Honte à tous musulmans qui ont laissé la Libye tomber entre les mains de la barbarie impérialiste.

UN RÉSISTANT ANTI-MAÇONNIQUE ET ANTI-MONDIALISTE.

samedi 5 novembre 2011

Des documents Top-Secret de Seif El Islam

Des documents Top-Secret de Seif El Islam




Des documents Top-Secret de Seif El Islam
‘’Réflexion’’ publie une série de dossiers secrets sur l’insurrection et l’ingérence étrangère de la France en Libye. Une série de publications sur le monde secret du renseignement, de l’action subversive et du contre espionnage dans un but purement didactique.

Des documents Top-Secret de Seif El Islam remis au procureur du CPI
Seif El Islam, n’a pas attendu pour expédier des documents compromettants, concernant certaines parties et personnalités politiques Libyennes et étrangères sur le complot contre le dirigeant Libyen Maâmar Kadhafi. Parmi les dossiers chauds, figure des financements, des concrétisations des projets occultes par les parties étrangères impliquées, dans l’agression contre la Libye et surtout des dossiers secrets sur l’affaire Lockerbie et sur l’assassinat prémédité de Kadhafi et de son fils Moâtassam. D’autres documents, impliquent directement le Mossad Israélien avec des preuves irréfutables selon les proches de Seif El Islam. Des sources de renseignements, indiquent que des dossiers et documents ont été remis, au procureur de la Cour Pénale Internationale, par des personnes proches de Seif El Islam. Cette volte face, a fait réagir aussi le Secrétaire général des Nations-Unies, qui s’est dépêché de se rendre en Libye. Seif El Islam, selon certaines sources, ne se trouve plus en Libye ni dans un pays limitrophe et il est prêt à se rendre auprès du Procureur du CPI, dés qu’il recevra le feu vert, après les négociations qui sont en cours. Selon certaines sources judicaires internationales, les dossiers de Seif El Islam peuvent entrainer un séisme au niveau des belligérants et associer dans l’intervention de l’OTAN contre Kadhafi.

Les trésors introuvables de Kadhafi
Selon des sources occidentales, l’identification et la récupération des avoirs dissimulés, par le clan du Colonel constituent un enjeu qui mobilise nombre de consultants, avocats et banquiers internationaux. La partie immergée de l’iceberg de ces avoirs est estimée à 200 milliards de dollars. Mais jusqu’à présent tous les avoirs dans les banques internationales, sont au nom de la Jamahiriya Libyenne. Aucun n’avoir n’a été détecté au nom des Kadhafi. Elle est portée par des institutions financières officielles (Central Bank of Libya, Libyan Investment Authority, National Oil Corporation, Libya African Investment Portfolio, Libyan Arab African Investment Company….) dont la gouvernance et les décisions d’investissements étaient sous contrôle direct de la Jamahiriya Libyenne. Mais d’après des financiers de différentes places internationales et de la région du Sahel, ces « 200 milliards de dollars officiels » ne constituent qu’une partie du trésor du clan Kadhafi, qui en prévision des sanctions, et pour échapper à la surveillance des services de renseignements occidentaux, a utilisé tout un arsenal juridique pour dissimuler des avoirs plus importants à travers un réseau de trusts et fondations domiciliés dans les « paradis fiscaux ». Une partie des actifs semble avoir été transformée en métaux précieux (or, diamant), et placée dans les Banques centrales des « pays amis », voire enterrée dans des zones désertiques. Apres l’imposition du CNT nouveau pouvoir à Benghazi, plusieurs cabinets d’intelligence économique et de lobbying, plus ou moins liés aux services de renseignements occidentaux, tentent également d’occuper le terrain afin de sécuriser les contrats, d’où les promesses de contrats, concernant le gigantesque marché de la « reconstruction » libyenne estimé à plus de 200 milliards de dollars sur 10 ans. Un joli cadeau que l’ingérence étrangère a réalisé arbitrairement.

Des agents secrets infiltrés parmi les insurgés
D’autres spécialistes de l’action clandestine, mandatés par des clients, (parmi eux Mahoud Jebril), œuvrent pour détruire toute preuve compromettante de leur lien passé avec la « Grande Jamahiriya ». 42 ans d’un pouvoir absolu, à la tête d’un émirat pétrolier a donné à Kadhafi les moyens de son influence et de sa politique, en compromettant un grand nombre de personnes et d’institutions. C’est pourquoi le faux film et la fausse couverture des informations sur la prise de Tripoli, ont été réalisés par Al Jazeera supervisé par Mahmoud Jebril (accusé d’être un agent de la CIA) pour troubler la situation à Bab El Azizia afin de mettre la main sur les documents Top Secret, et aussi auprès du siège de la Moukhabarat, au quartier Sah Eddine. Les questions sécuritaires, la disparation et la prolifération d’armes en tous genres (AK 47, missiles Sol Air SA-24, SA-7, gaz chimique ……), inquiète bon nombre de chancelleries de la région du Sahel (Mauritanie, Algérie, Mali, Tchad, Niger,) et leurs homologues européens, qui font travailler de manière active leurs réseaux d’informateurs, et des dizaines de drones espions. Avec la disparation brutale du Colonel Kadhafi et de trois de ses fils (Khamis, Moâtassam, Seïf Al-Arab), tous les acteurs présents sur la scène libyenne tentent de s’approprier « la mémoire économique, sécuritaire et diplomatique de la Grande Jamahiriya » pour mieux comprendre, négocier et imposer leur stratégie aux « nouveaux dirigeants » de Benghazi. Enfin dans le même contexte du complot contre le régime de Kadhafi, des sources informent que des éléments travaillant pour le réseau terroriste du Mossad et d’un pays arabe du Golfe qui activaient en Libye en encadrant des insurgés armés de Misrata, ont poursuivi la famille de Kadhafi, jusqu’à la frontière algéro-libyenne pour mission d’assassiner tous les membres de cette famille, qui selon eux transportaient aussi des dossiers très importants. Certains ont tenté de traverser la frontière algérienne et les Touaregs armés habitants à Khadames sont intervenus et ont chassé aux armes les poursuivants qui avaient enregistré des pertes dans leur rang. Des Touaregs Libyens précisent que Misrata, abrite des familles d’origine juive Turcs, y aurait-il un rapprochement avec les documents en questions ? A suivre       

La trahison de Sarkozy (suite)


‘’Réflexion’’ publie un dossier sur la secrète relation entre la France et la Libye. Une série de publications sur le monde secret du renseignement, de l’action subversive et du contre-espionnage dans un but purement didactique. Il s’agit au moins de relater des faits nouveaux que d’une lecture qui fait le lien entre des événements souvent connus, spectaculaires ou non, qui paraissent plutôt disparates et conjoncturels mais derrière lesquels se profilent toujours des motivations de géostratégie politique et de la raison d’Etat.




Sarkozy doit rendre des comptes
Notons enfin qu’à peine installées au pouvoir, les forces rebelles n’ont pas manqué de s’entre déchirer avec ardeur, ce qui promet assurément de fort mauvaises surprises dans la suite des évènements avec, en toile de fond, la perspective d’une main mise d’ Al Quaïda ou quelque autre ramification islamiste . Dans quelque temps, la France risque fort de se demander si elle n’a pas sottement joué les apprentis sorciers. Mais le pire est ailleurs. Cette exécution sommaire, commanditée, qu’on le veuille ou non, par l’occident, ne manque pas de provoquer un profond malaise, sur le plan moral cette fois. Car voilà les justiciers que prétendaient l’ONU et l’OTAN être aux yeux du monde, armés du droit d’ingérence et du droit humanitaire, grands défenseurs des droits de l’homme et de la justice, abondamment pourvus de tribunaux internationaux chargés d’appliquer la justice, qui foulent impudemment aux pieds les principes moraux mêmes qu’ils prétendent imposer, par la force si besoin est, aux autres nations. La leçon ne sera pas sans doute perdue pour tout le monde. L’honneur de la France, tant invoqué en la circonstance, n’est-il pas quelque peu écorné ? Faut-il réintroduire l’assassinat comme instrument de la politique étrangère de Sarkozy et la barbarie serait-elle de retour dans les relations internationales ? Comment l’histoire va-t-elle juger ce triste épisode et ne risque-t-elle pas de se venger tôt ou tard, au détriment de la France et de la pire manière.
Le CNT, doit gérer les conséquences de l’insurrection dans le pays qui demeure malgré tout divisé. Pour le moment et selon tous les rapports des services de renseignement arabes. Les acteurs Libyens sont loin de trouver un consensus et le rétablissement de la paix. Le risque fort des heurts est présent. Les prochains mois seront dures pour les Libyens, surtout la définition de nouveaux équilibres intérieurs, les luttes pour la redistribution de la richesse pétrolière, l’explosion du nombre d’armes, que Bernard-Henri Levy avait supervisé la distribution aux intégristes. Il savait ce qu’il faisait et à qui donner ! Ses enjeux à résoudre ne sont pas facile, d’autant plus que le CNT avait monté ‘’au créneau’’ en accusant à tord l’Algérie. (Ceci est un dossier qui demeure en suspend) Le CNT dès le début à travers le Colonel Al Bani, manipulé par Al Jazeera TV (service propagande), n’hésita pas à déverser son venin sur l’Algérie. De ce fait le CNT a perdu un soutien considérable dans la région et doit contenir ses groupes armés à ne pas roder près de la frontière Algérienne ! De manière plus générale, à l’échelle de la région, les relations entre le pouvoir et les populations sont au cœur des enjeux, et pas seulement du fait des révoltes et révolutions dans le monde arabe. En Libye, la situation touareg se serait ainsi considérablement dégradée avec les insurgés armés, le représentant de la Coordination des Touaregs pour la Libye appelant même l’Algérie à ouvrir ses frontières pour permettre aux touaregs libyens de se réfugier dans le sud algérien. Quant au Niger, il fait face au retour de plus de 200 000 migrants travaillant auparavant de l’autre côté de la frontière avec la Libye, et la fin des transferts d’argent venant de ce pays. Certains Touareg qui étaient engagés dans la Légion islamique de Kadhafi, sont retournés chez eux avec armes sophistiquées selon les services de renseignements de la région du Sahel.

L’Otan est à la croisée des chemins
A condition d’éloigner toute ingérence au Maghreb et au Sahel. L’Union européenne et les États membres disposent d’atouts pour peser dans la région. La mise en place d’un service diplomatique européen et d’une task force méditerranéenne peuvent contribuer à donner de la cohérence à la politique des Européens. Mais surtout, Bruxelles a annoncé à quelques mois d’intervalles une stratégie pour le Sahel articulant sécurité et développement et une nouvelle approche de voisinage plaçant au premier plan les réformes politiques.
Alors que la nature n’aimant pas le vide, ne rien faire reviendrait à prendre le risque de laisser les logiques de nuisance prévaloir dans la région, avec un accroissement des fractures, aussi bien à l’intérieur des sociétés qu’à l’échelle régionale. Face à ces incertitudes et menaces, les Européens n’ont guère d’autre choix que de s’impliquer et s’ingérer dans la bande sahélo-saharienne ce qui sera pris comme une provocation de la part d’un new colonialisme sous couverture de défendre activement leur vision de la région et de son avenir auprès des acteurs régionaux et internationaux, et de rester ferme sur les principes. A suivre
  

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