Honte à tous musulmans qui ont laissé la Libye tomber entre les mains de la barbarie impérialiste.

UN RÉSISTANT ANTI-MAÇONNIQUE ET ANTI-MONDIALISTE.

vendredi 4 novembre 2011


Quantcast



i
1 Votes
Quantcast




Libye - L'otan avec l'Aqmi main dans la main contre le guide Kadhafi

Libye - L'otan avec l'Aqmi main dans la main contre le guide Kadhafi


Vidéo

Informations

Publié le 03/11/2011 à 09:24 - 446 visites - Catégorie : Politique - Libye
Cette vidéo montre la Qaida ou l'aqmi en appui avec l'otan et qatar pour combattre l'armée verte du guide Kadhafi

Libye – Le CNT bloque les sites et les pages Facebook des loyalistes à la Libye Verte (4 novembre 2011)

Libye – Le CNT bloque les sites et les pages Facebook des loyalistes à la Libye Verte (4 novembre 2011)


 
Libye – Le CNT bloque les sites et les pages Facebook des loyalistes à la Libye Verte  (4 novembre 2011)
ALGERIA ISP / Selon Nessbook – Source Libyenne, plusieurs sites ou pages Facebook loyalistes à la Libye Verte et fidèles au guide Maoummar Kadhafi ont été bloqués en Libye.
Ceux qui hurlaient depuis le lancement du coup d'état contre la Jamahiriya que cette dernière censuré internet, les événements nous ont montré que c'était juste une propagande pour diaboliser le guide Kadhafi. Aujourd'hui, le CNT fait pire, il a bloqué tous les sites web loyalistes au guide Kadhafi.
Nous imaginons bien, quel logiciel est utilisé pour faire la censure !! Quelle société !! Quel pays !!
Bien sur c'est fabriqué en occident par ceux qui prônent la démocratie !!??
Le site Zengtena a été complètement bloqué en Libye afin d'éviter la circulation d'informations entre les sympathisants, les patriotes et les combattants de l'armée de la libération de la Libye. Ces derniers ne se laissent pas faire et ils ont recommandés aux utilisateurs de télécharger des programmes pour contourner la censure d'état du CNT.

Le lynchage de Mouammar Kadhafi

Le lynchage de Mouammar Kadhafi


 
Source : Réseau Voltaire
Le lynchage de Mouammar Kadhafi
La mort de Mouammar el-Kadhafi a été saluée par une explosion de joie dans les palais gouvernementaux occidentaux à défaut de l’être par le peuple libyen. Pour Thierry Meyssan, cet assassinat militairement inutile n’a pas été perpétré par l’Empire uniquement pour l’exemple, mais aussi pour déstructurer la société tribale libyenne.
Jeudi 20 octobre 2011, vers 13 h 30 GMT, le Conseil national de transition libyen a annoncé la mort de Mouammar el-Kadhafi. Bien que confus, les premiers éléments laissent à penser qu’un convoi de voitures a tenté de quitter Syrte assiégée et a été bloqué et partiellement détruit par un bombardement de l’OTAN. Des survivants se seraient mis à l’abri dans des canalisations. M. Kadhafi, blessé, aurait été fait prisonnier par la brigade Tigre de la tribu des Misrata qui l’aurait lynché.
Le corps du « Guide » de la Grande Jamahiriya arabe socialiste n’a pas été conservé dans sa ville natale de Syrte, ni transporté à Tripoli, mais acheminé comme trophée par les Misrata dans la ville éponyme.
La tribu des Misrata, qui a longtemps hésité à choisir son camp et est quasi absente du CNT, aura finalement investi Tripoli après son bombardement par l’OTAN, et aura lynché Mouammar el-Kadhafi après le bombardement de son convoi par l’OTAN. Elle aura même transféré son corps dans sa ville pour marquer son triomphe. En juillet, le « Guide » aura maudit les Misrata, leur enjoignant de partir à Istanbul et Tel-Aviv, faisant allusion au fait que leur tribu est issue de juifs turcs convertis à l’islam.
Un flot de commentaires préparés à l’avance a été déversé instantanément par les médias atlantistes visant à diaboliser Mouammar el-Kadhafi et, de la sorte, à faire oublier les conditions barbares de sa mort.
Les principaux dirigeants de la Coalition ont salué la mort de leur ennemi comme marquant la fin de l’opération « Protecteur unifié ». Ce faisant, ils admettent implicitement que celle-ci ne visait pas à mettre en œuvre la Résolution 1973 du Conseil de sécurité, mais à renverser un régime politique et à en tuer le leader, alors même que l’assassinat d’un chef d’État en exercice est interdit en droit états-unien et universellement condamné.
De plus, le lynchage de Mouammar el-Kadhafi montre la volonté de l’OTAN de ne pas le déférer à la Cour pénale internationale qui n’aurait pas été plus en mesure de le condamner pour crime contre l’humanité que le Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie ne put prouver la culpabilité de Slobodan Milosevic malgré deux ans de procès.
Dans le torrent de boue déversé par les médias atlantistes pour salir sa mémoire, reviennent en boucle des accusations mensongères, ce qui montre a contrario que ces médias disposent de peu d’éléments authentiques utilisables à charge.
Ainsi revient l’affaire de l’attentat contre la discothèque La Belle à Berlin (5 avril 1986, 3 morts), jadis utilisée comme prétexte par l’administration Reagan pour bombarder son palais et tuer sa fille (14 avril 1986, au moins 50 morts). À l’époque, le procureur allemand Detlev Mehlis (celui qui truquera deux décennies plus tard l’enquête sur l’assassinat de Rafik el-Hariri) s’appuya sur le témoignage de Mushad Eter pour accuser un diplomate libyen et son complice Mohammed Amairi. Cependant, la télévision allemande ZDF découvrira plus tard que Mushad Eter est un faux témoin et un vrai agent de la CIA, tandis que le poseur de bombe Mahammed Aamiri est un agent du Mossad [1].
Ou encore, l’affaire de l’attentat de Lockerbie (21 décembre 1988, 270 morts) : les enquêteurs identifièrent le propriétaire de la valise contenant la bombe et son retardateur sur la foi du témoignage d’un commerçant maltais qui avait vendu un pantalon se trouvant également dans la valise piégée. La justice écossaise mit alors en accusation deux agents libyens Abdelbaset Ali Mohmed Al Megrahi et Al Amin Khalifa Fhimah et le Conseil de sécurité prit des sanctions contre la Libye. En définitive, pour obtenir la levée des sanctions, la Libye accepta d’extrader ses deux agents (le premier fut condamné à la prison à vie, le second fut innocenté) et de payer 2,7 milliards de dollars d’indemnités, tout en persistant à proclamer sa complète innocence. En définitive, en août 2005, un des chefs d’enquête écossais déclara que la pièce à conviction principale, le retardateur, avait été déposé sur les lieux par un agent de la CIA. Puis l’expert qui avait analysé le retardateur pour le tribunal admit l’avoir lui-même fabriqué avant que la CIA ne le dépose sur les lieux. Enfin, le commerçant maltais reconnu avoir été payé 2 millions de dollars pour porter un faux témoignage. Les autorités écossaises décidèrent de réviser le procès, mais l’état de santé d’Abdelbaset Ali Mohmed Al Megrahi ne le permit pas.
L’actuelle campagne de désinformation comprend aussi un volet sur le train de vie décrit comme somptueux du défunt et sur le montant pharaonique de sa fortune cachée. Or, tous ceux qui ont approché Mouammar el-Kadhafi, ou simplement ceux qui ont visité sa maison familiale et sa résidence après leur bombardement peuvent attester qu’il vivait dans un environnement comparable à celui de la bourgeoisie de son pays, bien loin du bling bling de son ministre du Plan, Mahmoud Jibril. De même, aucun des États qui traquent la fortune cachée des Kadhafi depuis des mois n’a été en mesure de la trouver. Toutes les sommes significatives saisies appartenaient à l’État libyen et non à son « Guide ».
À l’inverse, les médias atlantistes n’évoquent pas le seul mandat d’arrêt international émis par Interpol contre Mouammar el-Kadhafi avant l’offensive de l’OTAN. Il était accusé par la Justice libanaise d’avoir fait disparaître l’imam Moussa Sadr et de ses accompagnateurs (1978). Cet oubli s’explique par le fait que l’enlèvement aurait été commandité par les États-Unis qui voulaient éliminer l’imam chiite avant de laisser l’ayatollah Rouhollah Khomeiny rentrer en Iran, de peur que Sadr n’étende au Liban l’influence du révolutionnaire iranien.
Les médias atlantistes n’évoquent pas non plus les critiques que des organisations de la Résistance anti-impérialiste et nous-mêmes avions formulées contre Mouammar el-Kadhafi : ses compromis récurrents avec Israël.
Pour ma part, je peux attester que, jusqu’à la bataille de Tripoli, le « Guide » a négocié avec des émissaires israéliens, espérant parvenir à acheter la protection de Tel-Aviv. Je dois aussi attester que, malgré mes critiques sur sa politique internationale, et le dossier complet à ce sujet que la DCRI française lui a aimablement communiqué à mon sujet en juillet dans l’espoir de me faire arrêter, Mouammar el-Kadhafi m’a accordé sa confiance et m’a demandé d’aider son pays à faire valoir ses droits aux Nations Unies [2] ; un comportement bien éloigné de celui d’un tyran.
Les médias atlantistes n’ont pas non plus cité les ingérences que j’ai condamnées de la Libye dans la vie politique française, notamment le financement illégal des campagnes électorales présidentielles de Nicolas Sarkozy et de Ségolène Royal. Le « Guide » avait en effet autorisé son beau-frère Abdallah Senoussi à corrompre les deux principaux candidats en échange de la promesse de l’amnistier ou de faire pression sur la Justice française pour clore son dossier pénal [3].
Surtout, les médias atlantistes n’évoquent pas l’œuvre principale du « Guide » : le renversement de la monarchie fantoche imposée par les anglo-saxons, le renvoi des troupes étrangères, la nationalisation des hydrocarbures, la construction de la Man Made River (les plus importants travaux d’irrigation au monde), la redistribution de la rente pétrolière (il fit d’une des populations les plus pauvres du monde, la plus riche d’Afrique), l’asile généreux aux réfugiés Palestiniens et l’aide sans équivalent au développement du Tiers-monde (l’aide libyenne au développement était plus importante que celle de tous les États du G20 réunis).
La mort de Mouammar el-Kadhafi ne changera rien au plan international. L’événement important était la chute de Tripoli, bombardée et conquise par l’OTAN —certainement le pire crime de guerre de ce siècle—, suivie de l’entrée de la tribu des Misrata pour contrôler la capitale. Dans les semaines précédant la bataille de Tripoli, l’écrasante majorité des Libyens ont participé, vendredi après vendredi, à des manifestations anti-OTAN, anti-CNT et pro-Kadhafi. Désormais, leur pays est détruit et ils sont gouvernés par l’OTAN et ses fantoches du CNT.
La mort du Guide aura par contre un effet traumatique durable sur la société tribale libyenne. En faisant tuer le leader, l’OTAN a détruit l’incarnation du principe d’autorité. Il faudra des années et beaucoup de violences avant qu’un nouveau leader soit reconnu par l’ensemble des tribus, ou que le système tribal soit remplacé par un autre mode d’organisation sociale. En ce sens, la mort de Mouammar el-Kadhafi ouvre une période d’irakisation ou de somalisation de la Libye.
Thierry Meyssan
[1] Enquête du magazine Frontal, diffusée par la ZDF le 28 août 1998.
[2] Ce que j’ai fait à titre militant, sans rémunération aucune. Ndla
[3] Abdallah Senoussi avait été condamné par contumace en France pour l’attentat contre le DC-10 d’UTA (19 septembre 1989, 170 morts) durant la guerre du Tchad

Libye – Attentat contre des rebelles à Tadjoura à Tripoli (4 novembre 2011)

Libye – Attentat contre des rebelles à Tadjoura à Tripoli (4 novembre 2011)


 
Libye – Attentat contre des rebelles à Tadjoura à Tripoli (4 novembre 2011)
 Selon Zengtena, une maison à Tadjoura servant de camp pour un bataillon de rebelles a été soufflée par 7 obus des RPG.
L'opération a été menée par les combattants de la cellule « Touyour Jariha » de l'armée de la libération de la Libye. Des morts chez les rebelles.
Les combattants de la cellule « Touyour Jariha » ont jeté des tracts sur la route à côté de la maison.
Les rebelles qui se rassemblaient d'habitudes dans des maisons réquisitionnées par force à Tadjoura ont quittés les lieux par peur de représailles.

Le business armé en Libye

Le business armé en Libye


Publié le 04/11/2011 à 14:20
Source : Réseau Voltaire
Le business armé en Libye
La « Libye nouvelle » est un miroir aux alouettes : de nombreux chefs d’entreprises s’y bousculent à la recherche de gros contrats. Cependant, l’instabilité actuelle rend extrêmement risqués les chantiers de reconstruction. Seuls le secteur pétrolier et l’approvisionnement alimentaire offrent des garanties dans la durée. Encore faut-il que les businessmen soient protégés… c’est là qu’entrent en scène les compagnies militaires privées.

L’Opération Protecteur Unifié terminée, tandis que l’OTAN « continue à surveiller la situation, prête à aider si nécessaire », la course vers l’or s’est ouverte en Libye même pour les entreprises occidentales mineures. Celles-ci se placent à côté des puissantes compagnies pétrolières et banques d’investissement étasuniennes et européennes, qui ont déjà occupé les positions clé.
La Farnesina (ministère des Affaires étrangères italien, NdT) s’est engagée à « faciliter la participation des petites et moyennes entreprises italiennes à la construction de la Libye libérée ». Mais auparavant déjà, était arrivée à Tripoli une délégation de 80 entreprises françaises, et le ministre de la Défense britannique Philip Hammond avait sollicité les entreprises de son pays à « faire leurs valises » pour courir en Libye.
De grosses affaires sont en vue, après que l’OTAN a démoli l’État libyen. Et puis il y a ce coffre-fort ouvert sur lequel mettre la main : au moins 170 milliards de dollars de fonds souverains « gelés », a quoi s’ajoutent les entrées de l’export pétrolier, qui peuvent atteindre les 30 milliards annuels.

La villa sécurisée de Sne Special Projects Ltd et Trango Ldt à Tripoli

Le contre-amiral James Rapp avait suscité la polémique au Royaume-Uni en organisant au nom de la Royal Navy le bicentenaire de la bataille de Trafalgar : il avait organisé un juteux business en vendant à des hommes d’affaire des billets pour participer à un cocktail avec la reine Elizabeth. Il a depuis créé Sne Special Projects Ltd, le partenaire indispensable dont vous avez besoin pour rester en vie, si vous voulez investir en Libye « libérée ».
Mais il y a un problème : le climat de tension qui rend dangereux les déplacements des entrepreneurs dans le pays. La première denrée précieuse à vendre en Libye est donc la « sécurité ». Dont s’occupe entre autres la compagnie militaire britannique Sne Special Projects Ltd : elle est dirigée par un ex parachutiste qui a travaillé comme contractant (mercenaire) en Israël, Irak, Afghanistan, Pakistan, Soudan et Nigeria, assisté par d’ex-officiers du renseignement militaire, des forces spéciales et des forces anti-émeutes et anti-terrorisme. La compagnie, qui précise qu’elle est présente à Benghazi, Misrata et Tripoli depuis mai 2011, a ouvert, dans une luxueuse villa de la capitale à 15 minutes de l’aéroport, une résidence pour VIP surveillée par des mercenaires britanniques et libyens super armés, à laquelle s’adjoint un centre d’affaires, toujours dans la capitale. Le tarif du « taxi » qui les transporte depuis l’aéroport est un peu cher, 800 dollars au lieu des 5 habituels. Mais le véhicule est un blindé lourd, relié par satellite à un centre opérationnel à Tripoli et à un autre en Grande-Bretagne, tous deux reliés en outre au système de surveillance OTAN.

Jason Woods, directeur exécutif de Sne Special Projects Ltd, est un ex-parachutiste reconverti dans la sécurisation des exploitations pétrolières.
En partenariat avec la société Trango Limited, compagnie spécialisée dans l’assistance à des entreprises dans des zones à haut risque, la Special Projects fournit, en particulier aux petites et moyennes entreprises du secteur énergétique, une gamme complète de services : informations de tout type (assorties de photos et vidéos), libre transit de personnes et matériels sous escorte aux frontières avec l’Égypte et la Tunisie, contacts interpersonnels au CNT pour conclure d’avantageuses affaires.
Des services analogues sont fournis par les compagnies étasuniennes Scn Resources Group et Security Contracting Network, ainsi que diverses autres récemment installées en Libye.
En bénéficient non seulement les entreprises occidentales, en piste pour s’accaparer les contrats les plus juteux avant que n’arrivent de nouveau les Chinois, mais aussi le Département d’État étasunien et autres ministères occidentaux, pour leurs opérations en Libye aussi bien directes que par le biais d’associations « à but non lucratif » payées par eux.
Le vide laissé par l’effondrement de l’État libyen, sous les coups de l’OTAN, se trouve ainsi comblé par un réseau souterrain d’intérêts et de pouvoirs. Et, en cas de réactions populaires dangereuses, il y a toujours le blindé de Special Projects qui permet de rejoindre rapidement l’aéroport.
Manlio Dinucci
Traduction
Marie-Ange Patrizio
Source
Il Manifesto (Italie)

Ahmadinejad: une occasion historique s’est présentée pour sauver l’humanitaire. 04/11/2011

Ahmadinejad: une occasion historique s’est présentée pour sauver l’humanitaire. 04/11/2011
Ahmadinejad: une occasion historique s’est présentée pour sauver l’humanitaire.
Le président iranien a considéré l’éveil islamique comme une occasion historique pour les peuples civilisés, une occasion a meme a sauver l’humanité. Mahmoud Ahmadinejad a déclaré lors de sa rencontre avec des femmes activistes égyptiennes que ces jours-ci les colonialistes se trouvent dans une impasse totale et que leur vrai visage a été révélé à l’humanité et une telle revelation est une occasion qui finira par faire instaurer les conditions plus équitables et plus juste dans le le monde. Le président iranien soulignant l’inquiétude des arrogants face au progrès des pays indépendants comme l’Iran et l’Egypte a fait savoir que ces deux pays font face ensemble aux maximalismes des arrogants et des oppresseurs.

Gaza: Hamas a condamné la menace d’attaquer le convoi d’aide humanitaire

Gaza: Hamas a condamné la menace d’attaquer le convoi d’aide humanitaire. 04/11/2011
Le Hamas a condamné la menace d’attaquer le convoi d’aide humanitaire a destination de Gaza, en la qualifiant de piratage maritime. Selon Reuters le Hamas a demandé aux organisations internationales de protéger les bateaux transportant les convois d’aide pour les habitant de Gaza. La communauté internationale doit assumer sa responsabilité et faire arrêter les pirates maritimes et protéger tous les bateaux qui manifestent leur solidarité avec Gaza, a déclaré le Porte-parole du Hamas. Ces déclarations font suite à l’annonce de l’armée du régime sioniste d’empêcher l’entrée des deux bateaux humanitaire en route pour Gaza. Deux bateaux canadien et irlandais, avec 27 activistes à bord et contenant des articles d’une valeur de 30.000 dollars, dont des médicaments et vivres font route vers Gaza.

La biographie cachée des Obama : une famille au service de la CIA

La biographie cachée des Obama : une famille au service de la CIA (1ére partie)

La biographie cachée des Obama : une famille au service de la CIA (1ére partie)
Le journaliste d’investigation Wayne Madsen a compilé plusieurs archives de la CIA établissant les liens entre l’Agence et des institutions et des personnes ayant eu des relations étroites avec Barack Obama, ses parents, sa grand-mère et son beau-père. La première partie de son dossier souligne l’implication de Barack Obama senior dans les actions menées par la CIA au Kenya. Ces opérations visaient à contrer la montée du communisme sous influence sino-soviétique dans les cercles étudiants ; au-delà, elles avaient également pour objectif de faire obstruction à l’émergence de leaders africains non-alignés.
Réseau Voltaire | Washington DC (États-Unis)
+

JPEG - 26.4 ko
De 1983 à 1984, Barack Obama exerça en tant qu’analyste financier au sein de la Business International Corporation, connue comme société écran de la CIA.
Business International Corporation, la société écran de la CIA dans laquelle exerçait le futur président des États-Unis, organisait des conférences réunissant les dirigeants les plus puissants et employait des journalistes comme agents à l’étranger. Le travail qu’y a mené Barack Obama à partir de 1983 concorde avec les missions d’espionnage au profit de la CIA qu’a remplies sa mère, Stanley Ann Dunham dans les années 1960, après le coup d’État en Indonésie, pour le compte d’autres sociétés écrans de la CIA, dont l’East-West Center de l’Université de Hawaii, l’Agence des États-Unis pour le développement international (United States Agency for International Development, USAID) [1]et la Fondation Ford [2]. Dunham rencontra et épousa Lolo Soetoro, le beau-père d’Obama, à l’East-West Center en 1965. Soetoro fut rappelé en Indonésie en 1965 en tant qu’officier de haut rang afin d’assister le général Suharto et la CIA dans le sanglant renversement du président Sukarno [3]
Barack Obama senior rencontra Dunham en 1959 lors de cours de russe à l’Université de Hawaii. Il figurait parmi les heureux élus d’un convoyage aérien entre l’Afrique de l’Est et les États-Unis pour faire entrer 280 étudiants dans diverses institutions universitaires états-uniennes. Selon un rapport de l’agence Reuters de Londres du 12 septembre 1960, cette opération bénéficiait simplement d’une « aide » de la seule Fondation Joseph P. Kennedy. Elle visait à entraîner et endoctriner de futurs agents d’influence en Afrique, un continent alors en passe de devenir le terrain de la lutte de pouvoir entre les États-Unis, l’Union soviétique et la Chine pour peser sur les régimes des pays nouvellement indépendants ou sur le point de le devenir.
Lors du choix des étudiants expatriés, Masinda Muliro, le vice-président de l’Union démocratique africaine du Kenya (Kenyan African Democratic Union, KADU), avait dénoncé les préférences tribales favorisant la majorité ethnique des Kukuyus et du groupe minoritaire des Luo. Ce favoritisme privilégiait les sympathisants de l’Union nationale africaine du Kenya (Kenyan African National Union, KANU), dirigée par Tom Mboya, au passé nationaliste et syndicaliste. C’est Mboya qui choisit d’envoyer Barack Obama senior étudier à l’Université de Hawaii. Obama senior, alors marié, père d’un enfant et en attente d’un deuxième enfant au Kenya, épousa Dunham sur l’île de Maui le 2 février 1961. Dunham était enceinte de Barack Obama depuis trois mois au moment de son union avec Obama senior. Celui-ci devint le premier étudiant africain à intégrer une université états-unienne.
Toujours selon Reuters, Muliro aurait également déclaré vouloir envoyer une délégation aux États-Unis pour enquêter sur les étudiants kenyans ayant reçu des « présents » de la part des États-Uniens et pour « s’assurer que les cadeaux faits aux étudiants à l’avenir [soient] gérés par des personnes sincèrement soucieuses du développement du Kenya. »
JPEG - 26.7 ko
La CIA habría reclutado a Tom Mboya en el marco de un programa llamado « liberación selectiva », programa generosamente financiado por la CIA y cuyo objetivo era aislar al presidente Kenyatta, quien fue el fundador de la República de Kenia, y considerado por la agencia de espionaje estadounidense como una persona de « no confianza ».
Mboya reçut à l’époque une subvention de 100 000 dollars de la part de la Fondation Joseph P. Kennedy, dans le cadre du programme d’invitation d’étudiants africains, après avoir refusé la même offre de la part du Département d’État. À l’évidence, Mboya s’inquiétait des soupçons qu’aurait éveillés une assistance états-unienne directe chez les politiques kenyans procommunistes, déjà suspicieux de ses liens avec la CIA. Le programme fut financé par la Fondation Joseph P. Kennedy et par la Fondation des étudiants afro-américains. Obama senior ne faisait pas partie du premier groupe acheminé par avion aux États-Unis mais de l’un des suivants. Ce programme d’aide aux étudiants africains, organisé par Mboya en 1959, incluait des étudiants originaires du Kenya, de l’Ouganda, du Tanganyika, de Zanzibar, de la Rhodésie du Sud et du Nord et au Nyassaland (l’actuel Malawi).
Reuters rapporte également que Muliro accusait le favoritisme présidant à la sélection des bénéficiaires de l’aide états-unienne « de perturber et d’aigrir les autres étudiants africains. » Muliro affirmait que « l’avantage était donné aux tribus majoritaires [les Kikuyus et les Luo] et que de nombreux étudiants sélectionnés par les États-Unis avaient échoué aux examens d’admission alors que d’autres étudiants non-sélectionnés faisaient état de meilleures recommandations. »
JPEG - 70.7 ko
Enviado a Hawai por la CIA, Barack Obama senior, es decir el padre del actual presidente de los EEUU, Barack Obama junior, llevando las tradicionales flores en el cuello símbolo de bienvenida en la isla, se deja fotografiar en compañía de Stanley Dunham (a la izquierda de Obama senior), es decir el abuelo materno del presidente Barack Obama.
Obama senior était l’ami de Mboya et originaire de la tribu des Luo. Après l’assassinat de Mboya en 1969, Obama senior témoigna au procès du meurtrier présumé. Obama senior affirma avoir été la cible d’une tentative de meurtre en pleine rue après sa comparution au tribunal.
Obama senior quitta Hawaii pour Harvard en 1962 et divorça de Dunham en 1964. Il épousa une étudiante de Harvard, Ruth Niedensand, une Etats-unienne juive, avec qui il retourna au Kenya et eut deux enfants. Leur union se termina également par un divorce. Obama senior travailla au ministère des Finances et au ministère des Transports kenyans ainsi qu’au sein d’une compagnie pétrolière. Obama senior se tua dans un accident de voiture en 1982 ; les principaux hommes politiques kenyans assistèrent à ses funérailles, dont Robert Ouko, qui deviendra ministre des Transports et sera assassiné en 1990.
Les documents de la CIA indiquent que Mboya était un important agent d’influence pour le compte de la CIA, non seulement au Kenya mais dans toute l’Afrique. D’après un rapport hebdomadaire secret de la CIA (CIA Current Intelligence Weekly Summary) en date du 19 novembre 1959, Mboya était chargé de surveiller les extrémistes lors de la deuxième Conférence panafricaine de Tunis (All-Africa People’s Conference, AAPC). Le document rapporte que « de sérieuses frictions [s’étaient] développées entre le Premier ministre du Ghana, Kwame Nkrumah, et le nationaliste kenyan Tom Mboya qui [avait] activement participé en décembre [1958] à la surveillance des extrémistes lors de la première Conférence panafricaine à Accra. » Les termes « activement participé » semblent indiquer que Mboya coopérait avec la CIA, dont le rapport fut établi par ses agents sur le terrain à Accra et à Tunis. C’est pendant cette période de « collaboration » avec la CIA à Accra et à Tunis que Mboya alloua à Obama senior une bourse d’études et lui offrit la possibilité de s’expatrier et d’entrer à l’Université de Hawaii, où il rencontra et épousa la mère de l’actuel président des États-Unis.
Dans un rapport hebdomadaire secret de la CIA plus ancien, daté du 3 avril 1958, apparaissent ces mots : « [Mboya] reste l’un des dirigeants africains les plus prometteurs. » La CIA, dans un autre rapport hebdomadaire secret, daté du 18 décembre 1958, qualifie le nationaliste kenyan MBoya de « jeune porte-parole capable et dynamique » lors de sa participation aux débats de la Conférence panafricaine ; il fut perçu comme un opposant aux « extrémistes » tels que Nkrumah, soutenu par « les représentants sino-soviétiques. »
Dans un document de la CIA déclassifié sur la Conférence panafricaine de 1961, le conservatisme de Mboya, à l’instar de celui du Tunisien Taleb Slim, est clairement défini comme le contrepoids à la politique de gauche du clan Nkrumah. Les procommunistes avaient été élus à la tête du comité organisateur de la Conférence panafricaine lors de la conférence du Caire en 1961, à laquelle assista Mboya. Dans le rapport de la CIA, le nom de plusieurs de ces dirigeants sont cités : celui du Sénégalais Abdoulaye Diallo, le Secrétaire général de la Conférence panafricaine, de l’Algérien Ahmed Bourmendjel, de l’Angolais Mario de Andrade, de Ntau Mokhele du Basutoland (ex-Lesotho), du Camerounais Kingue Abel, d’Antoine Kiwewa du Congo belge (l’actuelle RDC), du Ghanéen Kojo Botsio, du Guinéen Ismail Touré, de T. O. Dosomu Johnson du Liberia, du Malien Modibo Diallo, du Marocain Mahjoub Ben Seddik, de Djibo Bakari du Niger, de Tunji Otegbeya du Nigeria, de Kanyama Chiume du Nyassaland, du Somalien Ali Abdullahi, du Sud-Africain Tennyson Makiwane, et de Mohamed Fouad Galal des Émirats arabes unis.
Les seuls participants ayant reçu l’approbation de la CIA furent Mboya (dont tout porte à croire qu’il était un indicateur de la CIA), Joshua Nkomo, originaire de Rhodésie du Sud, B. Munanka du Tanganyika, le Tunisien Abdel Magid Shaker et l’Ougandais John Kakongé.
Nkrumah sera finalement limogé en 1966, après un coup d’État militaire organisé par la CIA, alors qu’il effectuait une visite d’État en Chine et au Nord-Viêt-Nam. Cette opération fut mise en œuvre un an après celle que l’Agence mena contre le président Sukarno, autre coup d’État militaire dans lequel la famille maternelle d’Obama joua un rôle. Certains éléments donnent à penser que l’assassinat de Mboya en 1969 fut organisé par des agents chinois agissant pour le compte des factions gouvernementales chargées par le président kenyan, Jomo Kenyatta, de lutter contre Mboya et par là même, d’éliminer un homme politique africain pro-états-unien de premier plan. Toutes les ambassades de Nairobi avaient mis leurs drapeaux en berne en hommage à Mboya, sauf une, celle de la République populaire de Chine.
JPEG - 26.8 ko
Jomo Kenyatta, primer presidente de Kenia después de salir del colonialismo.
L’influence qu’exerça Mboya sur le régime de Kenyatta se prolongera longtemps après sa mort, quand Obama senior était toujours en vie. En 1975, Josiah Kariuki, un socialiste membre du parti KANU (parti dont il aida à la mise en place avec Mboya et Obama senior) était assassiné. Après ce meurtre, Kenyatta renvoya du gouvernement trois ministres insoumis qui « étaient liés personnellement soit à Kariuki, soit à Mboya. » Cette information fut d’abord classée secrète (niveau de classification Umbra) ; elle apparait dans plusieurs notes de service de la CIA au Moyen-Orient, en Afrique et en Afrique du Sud. Elle fut par la suite diffusée sur le réseau COMINT le 24 juin 1975. Les renseignements figurant dans ce rapport, comme le montre son niveau de classification, proviennent d’écoutes effectuées par le ministère de l’Intérieur kenyan. Personne n’a jamais été accusé du meurtre de Kariuki.
La mise sur écoute des associés de Mboya et de Kariuki est une preuve que la NSA et la CIA maintinrent leur surveillance sur Barack Obama senior ; un individu, en sa qualité de ressortissant étranger aux États-Unis, qui était susceptible d’être soumis occasionnellement à la mise sur écoute légale, dont se chargent la NSA et le Government Communications Headquarters (GCHQ, le service de renseignement électronique du gouvernement britannique).
(Suite et fin de cette enquête : La biographie cachée des Obama : une famille au service de la CIA (2nde partie))
Traduction
Nathalie Krieg

Libye - les rebelles du CNT menacent d'attaquer l'Algérie

Libye - les rebelles du CNT menacent d'attaquer l'Algérie

( bonde fils de pute rat venait attaquer  l Algérie. kadhafi a commencer nous en va vous finie et vous verrai qui va crie Allah akber vous est le clan des bâtard Rached Ghannouchi vive l Algérie et peuple arabe libre et vive kadhafi  regarder cest vraimont des bâtard )

Vidéo

Informations

Publié le 03/11/2011 à 09:28 - 1403 visites - Catégorie : Politique - Libye
Des rebelles du CNT menacent les Algériens de transporter la guerre chez nous.
Ils pensent que RANA RAGDINES, venez voir, vous allez voir ce qu'on

Est-ce un changement de régime en Algérie le prochain etape pour l'Otan?

Est-ce un changement de régime en Algérie le prochain etape pour l'Otan?                     

Tunis - Rached Ghannouchi attaque l'Algérie

( bonde fils de pute rat venait attaquer l Algérie. kadhafi a commencer nous en va vous finie et vous verrai qui va crie Allah akber vous est le clan des bâtard Rached Ghannouchi vive l Algérie et peuple arabe libre et vive kadhafi regarder cest vraimont des bâtard )

 


Rached Ghannouchi a attaqué l'Algérie d'aujourd'hui sur le «polisario» la question qui est un très long conflit durable au Maroc. Après cette attaque, fighers du nouveau régime de la Libye ou le Conseil national de transition (CNT) a menacé d'amener la guerre de «libération» de l'Algérie. Vidéo: les attaques Ghannouchi Algérie (en arabe)
http://www.youtube.com/watch?v=JSWrpNdimWk&feature=player_embedded
L'Algérie a un passage sûr à plusieurs membres de la famille Kadhafi, qui a échappé à une mort certaine aux mains des rebelles. Des centaines de camions chargés avec les forces armées pro-Kadhafi a également traversé la frontière vers l'Algérie et ont fait leur chemin au Niger, au Mali où ils ont cherché la protection après la chute de Tripoli.

Plusieurs camions rebelles ont également attaqué à la frontière avec l'Algérie après qu'il a été annoncé que le fils survivant de Muamar Kadhafi, Saif al-Islam a été dans le désert de l'Algérie, la négociation avec la CPI avant sa sortie sur le Niger. Les combattants pro-Kadhafi auraient tué plusieurs membres de la CTN (qui étaient dans les camions) en direction de l'Algérie dans leur chasse aux Saif al-Islam. Ils ont été pris en embuscade, tués et leurs camions saisis ou détruits.

Le fait que l'Algérie a permis aux combattants pro-Kadhafi à trouver refuge sur son sol a fait une cible potentielle pour l'OTAN. Avec les rebelles désireux de rejoindre Alger, dans une tentative pour éliminer le reste entier de la famille Kadhafi, il n'est pas impossible que l'Otan pourrait être la planification - et cela au milieu de la confusion au sujet de possible attaque israélienne sur l'Iran - une mission contre l'Algérie.

Avec le régime tunisien aujourd'hui fustigeant l'ingérence présumée de l'Algérie dans la crise du Polisario, il ya des pourparlers que la Tunisie peut être tout à fait utilisé comme base de soutien dans toutes les attaques contre l'Algérie. Le Maroc a un long conflit permanent diplomatiques avec l'Algérie qui est dit être en faveur d'un «libre» du territoire pour le Polisario.

Le régime le Maroc avait une inimitié historique contre Kadhafi tout à fait et sa chute et assassiner a rendu plus facile pour le Maroc pour résoudre le problème du Polisario.

Une autre théorie qui est flottant, c'est que les forces de l'Otan, avec l'aide de la Tunisie et le Maroc peuvent tout simplement attaquer le groupe rebelle Front Polisario dans le Sahara occidental contesté.