Kadhafi et la « pilpoulisation » du discours politique.
Si tout ceci se confirme, car à présent, nous avons l’habitude des mensonges systématiques et systémiques des médias, Mouammar Kadhafi est mort en martyr. Les images de son assassinat alors qu’il était blessé sont atroces, à l’image des dirigeants de l’OTAN et de leurs sbires. À la Mad Max, des Libyens sauvages, sans aucune discipline, armés par le Grand Satan ont cru utile et intelligent de tuer un homme gravement blessé au cris de Allahou Akbar, uniquement pour éviter le procès qui aurait été une tribune éclatante pour clamer la vérité et produire tant et tant de documents : financement de campagnes électorales, mallettes d’argent, … L’indécence de la scène est clairement historique ! Une horde de barbares qui voulait, au moyen de portables téléphoniques, immortaliser les minutes ayant entouré la mort de leur leader, assassiné par une force étrangère !!! Dieu est témoin de votre trahison et intelligence avec l’ennemi. J’ai toujours dit que si les GI’s arrivaient à Alger, ils seraient reçus avec les honneurs, tant le peuple est dégénéré et abâtardi par des années de formatage TV. Je me suis juste trompé de capitale, mais pas pour très longtemps. Comment peuvent-ils défiler avec des drapeaux « Libye libre », alors qu’ils viennent de signer un contrat avec leur pire ennemi, hier encore l’allié de leur tyran Kadhafi ? Croient-ils une seconde que ces voyous de l’OTAN leur veulent du bien ?
Après avoir assassiné lâchement 40.000 Libyens au moyen de dizaines de milliers de bombardements démocratisants, les courageux largueurs de bombes de l’Empire seraient donc venus à bout du leader libyen. La France, fourvoyée par le sayan dégénéré (agent double israélien) Botul Henry Lévy, accessoirement l’intello-le-plus-stupide-de-France, et principalement ministre occulte des Affaires étrangères, s’est honteusement impliquée dans cette agression ahurissante contre une nation souveraine. Pire encore, n’avons-nous pas entendu Alain Juppé (Directeur de cabinet de Botul HL) se réjouir de l’assassinat de Kadhafi qui, selon lui, met fin à plus de quarante ans de dictature. Faut-il lui rappeler que son patron avait réservé à Kadhafi un accueil princier lors de sa visite officielle en France et que, ultime concession et suprême honneur, il lui avait permis de déployer sa tente au beau milieu des jardins de l’hôtel Marigny ? Les images et vidéos sont nombreuses pour le prouver. Pense-t-il vraiment que nous soyons assez stupides et dégénérés pour croire à des sornettes débitées de la bouche d’un repris de justice, volontairement exilé au Canada pour se faire oublier et tenter de se refaire une virginité ? (lire ci-dessous). Voici donc un exemple monstrueux de « Pilpoul » ou l’art de dire une chose et immédiatement après son contraire, avec la même conviction et la même détermination. Cet art, d’essence talmudique, est de plus en plus usité dans les médias, surtout depuis la crise que nous vivons. (exemple : il faut de l’austérité pour démarrer la croissance mais l’austérité diminue les embauches et donc la consommation. De ce fait la croissance baissera ! Autre pilpoul qui pourrait faire vaciller une montagne : On part en guerre en Libye alors que les caisses sont vides et que le peuple souffre comme jamais de restrictions budgétaires… etc.).
Ces spécialistes de la guerre à distance se réjouissent et décrètent péremptoirement que la guerre est terminée !!! Oh, que non ! C’est exactement le contraire qu’il faut penser, la guerre vient de commencer. Le chaos va s’installer et les tueries se multiplier tant que les traitres du CNT dirigeront le pays. La Libye va s’irakiser et il faudra encore 5 ans à nos grands stratèges dégénérés, que le général Giap avait déjà traités à juste titre et en d’autres circonstances de mauvais élèves (de l’Histoire), pour comprendre que c’est I-n-g-a-g-n-a-b-l-e … Tout ceci bien sûr et comme d’habitude aux frais du trésor public, aux caisses vides, ruiné et déclaré en faillite par S&P, Moody’s et Fitch !
Je ne suis pas un thuriféraire de Kadhafi, vous le savez bien et j’ai en sainte horreur les francs-maçons. Kadhafi fricotait de trop près avec la Loge mafieuse P2 de S. Berlusconi, rendu dernièrement célèbre par ses fameuses et fumeuses parties fines bunga bunga, dans lesquelles des mineures étaient invitées. Cette pratique est d’ailleurs rentrée en usage dans les hautes sphères politiques européennes, que ce soit dans les villas de Berlusconi, aux Chandelles, au Carlton de Lille ou ailleurs. Mais Kadhafi, lui, a au moins eu le courage de mourir dans son pays meurtri, au milieu des siens et n’a pas pris la poudre d’escampette comme les lâches agents de l’Empire, Ben Ali ou Moubarak. Il aurait très facilement pu négocier son amnistie et s’envoler pour une destination de rêve, avec une dizaine de milliards dans ses malles. Il ne l’a pas fait et est mort les armes à la main. Je ne suis certain que d’une seule chose : si la France est agressée et se retrouve un jour en guerre, le président ira immédiatement se réfugier à NYC, Botul à Tel-Aviv (ou l’inverse) et toute la funeste équipe gouvernementale à Londres…
On reproche à Kadhafi d’avoir refusé de se rendre et d’avoir causé ainsi des milliers de morts ! Ceci n’a aucun sens car l’agression est caractérisée, les bombes sont de fabrication otanesque. On fait semblant de ratifier des résolutions légales et démocratiques au siège du CORNU, mais qui prend encore au sérieux cette mascarade maçonnique qui n’a que trop duré ?
Deux leçons nous viennent immédiatement à l’esprit après ces événements : Nul ne peut imaginer comment peut finir la vie d’un homme et enfin le Diable ne tient jamais ses promesses. Non pas qu’il soit faible ou qu’il n’ait pas de parole, mais tout simplement parce qu’il en est incapable. Aujourd’hui le Diable est l’OTAN et son allié temporaire le CNT, mais pour combien de temps ? C’est un avertissement que les autres traîtres, valets de l’Empire devraient prendre très au sérieux car ce n’est plus qu’une question de temps. Les puissants d’hier, soutenus par la Démocratie mondiale, tels des intouchables sont devenus très fragiles et leurs jours sont désormais comptés. Pendant que j’écris ces lignes, on m’apprend que le général-majorette Khaled NEZZAR a été arrêté hier par la police suisse, à la suite de plaintes déposées contre lui pour crimes de guerre. Il y était de passage pour se faire soigner par les meilleurs spécialistes mondiaux, tandis que son peuple crève en silence dans des mouroirs érigés en guise d’hôpitaux. Il semble que le compte à rebours commence à égrener des heures difficiles pour la junte algérienne…
En tout état de cause, il s’agit d’une énième humiliation des peuples musulmans par les alliés du mensonge et de la tromperie, les auxiliaires du Grand Architecte dont le plan est connu de tous. Un énième avilissement de peuples morts depuis longtemps et qui ne méritent qu’indignité et souffrances. Il ne reste plus qu’aux responsables religieux à prendre leurs responsabilités et déclarer le Djihad sacré contre l’invasion et la trahison.
Voici la vidéo d’A. JUPPÉ qui se croit obligé de réagir à l’assassinat de Kadhafi par les troupes de l’Empire. Nous lui décernons pour cette déclaration 1000 points « Pilpoul » pour son hypocrisie maladive et historique qui n’a d’égal que ses déclarations face à la justice française dans l’affaire des emplois fictifs de Paris ou celle de l’appartement de son fils Laurent (Prise illégale d’intérêt). Tels les points « Godwin » qui couronnent le Reductio ad Hitlerum, les points « Pilpoul » couronnent la faillite de la raison, couplée à une Chutzpah exceptionnelle.
Fiche Wikipedia des turpitudes judiciaires de notre sous-ministre des A.E. Alain Juppé :
1- Appartement de Laurent Juppé :
En juin 1995, Le Canard enchaîné publie un document interne de la Ville de Paris, signé par Alain Juppé, donnant ordre à ses services de diminuer le loyer de son fils Laurent, logé dans un appartement relevant des propriétés de la ville de Paris, rue Jacob. Il est locataire, à un prix défiant toute concurrence, d’un appartement de 189 m² dans la même rue, où sont réalisés des travaux pour plusieurs millions de francs aux frais des contribuables. Une plainte pour « prise illégale d’intérêts » est déposée par l’Association des contribuables parisiens, créée ad hoc par Arnaud Montebourg, à l’époque jeune avocat et adhérent du Parti socialiste.
Une information judiciaire est ouverte par le procureur de la République de Paris, Bruno Cotte, qui a considéré que le délit de « prise illégale d’intérêts » était établi. Il annonce cependant son intention de classer le dossier si Alain Juppé quitte son appartement. Le procureur général près la cour d’appel de Paris, Jean-François Burgelin, publie alors un communiqué, approuvé par le ministère de la Justice, affirmant que l’infraction n’était pas constituée et qu’elle était de toute façon prescrite. Cependant, la décision de classement impose à Alain Juppé de déménager.
2- Emplois fictifs de la Ville de Paris :
En 1998, Alain Juppé est mis en examen pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêt » pour des faits commis en tant que secrétaire général du Rassemblement pour la République et maire adjoint de Paris aux finances, de 1983 à 1995. Il est considéré comme un élément clé d’un système de financement occulte d’emplois au sein du RPR financés par la mairie de Paris et des entreprises désireuses de passer des contrats publics (sa secrétaire personnelle au RPR fut elle-même rémunérée par une entreprise, le groupe immobilier Ségur, puis par la ville de Paris).
Le 30 janvier 2004, il est condamné par le tribunal correctionnel de Nanterre à dix-huit mois de prison avec sursis dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris et à une peine de dix ans d’inéligibilité. Le tribunal juge notamment que :
« Alain Juppé dans la quête de moyens humains lui apparaissant nécessaires pour l’action du RPR a délibérément fait le choix d’une certaine efficacité en recourant à des arrangements illégaux […] Que la nature des faits commis est insupportable au corps social comme contraire à la volonté générale exprimée par la loi ; qu’agissant ainsi, Alain Juppé a, alors qu’il était investi d’un mandat électif public, trompé la confiance du peuple souverain. […] »
L’appel interjeté par Alain Juppé, immédiatement après sa condamnation, a pour effet de suspendre l’application de cette décision jusqu’à l’arrêt de la cour d’appel. Le 1er décembre 2004, celle-ci réduit la condamnation à quatorze mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité.
La cour d’appel formule quant à elle que :
« Il est regrettable qu’au moment où le législateur prenait conscience de la nécessité de mettre fin à des pratiques délictueuses qui existaient à l’occasion du financement des partis politiques, M. Juppé n’ait pas appliqué à son propre parti les règles qu’il avait votées au parlement. Il est également regrettable que M. Juppé, dont les qualités intellectuelles sont unanimement reconnues, n’ait pas cru devoir assumer devant la justice l’ensemble de ses responsabilités pénales et ait maintenu la négation de faits avérés. Toutefois, M. Juppé s’est consacré pendant de nombreuses années au service de l’État, n’a tiré aucun enrichissement personnel de ces infractions commises au bénéfice de l’ensemble des membres de son parti, dont il ne doit pas être le bouc émissaire. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire