peut être, militaire: la pression diplomatique, les sanctions économiques, les tentatives de renversement, et même d’assassinat du président Ahmadinejab, sans oublier le sabotage et les attaques informatiques. Mais ils ne sont pas parvenus à leur fin. Il n’y aurait donc plus qu’une option : la frappe militaire. Mais la frappe préventive, c’est la guerre.

    Pour Tel Aviv, il n’y a pas de doute, Téhéran est sur le point d’avoir l’arme nucléaire. Ce pays étant suspecté d’être disposé à s’en servir pour rayer l’Etat sioniste de la carte, il faut agir avant qu’il ne dispose de l’équipement. L’option est évoquée depuis 2005 mais, chaque fois, retardée ou abandonnée. Car frapper l’Iran est prendre le risque d’une nouvelle guerre déstabilisant la région du Moyen Orient, du Golfe et de l’or noir.

    On peut croire ou douter des affirmations israéliennes. Mais, très égoïstement, être sûr d’une chose : si les Iraniens ont prévu de réagir, cela peut faire très mal, bien plus mal qu’en Irak. Un blocage du détroit d’Ormuz, d’une manière ou d’une autre, déclencherait une crise pétrolière inédite, qui s’ajouterait à la crise financière, économique et de la dette. Ce serait une catastrophe aux effets dévastateurs.

    Et pourtant, cette éventualité, pour nos intérêts et notre sort, n’effraye aucun de nos responsables. Prime aux intérêts fondamentaux, ou fantasmés, de la sécurité d‘Israël. Citant des responsables américains, le journal Haaretz a indiqué que, lors de la dernière visite du Secrétaire d'Etat américain à la Défense, Leon Panetta, en Israël le 3 octobre, Netanyahou et Barak s'étaient contentés de répondre "en termes vagues" à sa proposition de coordonner, avec Washington, toute action contre l'Iran.

    L'opinion israélienne est divisée, pratiquement à égalité, entre partisans (41%) et opposants (39%) d'une attaque contre les installations nucléaires iraniennes. En attendant une éventuelle décision, Israël a procédé à un vaste exercice de défense passive, simulant une attaque de missiles dans la région de Tel-Aviv, et a tiré, avec succès, un missile balistique doté d'un nouveau système de propulsion. Les médias israéliens ont, également, fait état d'un exercice mené ces derniers jours par 14 avions israéliens en Sardaigne (Italie), en coopération avec l'aviation italienne, pour s'entraîner à des missions "à longue distance".

    Ce n’est pas la première fois qu’il y a des vrombissements de moteurs d’engins militaires autour de l’Iran. Mais c’est le Président de la République lui-même, prix Nobel de la paix (ça ne s’invente pas !), qui confirme l’hypothèse. Shimon Peres a averti qu'une attaque était "de plus en plus vraisemblable" contre l'Iran. "Les services de renseignements des divers pays qui surveillent (l'Iran) s'inquiètent et pressent leurs dirigeants d'avertir que l'Iran est prêt à obtenir l'arme atomique", a-t-il affirmé à la seconde chaîne privée de la télévision israélienne.

    L'hypothèse d'une frappe préventive d'Israël contre les installations nucléaires de l'Iran a repris corps, ces derniers jours, à la faveur de fuites, organisées vers les médias, d'un débat qui divise les membres du cabinet de Benjamin Netanyahou. Le ministre israélien de la Défense, Ehoud Barak, a démenti des informations selon lesquelles, avec Benjamin Netanyahou, il aurait d'ores et déjà décidé d'attaquer l'Iran. Mais il a, ensuite, ajouté qu'"il peut se créer des situations au Moyen-Orient dans lesquelles Israël devra défendre ses intérêts vitaux de façon indépendante, sans avoir à s'appuyer sur d'autres forces régionales ou autres".

    De nombreux responsables israéliens soulignent qu'Israël n'est pas en mesure de lancer une telle opération sans la coordonner, préalablement, avec les Etats-Unis et sans le feu vert de ces derniers. Mais est-ce si sûr ? Est ce un coup de bluff pour obtenir un durcissement politique international ?

    Les rumeurs d'une éventuelle action unilatérale surviennent à point nommé pour inciter les Occidentaux à faire preuve de fermeté à l'égard des Iraniens. Voire pour inciter le Conseil de sécurité de l'ONU à voter de nouvelles sanctions contre l'Iran.

    Les bruits de préparatifs militaires israéliens n'ont pas, non plus, suscité de mises en garde particulières à Israël de la part des Occidentaux, et notamment des Américains. Nicolas Sarkozy, qui a réaffirmé le soutien de la France à Israël sur ce dossier, a été le seul à refuser d'envisager une attaque préventive contre l'Iran. Selon plusieurs médias israéliens, Nétanyahu et son ministre de la Défense, Ehoud Barak, auraient déjà décidé de recourir à l'option militaire, et chercheraient à convaincre les autres responsables israéliens.

    Avertissement à l'Iran, message destiné aux Occidentaux ou bien divergences d'opinion dans les sphères dirigeantes israéliennes ? Il reste difficile de savoir dans quelle mesure ces rumeurs sont fondées, ni si elles ont été répandues à dessein, et dans quel but.

    Le cabinet de Nétanyahu est resté silencieux ces derniers jours sur ce sujet. Une enquête interne aurait été confiée au Shin Beth pour découvrir les responsables de ces fuites, selon des révélations d'un journal koweïtien qui a déjà, par le passé, servi à relayer ce type d'informations. L'entourage de Nétanyahu soupçonnerait Meir Dagan et Yuval Diskin, les anciens chefs du Mossad et du Shin Beth, les services de renseignement extérieurs et intérieurs, tous deux opposés à une aventure militaire contre l'Iran, d'avoir fait part à la presse de discussions secrètes.

    En tout cas, il y a bien un bras de fer interne avant une éventuelle action extérieure de tous les dangers. "Les Etats-Unis savent que toute attaque du régime sioniste contre l'Iran produira de sérieux dommages non seulement contre ce régime mais aussi contre les Etats-Unis", a averti le chef d'état-major iranien, le général Hassan Firouzabadi. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, a affirmé que l'Iran s'est "préparé au pire". Eux oui. Mais nous ?

    Kadhafi plus dangeureux mort que vif

    Kadhafi plus dangeureux mort que vif
    Mouammar Kadhafi aurait élaboré un plan secret visant à venger le renversement du régime. C'est une difficulté de plus pour la Lybie, en proie à l'instabilité après la mort du dictateur.
    Après sa mort Mouammar Kadhafi est plus dangereux pour ses ennemis en Libye et ailleurs que de son vivant. Selon la presse égyptienne, l’ex-leader de la Jamahiriya a été l’idéologue et le sponsor du plan secret de «vengeance après la chute du régime».
    Conscient qu’il puisse être victime des mutins et des attaques aériennes de l’OTAN, le colonel se préparait d’avance à se venger de son renversement. Il a formé un groupe de terroristes internationaux à qui il a légué 28 millions de dollars. Le plan suppose des attentats en Libye, dans les pays arabes et européens.
    Chaos et vengeances
    Un chaos politique d’envergure est l’unique perspective pour la Libye, estime l’orientaliste de l’Institut d'Etudes Stratégiques, Serguei Demidenko : «Il existe aujourd’hui en Libye un bouillon de culture prêt à la vengeance même sans terroristes financés par Kadhafi, ni les mercenaires. Le conflit entre les tribus Misurata et Kadhafa est révélateur. La première a tué le colonel et exposé son cadavre à la vue du public. Maintenant elle fouille le tombeau de sa mère en exigeant de savoir où se cache son fils en échange de la dépouille. En ce qui concerne la tribu Kaddafa, elle ne pardonnera jamais un tel sacrilège à l’égard du colonel et de ses parents, d’où la possibilité affrontements interethniques et intertribaux. Les islamistes constituent dans ce contexte l’unique force organisée.»
    L’expert de l’Institut de l’Orient de l’Académie des Sciences de Russie, Vladimir Issaev, partage cette opinion : «Il est probable que les pro-islamistes accèdent au pouvoir en Libye comme cela s’est produit en Tunisie. Il est difficile de présager comment ils se comporteront. Mais on ne peut pas exclure que les aventuriers et les islamistes de tout acabit profitent de l’instabilité dans le pays.»
    Selon les experts, les services spéciaux libyens ont organisé dans les années 1980 un réseau terroriste ramifié en Europe. Le fils de Kadhafi Seif al-Islam qui était jusqu’à présent chef du service spécial "Muhabarat" (police secrète) jure de venger son père en luttant jusqu’au bout. Donc, le défunt colonel a «bien» légué son plan de «vengeance après l’écroulement du régime».

    10 commandants US seront tués, en cas d’assassinat d’un officier iranien 09/11/2011

    10 commandants US seront tués, en cas d’assassinat d’un officier iranien 09/11/2011
    10 commandants US seront tués, en cas d’assassinat d’un officier iranien
    IRIB- Dix officiers américains seront tués, en Irak et en Afghanistan, si les Etats-Unis tuent un officier iranien, a menacé un haut gradé, en Iran, en réponse à une proposition d’assassinat de responsables militaires iraniens, suggérée, par des experts américains, selon l’agence Fars.
    «Une poignée de dirigeants américains sans cervelle, qui semblent être atteints par la maladie d’Alzheimer, menacent d’assassiner les commandants des Gardiens de la Révolution», a affirmé le général Amir Ali Hadjizadeh, Commandant de la force aérospatiale des Gardiens de la révolution, cité, mardi, par Fars. «Vous ne devez pas oublier que les commandants américains se trouvent, en Afghanistan, en Irak et dans les autres pays de la région. Si vous tuez l’un des nôtres, nous tuerons dix des vôtres», a-t-il ajouté. Des experts militaires américains avaient affirmé, fin octobre, lors d’une audition, au Congrès américain, que les Etats-Unis devraient assassiner des commandants des Gardiens de la Révolution. «Pourquoi ne pas les tuer? Ces gens ont tué près d’un millier des nôtres. Pourquoi ne les assassinons-nous pas? Je ne suggère pas une action militaire, je suggère des opérations clandestines», a déclaré Jack Keane, ancien chef d’état-major de l’armée de terre américaine.

    Le piratage UMP revendiqué 09/11/2011

    Le piratage UMP revendiqué 09/11/2011
    Le piratage UMP revendiqué
    IRIB-Les auteurs du piratage de données professionnnelles et privées de députés UMP ont revendiqué leur action en la qualifiant "d'oeil pour oeil, dent pour dent", a-t-on appris mercredi auprès de l'UMP.
    Lors de la réunion à huis clos mercredi matin du bureau politique du parti, le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Christian Jacob a lu le message de revendication de ceux qui ont mis en ligne ces données."A tous les gardés à vue, aux banlieues karchérisées, aux manifestants battus, aux journalistes espionnés, aux demandeurs d'asile ignorés et matraqués, aux Roms stigmatisés, à toutes les victimes de l'UMP... nous vous livrons leurs coordonnées. Oeil pour oeil, dent pour dent", déclarent-ils dans ce message.
    IRIB

    Gaza/Flottille: un eurodéputé parmi les détenus en "Israël" 09/11/2011

    Gaza/Flottille: un eurodéputé parmi les détenus en "Israël" 09/11/2011
    Un eurodéputé irlandais, qui faisait partie de la vingtaine de passagers des bateaux arraisonnés par la marine d’occupation israélienne alors qu'ils tentaient de briser le blocus israélien contre la bande de Gaza, était toujours détenu mercredi, a-t-on appris auprès du Parlement européen.
    Il s'agit du député du Parti socialiste irlandais Paul Murphy, membre du groupe de la Gauche unitaire européenne (GUE).
    Le président du Parlement européen Jerzy Buzek a été informé de cette situation et "appelle les autorités israéliennes à libérer rapidement Paul Murphy et les autres ressortissants européens qui sont détenus avec lui", a précisé le porte-parole de M. Buzek, Robert Golanski.
    Paul Murphy est détenu avec une vingtaine d'autres personnes qui ont refusé d'être expulsés immédiatement d' « Israël », car elles contestent le fait d'être traduits devant un juge israélien, a précisé un porte-parole du groupe de la GUE au Parlement européen, Gianfranco Battistini.
    "Paul considère qu'il a été kidnappé en eaux internationales", a souligné M. Battistini. Mercredi, les députés du groupe ont écrit une lettre de protestation destinée aux ambassadeurs israéliens de leurs pays respectifs, a-t-il précisé.
    Des commandos de la marine israélienne ont arraisonné vendredi après-midi le Saoirse (Liberté en gaélique) et le Tahrir (Libération en arabe), qui battaient pavillons irlandais et canadien. Les deux bateaux ont été escortés au port d'Ashdod, au sud de "Tel Aviv".
    Six personnes qui étaient à bord de deux navires ont été relâchées vendredi dont deux membres d'équipage grecs, trois journalistes et un Palestinien originaires des territoires occupés en 1948.
    Parmi les personnes détenues figurent 14 Irlandais et des ressortissants du Canada, du Royaume-Uni, d'Australie et des Etats-Unis.
    Partis de Turquie, les deux navires qui transportaient des médicaments à destination de l'enclave palestinienne avaient reçu pour consigne de ne pas opposer de résistance à la marine d’occupation israélienne.

    La plupart des colons israéliens sont d’origine marocaine 09/11/2011

    La plupart des colons israéliens sont d’origine marocaine 09/11/2011



    Le nombre d’Israéliens d’origine marocaine serait actuellement de 800.000.

    Arrivée dans l’état hébreu à partir de 1952, cette catégorie de juifs appelés séfarades (originaires d’Afrique du Nord) étaient maçons, tanneurs ou menuisiers. Illettrés et peu fortunés, ils étaient mal vus et ont du gagner leurs galons petit à petit dans une société israélienne des plus élitistes au monde. Pourtant aujourd’hui les choses ont changé. Les juifs marocains font partie de l’élite israélienne, et squattent les cercles de décision les plus importants de l’état sioniste.

    Mais le plus paradoxal dans tout cela, ce n’est pas l’intégration rapide de ces juifs marocains dans la société sioniste, mais bien la sensibilité politique de ces derniers. En effet, selon plusieurs observateurs, les juifs d’origine marocaine installés en Israël votent pour leur majorité à droite. Une droite ouvertement hostile et très offensive à l’égard des Palestiniens et peu encline a un plan de paix.

    Bizarrement, rien ne les prédestinait à ce choix

    Ayant longtemps côtoyés les populations arabes, les Juifs séfarades, sont moins connus pour leur hostilité vis-à-vis des populations musulmanes et d’un plan de paix avec les Palestiniens, que les juifs ashkénazes, bien plus récalcitrants. Ils sont présentés comme des pacifistes, et jouissaient jusque-là de l’image de gens de gauche, plus portés sur le volet social et surtout très favorable à un processus de paix avec les Palestiniens. Mais finalement il n’en est rien.

    Le parti de droite au pouvoir est même constitué en grande partie de binationaux (double nationalité Israélienne et marocaine).

    Et ce n’est pas tout. Le nombre de juifs marocains occupant les colonies israéliennes est estimé à 600.000, soit 75% d’entre eux.

    Plus royaliste que le roi

    Pourquoi ? La question mérite d’être posée. Même si du propre avis de personnalités juives séfarades notamment françaises, ceci relève plus d’un complexe qu’autre chose.

    En effet, partant du principe que toute la légitimité de la politique israélienne est tirée de de la persécution dont furent victimes les juifs durant la Seconde Guerre mondiale, les séfarades se présentent eux même comme des juifs de seconde zone parce qu’ayant pour leur part échappés en partie à celle-ci. Ils ont donc des choses à prouver à leurs semblables, et ont choisi comme fonds de commerce, une politique anti-palestinienne dure. Ceux-là ont-ils oublié la protection qui leur a été offerte notamment par les populations arabes en période de guerre ? Apparemment oui. Chassés d’Espagne en 1492, grand nombre d’entre avaient trouvé refuge au Maghreb, d’où l’origine marocaine de certains.

    Kh-Louna
    http://www.algerie-focus.com/2011/11/08/la-plupart-des-colons-israeliens-sont-d%e2%80%99origine%e2%80%a6marocaine/

    Syrie est en mesure de faire face aux provocations de l'Occident 09/11/2011

    Des analystes : La Syrie est en mesure de faire face aux provocations de l'Occident 09/11/2011




    Damas / Le président de l'association russe d'amitié et de coopération avec les pays arabes, Vyacheslav Matuzov, a indiqué que la Syrie est en mesure de parer à toutes les provocations de l'Occident, de l'OTAN et de tout autre pays qui tenterait de s'immiscer dans ses affaires.

    Dans un contact téléphonique ce soir avec la TV arabe syrienne, M. Matuzov a souligné que la Russie œuvre à assurer la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient parce qu'elle est contre les mutations importées de l'étranger, accusant Israël et Washington de provoquer les événements dans la région.

    Il a ajouté que la Russie se tient aux côtés de l'Iran, de la Syrie et de tous les pays arabes qui aspirent à être indépendants de l'influence des Etats-Unis d'Amérique.

    "Les Etats-Unis ne peuvent pas imposer leur volonté sur la Russie, la Chine, l'Inde, le Brésil, ou l'Amérique du Sud", a-t-il fait noter.

    "La Russie défend les intérêts de sa sécurité régionale dans différentes parties du monde, y compris le Moyen-Orient, et cela est le fondement important qui doit être connu par tous", a-t-il précisé.

    Pour sa part, le secrétaire général adjoint de l'Union des avocats arabes, Samih Khreis, a déclaré que certaines parties cherchaient à internationaliser la crise en Syrie afin de dresser le chemin à une intervention militaire internationale.

    Il a indiqué dans une interview accordée à la TV syrienne que l'aval donné par la Syrie à mener un dialogue servait d'une preuve claire sur le sérieux des dirigeants syriens quant à la réalisation des réformes.

    À son tour, l'analyste politique jordanien, Ibrahim Allouche, a dit que les tentatives des médias de justifier la présence des personnes armées entre les manifestants prouvent que les martyrs de l'armée syrienne et les citoyens innocents ont été assassinés par des hommes armés.

    Il a mis l'accent sur un document de Elliott Abrams, l'un des décideurs les plus importants au sein du département d'Etat américain, dans lequel il parle d'un plan pour renverser le régime en Syrie.

    De son côté, Mohamed Habib Saleh, professeur des relations internationales à l'Université de Damas, a fait noter que la direction syrienne a mis en œuvre des mesures pratiques mais n'a pourtant pas eu le minimum d'acceptation du monde arabe.

    A.A. / L.A.
    http://www.sana.sy/fra/51/2011/11/09/380633.htm

    Egypte : le rapport de l’AIEA sur l’Iran n’est pas crédible 09/11/2011

    Egypte : le rapport de l’AIEA sur l’Iran n’est pas crédible 09/11/2011



    Le candidat aux présidentielles égyptiennes Abdallah AlAshaal a qualifié le rapport de l’Agence internationale pour l’énergie atomique sur l’Iran qu’il manque de crédibilité parce qu’il a été réalisé par les services de renseignements américains.

    Dans un entretien accordé avec l’agence de presse iranienne Fars News, ce professeur en Droit international à l’université américaine du Caire accuse l’AIEA d’être politisée et un outil aux mains des Américains.
    « le rapport publié par l’AIEA est fondé sur des informations présentées par des services de renseignements américains, ce qui s’oppose à la mission de cette agence qui se devrait de s’enquérir en personne des informations et non les recevoir de parties liées à des services d’intelligence mensongers et ennemis du pays concerné », a-t-il déploré.

    Selon cet ancien ambassadeur, « la politique de non diffusion des armes nucléaires dans le monde a été exploitée pour servir des objectifs des Américains en permettant à leurs amis de s’acquérir la bombe atomique et en l’interdisant à ceux qu’ils considèrent être leurs ennemis ».

    AlAshaal a jugé toutes les informations évoquées dans le nouveau rapport comme étant anciennes et non confirmées « l’agence est tellement politisée que l’on croirait qu’elle fait partie de l’administration américaine », a-t-il regretté.

    Il pense qu’il y a une grande différence entre la perception américaine et israélienne de l’Iran, soulignant que les Etats-Unis exécutent leur politique contre l’Iran sous la pression des sionistes

    AlAshaal a également critiqué la façon dont les médias égyptiens présentent ce rapport comme s’il était fondé sur des réalités. Et de conclure que « les révolutions arabes sont dans l’intérêt de l’Iran car elles ont destitué des dirigeants qui étaient des alliés de l’entité ennemie et des Etats-Unis ».

    http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?fromval=1&cid=18&frid=18&eid=37176

    allemands peuvent vivre sans l'euro 09/11/2011

    Les exportateurs allemands peuvent vivre sans l'euro 09/11/2011


    IRIB- "Les exportateurs allemands peuvent vivre sans l'euro" a déclaré mercredi, le Président de leur fédération, le "BGA", Anton Börner, s'inscrivant en faux contre les discours politiques, dans le pays, qui présentent la monnaie unique comme une nécessité vitale pour son économie. "Ce qui est important pour nous, c'est le marché libre; nous n'avons pas, nécessairement besoin d'une monnaie commune", a dit M. Börner, devant un parterre de journalistes étrangers. "Y a-t-il une vie pour l'Allemagne après l'euro ? Oui, il y en a une", a-t-il ajouté.

    http://french.irib.ir/info/economie/item/152093-les-exportateurs-allemands-peuvent-vivre-sans-leuro

    Le premier était l'émir de le "bataillon février 17″, Ahmed Elmjiri. Il a été condamné à mort et

    Été condamné à mort par pendaison l'émir d'un bataillon de rebelles et des qatariens mercenaire prison – selon vers la Libye Shabab Al Ahrar, les combattants de la cellule "Soukour Tobrouk ABoumaniar" et de la cellule "Jahfel Osoude Syrte" de l'armée de libération libyen ont exécuté deux ennemis très importantes du peuple libyen :
    • Le premier était l'émir de le "bataillon février 17″, Ahmed Elmjiri. Il a été condamné à mort et exécuté par pendaison lui à un poteau, à l'entrée de la ville de Syrte.
    • Le second est un mercenaire Qatari, Ahmed Sliti, ancien spécialiste en télécommunications.
    Cela a été fait pour venger le martyr Colonel Mohamed Hatiche.
    Ces deux cellules promettent aux gens de nouvelles opérations de la Libye pour venger leur père (le guide Maoummar Kadhafi).
    Une vidéo de la volonté qatarie bientôt être diffusées sur Internet. Restez à l'écoute.