Malgré les protestations soutenues des Turcs, l’OTAN est déterminée à déployer son système antibalistique, sur le territoire turc.
Les protestations populaires ont été exprimées, dans le cadre de rassemblements de rue. Les habitants de la ville de Malatya ont préparé une pétition et collecté des signatures, pour annoncer, haut et fort, leur protestation contre le gouvernement d’Ankara. Samedi, le 19 novembre, ils s’étaient rassemblés, pour dire "Non" au déploiement du système antibalistique de l’OTAN, insistant sur la poursuite de leur résistance, jusqu’à la réalisation de leur demande. Il est vrai que les Musulmans, de la même façon qu’ils ne veulent pas de ce bouclier, servant les intérêts de l’impérialisme et d’Israël, ne veulent pas, non plus, que l’Iran et la Russie soient la cible des attaques de l’Occident. A noter que le gouvernement d’Ankara a annoncé, au mois de septembre, son accord au déploiement d’un système radar en Bande X, sur le sol turc. Ce radar doit être construit, par les Etats-Unis, pour l’OTAN, afin d’être déployé, dans la ville de Malatya. Depuis l’accord d’Ankara, la Turquie est la scène de protestations en tout genre. Des milliers de Musulmans turcs ont organisé, au mois d’octobre, des manifestations, dans diverses villes du pays, pour exprimer leur opposition. Le point qui mérite, entre temps, réflexion, c’est que l’accord du gouvernement de Recep Tayyip Erdogan a été annoncé, alors que les responsables turcs prétendaient être au summum de la soi-disant lutte anti-israélienne, conseillant, en même temps, aux pays arabes du Moyen-Orient, qui vont connaître des changements structurels, dans leurs systèmes de gestion, de prendre modèle des combats antisionistes du gouvernement islamiste turc. Dans la foulée, les médias occidentaux ont dévoilé des affaires qui se cachent derrière ce projet du déploiement du système antibalistique, en Turquie, qui consiste, notamment, à soutenir Israël et à contrôler les agissements de l’Iran et de la Russie. C’est ainsi que les nations de la région suivent, avec suspicion, les politiques du gouvernement islamiste d’Ankara, d’autant plus que, pour les milieux politiques indépendants de la région, l’attitude des autorités turques porte à réflexion. Le gouvernement islamiste turc, qui s’était manifesté, en réclamant vengeance pour le sang des victimes du "Marmara", assassinés par les commandos israéliens, ont, actuellement, opté, dans un revirement de politique à 180°, pour la tolérance envers le régime illégitime israélien. Tout cela conduit aussi bien les Turcs que les nations de la région à douter des positions et de l’action des responsables turcs, d’où toutes les protestations soutenues de ces quelques derniers jours, exprimées, aussi bien, par la population, que par les intellectuels turcs.
Les protestations populaires ont été exprimées, dans le cadre de rassemblements de rue. Les habitants de la ville de Malatya ont préparé une pétition et collecté des signatures, pour annoncer, haut et fort, leur protestation contre le gouvernement d’Ankara. Samedi, le 19 novembre, ils s’étaient rassemblés, pour dire "Non" au déploiement du système antibalistique de l’OTAN, insistant sur la poursuite de leur résistance, jusqu’à la réalisation de leur demande. Il est vrai que les Musulmans, de la même façon qu’ils ne veulent pas de ce bouclier, servant les intérêts de l’impérialisme et d’Israël, ne veulent pas, non plus, que l’Iran et la Russie soient la cible des attaques de l’Occident. A noter que le gouvernement d’Ankara a annoncé, au mois de septembre, son accord au déploiement d’un système radar en Bande X, sur le sol turc. Ce radar doit être construit, par les Etats-Unis, pour l’OTAN, afin d’être déployé, dans la ville de Malatya. Depuis l’accord d’Ankara, la Turquie est la scène de protestations en tout genre. Des milliers de Musulmans turcs ont organisé, au mois d’octobre, des manifestations, dans diverses villes du pays, pour exprimer leur opposition. Le point qui mérite, entre temps, réflexion, c’est que l’accord du gouvernement de Recep Tayyip Erdogan a été annoncé, alors que les responsables turcs prétendaient être au summum de la soi-disant lutte anti-israélienne, conseillant, en même temps, aux pays arabes du Moyen-Orient, qui vont connaître des changements structurels, dans leurs systèmes de gestion, de prendre modèle des combats antisionistes du gouvernement islamiste turc. Dans la foulée, les médias occidentaux ont dévoilé des affaires qui se cachent derrière ce projet du déploiement du système antibalistique, en Turquie, qui consiste, notamment, à soutenir Israël et à contrôler les agissements de l’Iran et de la Russie. C’est ainsi que les nations de la région suivent, avec suspicion, les politiques du gouvernement islamiste d’Ankara, d’autant plus que, pour les milieux politiques indépendants de la région, l’attitude des autorités turques porte à réflexion. Le gouvernement islamiste turc, qui s’était manifesté, en réclamant vengeance pour le sang des victimes du "Marmara", assassinés par les commandos israéliens, ont, actuellement, opté, dans un revirement de politique à 180°, pour la tolérance envers le régime illégitime israélien. Tout cela conduit aussi bien les Turcs que les nations de la région à douter des positions et de l’action des responsables turcs, d’où toutes les protestations soutenues de ces quelques derniers jours, exprimées, aussi bien, par la population, que par les intellectuels turcs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire