Un député Russe: C'est un jeu géopolitique dangereux qui se joue en Syrie 12/11/2011
Moscou / Le député Sergueï Markov, du parti de la Russie Unie auprès de la Douma, a affirmé que c'est un jeu géopolitique dangereux qui se joue en Syrie qui est la clef de la stabilité au Moyen-Orient, avertissant que le ciblage de la stabilité en Syrie va incendier la région toute entière.
Dans un entretien au correspondant de SANA à Moscou, M. Markov a estimé que les Etats-Unis voulaient se venger de la direction syrienne pour ses positions à l'égard des questions du Moyen-Orient, notamment son soutien à la résistance palestinienne et aux autres mouvements de résistance contre Israël.
Il a fait noter que les groupes terroristes extrémistes armés en Syrie sont liés à des parties étrangères.
"En dépit du retard de l'exécution des réformes en Syrie, il ne faut pas ignorer ce qu'elle avait réalisé durant de longues années dans le conservation de la stabilité", a-t-il fait noter, appelant tous à aider la Syrie pour accélérer le développement économique, faire face à l'augmentation du pouvoir des groupes terroristes extrémistes et passer à un système démocratique multipartite.
M. Markov a affirmé que la communauté internationale ne doit pas exercer des pressions sur la Syrie, qualifiant " le plus civilisé au Moyen-Orient" le président Bachar al-Assad "qui connait bien la nécessité de la réforme", a-t-il souligné.
A. Chatta / Gh.H.
Hanov : l'appel américain aux personnes armées en Syrie à ne pas remettre leurs armes aux autorités est une ingérence flagrante
Le journaliste et l'analyste russe, Bakhtiar Ahmed Hanov, a considéré l'appel du département d'Etat aux personnes armées à ne pas remettre leurs armes aux autorités syriennes est une ingérence totalement inacceptable dans les affaires intérieures de la Syrie, car la Syrie est un Etat indépendant et souverain.
Selon lui, la ligue arabe aurait dû, en principe, répliquer à cela en demandant de ne pas interférer dans les affaires intérieures de la Syrie.
Dans une interview, aujourd'hui, à la chaîne /Russia today/, Hanov a affirmé qu'il est complètement convaincu du fait que la direction syrienne est capable de contenir cette crise, via l'exécution du plan arabe, tout en portant un intérêt particulier au dialogue avec l'opposition. Elle a en effet exécuté la majorité de ses engagements, mais elle est soumise à des pressions étrangères.
"J'ai personnellement vu sur place des cadavres de militaires syriens, tués à Jisr al-Choughour, durant ma visite en Syrie l'été dernier. Je n'ai pas vu des tirs sur les manifestants pacifiques, comme je n'ai pas vu de manifestations imposantes de l'opposition, par contre j'ai assisté à des marches massives de soutien à Damas et à Lattaquié", a-t-il témoigné.
Pour lui, "La Syrie n'est pas sur le point d'être candidat à la déstabilisation avec facilité comme lui voulaient certaines parties étrangères et aussi, le peuple syrien ne veut pas que la situation verse dans le scénario irakien et ne veut pas également que la démocratie lui vienne de l'étranger".
"La Russie est très intéressée par la Syrie et de ce fait elle poursuivra à la soutenir et Moscou avait recouru au veto au Conseil de sécurité, car son intérêt vital, patriotique et national que la Syrie préserve sa position dans la région du Moyen-Orient et dans la Méditerranée", a-t-il expliqué.
Moscou / Le député Sergueï Markov, du parti de la Russie Unie auprès de la Douma, a affirmé que c'est un jeu géopolitique dangereux qui se joue en Syrie qui est la clef de la stabilité au Moyen-Orient, avertissant que le ciblage de la stabilité en Syrie va incendier la région toute entière.
Dans un entretien au correspondant de SANA à Moscou, M. Markov a estimé que les Etats-Unis voulaient se venger de la direction syrienne pour ses positions à l'égard des questions du Moyen-Orient, notamment son soutien à la résistance palestinienne et aux autres mouvements de résistance contre Israël.
Il a fait noter que les groupes terroristes extrémistes armés en Syrie sont liés à des parties étrangères.
"En dépit du retard de l'exécution des réformes en Syrie, il ne faut pas ignorer ce qu'elle avait réalisé durant de longues années dans le conservation de la stabilité", a-t-il fait noter, appelant tous à aider la Syrie pour accélérer le développement économique, faire face à l'augmentation du pouvoir des groupes terroristes extrémistes et passer à un système démocratique multipartite.
M. Markov a affirmé que la communauté internationale ne doit pas exercer des pressions sur la Syrie, qualifiant " le plus civilisé au Moyen-Orient" le président Bachar al-Assad "qui connait bien la nécessité de la réforme", a-t-il souligné.
A. Chatta / Gh.H.
Hanov : l'appel américain aux personnes armées en Syrie à ne pas remettre leurs armes aux autorités est une ingérence flagrante
Le journaliste et l'analyste russe, Bakhtiar Ahmed Hanov, a considéré l'appel du département d'Etat aux personnes armées à ne pas remettre leurs armes aux autorités syriennes est une ingérence totalement inacceptable dans les affaires intérieures de la Syrie, car la Syrie est un Etat indépendant et souverain.
Selon lui, la ligue arabe aurait dû, en principe, répliquer à cela en demandant de ne pas interférer dans les affaires intérieures de la Syrie.
Dans une interview, aujourd'hui, à la chaîne /Russia today/, Hanov a affirmé qu'il est complètement convaincu du fait que la direction syrienne est capable de contenir cette crise, via l'exécution du plan arabe, tout en portant un intérêt particulier au dialogue avec l'opposition. Elle a en effet exécuté la majorité de ses engagements, mais elle est soumise à des pressions étrangères.
"J'ai personnellement vu sur place des cadavres de militaires syriens, tués à Jisr al-Choughour, durant ma visite en Syrie l'été dernier. Je n'ai pas vu des tirs sur les manifestants pacifiques, comme je n'ai pas vu de manifestations imposantes de l'opposition, par contre j'ai assisté à des marches massives de soutien à Damas et à Lattaquié", a-t-il témoigné.
Pour lui, "La Syrie n'est pas sur le point d'être candidat à la déstabilisation avec facilité comme lui voulaient certaines parties étrangères et aussi, le peuple syrien ne veut pas que la situation verse dans le scénario irakien et ne veut pas également que la démocratie lui vienne de l'étranger".
"La Russie est très intéressée par la Syrie et de ce fait elle poursuivra à la soutenir et Moscou avait recouru au veto au Conseil de sécurité, car son intérêt vital, patriotique et national que la Syrie préserve sa position dans la région du Moyen-Orient et dans la Méditerranée", a-t-il expliqué.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire